BuyBulletin de la Societe Polymathique Du Morbihan: Annee 1906 (Classic Reprint) by Morbihan, Societe Polymathique Du online on best prices. Fast and free shipping free returns cash on delivery available on eligible purchase. This is a digital copy of a book that was preserved for generations on library shelves before it was carefully scanned by Google as part of a project to make the world’s books discoverable online. It has survived long enough for the copyright to expire and the book to enter the public domain. A public domain book is one that was never subject to copyright or whose legal copyright term has expired. Whether a book is in the public domain may vary country to country. Public domain books are our gateways to the past, representing a wealth of history, culture and knowledge that’s often difïŹcult to discover. Marks, notations and other marginalia present in the original volume will appear in this ïŹle - a reminder of this book’s long journey from the publisher to a library and ïŹnally to you. Usage guidelines Google is proud to partner with libraries to digitize public domain materials and make them widely accessible. Public domain books belong to the public and we are merely their custodians. Nevertheless, this work is expensive, so in order to keep providing this resource, we have taken steps to prevent abuse by commercial parties, including placing technical restrictions on automated querying. We also ask that you + Make non commercial use of the ïŹles We designed Google Book Search for use by individuals, and we request that you use these ïŹles for personal, non commercial purposes. + Refrain from automated querying Do not send automated queries of any sort to Google’s system If you are conducting research on machine translation, optical character recognition or other areas where access to a large amount of text is helpful, please contact us. We encourage the use of public domain materials for these purposes and may be able to help. + Maintain attribution The Google “watermark” you see on each ïŹle is essential for informing people about this project and helping them ïŹnd additional materials through Google Book Search. Please do not remove it. + Keep it legal Whatever your use, remember that you are responsible for ensuring that what you are doing is legal. Do not assume that just because we believe a book is in the public domain for users in the United States, that the work is also in the public domain for users in other countries. Whether a book is still in copyright varies from country to country, and we can’t offer guidance on whether any speciïŹc use of any speciïŹc book is allowed. Please do not assume that a book’s appearance in Google Book Search means it can be used in any manner anywhere in the world. Copyright infringement liability can be quite severe. About Google Book Search Google’s mission is to organize the world’s information and to make it universally accessible and useful. Google Book Search helps readers discover the world’s books while helping authors and publishers reach new audiences. You can search through the full text of this book on the web at 1 Ventede Bulletin mensuel de la sociĂ©tĂ© polymathique du Morbihan Tome 109 pas cher Acheter le livre d'occasion Bulletin mensuel de la sociĂ©tĂ© polymathique du Morbihan Tome 109 - Categories Genealogy, Heraldry, Names & Honours Archaeology Bulletin de la Societe Polymathique Du Morbihan Annee 1880 Classic Reprint Description Excerpt from Bulletin de la SociĂ©tĂ© Polymathique du Morbihan AnnĂ©e 1880 GĂ©nĂ©alogie des aires de Malestroit. Par M. L'abbĂ© LE meme... Les Paroisses suite. Par M. L'abbĂ© Luce. About the Publisher Forgotten Books publishes hundreds of thousands of rare and classic books. Find more at This book is a reproduction of an important historical work. Forgotten Books uses state-of-the-art technology to digitally reconstruct the work, preserving the original format whilst repairing imperfections present in the aged copy. In rare cases, an imperfection in the original, such as a blemish or missing page, may be replicated in our edition. We do, however, repair the vast majority of imperfections successfully; any imperfections that remain are intentionally left to preserve the state of such historical works. show more Product details Format Paperback 328 pages Dimensions 152 x 229 x 18mm 440g Publication date 09 Dec 2018 Publisher Forgotten Books Publication City/Country London, United Kingdom Language French Illustrations note 173 Illustrations; Illustrations, black and white ISBN10 026506516X ISBN13 9780265065167

I p. 343-385, Eloge de P. par l'abbĂ© Tallement. – Journal des savants, 26 avril 1706, Eloge de P. – Kerviler R., «Etude historique et biographique sur Jean-François Paul Lefebvre de Caumartin», Bulletin de la sociĂ©tĂ© polymathique du Morbihan, 1874, p. 142, et 1875, p. 17 et 230.

Un chĂȘne de nombreuses fois dĂ©crit Arthur de la Borderie est, en 1881, le premier auteur Ă  mentionner le chĂȘne du LĂ©mo. Dans son frais canal [l’Oyon] se mirent les bois des coteaux voisins, du milieu desquels s’élĂšve, majestueux comme un patriarche antique entourĂ© de ses petits-enfants, le gigantesque chĂȘne de LĂ©mo, connu de toute la contrĂ©e Le chĂȘne du LĂ©mo et le marquis de BellevĂŒe Quelques annĂ©es plus tard, le marquis de BellevĂŒe, Ă©rudit originaire d’Augan, lui consacre un poĂšme 1. Au milieu des rochers et des roses bruyĂšres, PrĂ©s d’un dolmen dĂ©truit, au sommet d’un coteau, Se dresse, arbre gĂ©ant dominant les clairiĂšres, Le ChĂȘne de Lemo. PlantĂ© par des Bretons sur la lande bretonne Depuis combien de fois cent ans, qui le saurait ? De feuilles, chaque Ă©tĂ©, son vieux front se couronne, Et cet arbre Ă  lui seul est toute une forĂȘt. Trois mille hommes pourraient s’abriter sous sa voĂ»te, Pour enlacer son tronc il faut six bras tendus ; Et toujours une branche Ă  ses branches s’ajoute, Inextricable amas de rameaux confondus... LĂ , les vieux souvenirs reviennent en grand nombre Dans nos coeurs de Bretons oĂč rien n’est effacĂ©, Et le barde rĂȘveur est bien sous sa grande ombre Pour Ă©couter parler les voix du temps passĂ©. Combien de nos aĂŻeux, voyageurs de la route Que nous, Ă  notre tour, suivons, Ont reposĂ©, rĂȘvĂ© sous cette immense voĂ»te OĂč nous reposons et rĂȘvons ! [...] Le marquis de BellevĂŒe a par ailleurs donnĂ© une succincte description du chĂȘne dans un ouvrage paru en 1911. Non loin du chĂąteau de Lemo, Ă  environ 400 mĂštres Ă  l’Ouest, au-dessus de l’étang de ce nom, on admire un chĂȘne Ă©norme, connu sous le nom de ChĂȘne de Lemo. Son tronc, Ă  un mĂštre au-dessus du sol, mesure 8 mĂštres de tour. La SociĂ©tĂ© Polymathique du Morbihan En 1927, Louis Marsille, prĂ©sident de la SociĂ©tĂ© Polymathique du Morbihan, prĂ©conise un dĂ©but d’inventaire des arbres remarquables du dĂ©partement en commençant par le chĂȘne de LĂ©mo en Augan. Le chĂȘne du LĂ©mo en Augan mesure 8m, 25 Ă  un mĂštre au dessus du sol. Carte postales Les nombreuses cartes postales du chĂȘne du LĂ©mo Ă©ditĂ©es au dĂ©but du 20e siĂšcle tĂ©moignent de l’intĂ©rĂȘt peu commun pour ce chĂȘne hors norme. Carte postale du chĂȘne du LĂ©mo Carte postale du chĂȘne du LĂ©mo Carte postale du chĂȘne du LĂ©mo Carte postale du chĂȘne du LĂ©mo Carte postale du chĂȘne du LĂ©mo Carte postale du chĂȘne du LĂ©mo L’abbĂ© Rouxel Peu de temps aprĂšs la mort de l’arbre en 1929, l’abbĂ© Rouxel, recteur d’Augan, Ă©crit une longue description du chĂȘne, de son histoire, de l’intĂ©rĂȘt qu’il suscitait Ă  Augan et des raisons de sa disparition Tous nos lecteurs connaissent le chĂȘne d’Augan. Rappelons pour mĂ©moire qu’il avait plus de 300 ans. Son tronc par l’endroit le plus petit avait 5,50 m de circonfĂ©rence et 8 mĂštres par l’endroit le plus gros. Ses branches mesuraient 18 m de long et son ombre couvrait une surface de 10 ares. À raison de quatre hommes par mĂštre carrĂ©, il aurait pu abriter 4000 hommes debout. On a pu voir des chĂȘnes plus gros mais jamais, de mĂ©moire d’homme, on ne vit chĂȘne ayant presque 40 m de diamĂštre sous branches. PĂšlerins et touristes Selon l’abbĂ© Rouxel, le chĂȘne du LĂ©mo faisait l’objet d’un pĂšlerinage Ă  saint Joseph, en raison de la prĂ©sence d’une statue du saint dans les branches. Le monde des touristes ne verra pas sans regret disparaĂźtre le chĂȘne d’Augan, car il Ă©tait connu de tous. Pas un Ă©tranger ne se serait arrĂȘtĂ© Ă  Augan sans aller le visiter. On le faisait connaĂźtre aux amis en le leur envoyant en carte postale. A l’étĂ©, ce n’était qu’allĂ©es et venues de soldats venant du camp voisin. Le chĂȘne de la G’niche comme on l’appelait et l’étang spacieux oĂč se reflĂ©taient ses grands bras, Ă©taient le rendez-vous prĂ©fĂ©rĂ© des gens du pays. Quelqu’un eut, un jour, l’heureuse idĂ©e de mettre dans ses branches une niche avec la statue de Saint Joseph. À partir de ce jour, le grand chĂȘne ne tarda pas Ă  devenir un lieu de pĂšlerinage. On y venait prier Saint Joseph, on aimait spĂ©cialement y amener les petits-enfants qui tardaient trop Ă  marcher ; et bien souvent grĂące Ă  l’intercession de celui dont la main paternelle soutint jadis les pas chancelants du fils du Tout-Puissant, les mĂšres eurent la consolation de voir leurs petits enfants faire leurs premiers pas Ă  l’ombre du chĂȘne de la G’niche. Des lĂ©gions d’élĂšves, de jeunes gens ont passĂ© sous son ombrage. Du temps oĂč une course de 16 et 18 kilomĂštres ne pouvait effrayer un marcheur ordinaire, tous les ans, Ă©lĂšves et professeurs de La Mennais et des Carmes avaient Ă  cƓur de faire leur pĂšlerinage au chĂȘne d’Augan. Autres temps, autre mƓurs. La fin du chĂȘne Le chĂȘne du LĂ©mo est tombĂ© le dimanche 23 juin 1929, victime d’une maladie qui l’avait affaibli. L’abbĂ© Rouxel d’Augan, a dĂ©crit ses derniers jours. C’était le dimanche 23 juin 1929. Le soleil Ă©tait radieux, tout Ă©tait calme dans la nature, quand vers huit heures du matin, on entendit soudain un grand bruit strident semblable Ă  un coup de tonnerre que rĂ©pĂ©tĂšrent longuement tous les Ă©chos de la vallĂ©e de l’Oyon. Que se passait-il donc ? Était-ce un tremblement de terre ou la voix du canon venant troubler le repos du dimanche ? Non, c’était le chĂȘne d’Augan, le fameux chĂȘne de LĂ©mo qui fit l’admiration de tant de visiteurs, qui venait de s’effondrer lamentablement avec fracas. Durant son existence plus que trois fois sĂ©culaire, il avait fait beaucoup de bruit, il voulut encore en faire en mourant. Depuis quelques annĂ©es, certaines branches se dessĂ©chaient et annonçaient qu’il Ă©tait sur son dĂ©clin. NĂ©anmoins en contemplant son tronc noueux, sa puissante ramure, son feuillage encore bien vert, on Ă©tait loin de penser qu’il touchait Ă  sa fin. Mais, hĂ©las ! Il en est des arbres comme des gens, il ne faut toujours pas les juger Ă  la mine. Tels ces hercules qui semblent ne devoir jamais mourir, notre grand chĂȘne, aprĂšs avoir rĂ©sistĂ© pendant trois siĂšcles Ă  toutes les tempĂȘtes et Ă  tous les ouragans, est tombĂ© tout d’un coup, sans maladie apparente. Je dis apparente car, pour quiconque a vu ses dĂ©bris Ă©pars sur le sol, il Ă©tait atteint d’une maladie qui ne pardonne pas il avait le cƓur malade. La sĂšve ne circulait plus qu’à travers une mince couche d’écorce, si mince qu’on se demande comment il tenait debout. Son tronc sans se creuser, avait littĂ©ralement sĂ©chĂ© sur pied et Ă©tait devenu spongieux comme du liĂšge. On comprend dans ces conditions que le seul poids de ses feuilles ait suffi pour le renverser. Sans la moindre secousse, il s’est Ă©cartelĂ© du haut en bas, ses racines se sont rompues et toutes ses branches se sont brisĂ©es. Il y a quelque 35 ans, un soir d’élection, des Ă©nergumĂšnes d’Augan, pour se venger de leur dĂ©faite, lui avaient fait une large entaille qui ne se cicatrisa jamais bien. Cette entaille lui aurait-elle hĂątĂ© la mort ? Je ne suis pas loin de le croire. Aussi quand dimanche on apprit sa chute ce fut presque de la consternation. Toute l’aprĂšs-midi, ce fut une procession de visiteurs avides de contempler une derniĂšre fois ses restes regrettĂ©s. Il Ă©tait lĂ  gisant, mutilĂ©, informe, en miettes. La statue de Saint Joseph avait subi le mĂȘme sort, seule la statue de l’enfant JĂ©sus qu’il portait dans ses bras a Ă©tĂ© retrouvĂ©e intacte. Bibliographie BELLEVÜE, Xavier de, Le chĂȘne de LĂ©mo », in L’annĂ©e des poĂštes de Charles Fuster, Vol. 8, Paris, Au semeur, 1897, p. 46-49, Voir en ligne. BELLEVÜE, Xavier de, Le comte de La Touraille marĂ©chal de camp de cavalerie, brigadier des armĂ©es du roi, chevalier de Saint-Louis, philosophe et poĂšte, 1720 Ă  1794 ; sa vie, ses ouvrages, sa correspondance avec Voltaire. GĂ©nĂ©alogie de la famille Larcher, Paris, H. Champion, 1911. BELLEVÜE, Xavier de, Le ChĂȘne de LĂ©mo », Association bretonne - ArchĂ©ologie, Agriculture -Comptes-rendus, procĂšs-verbaux, mĂ©moires, Vol. 28, 1909, p. 206-211, Voir en ligne. LA BORDERIE, Arthur le Moyne de, Le comte de la Touraille sa vie , ses oeuvres et les aventures du petit du Bois-du-Loup », in Galerie bretonne historique & littĂ©raire, Vol. 1, Rennes, Chez Joseph Plihon, libraire, 1881, p. 273-335, Voir en ligne. MARSILLE, Louis, Les plus vieux arbres du Morbihan », Bulletin et mĂ©moires de la SociĂ©tĂ© polymathique du Morbihan, 1927, p. 27-28, Voir en ligne. ROUXEL, AbbĂ©, Le chĂȘne de LĂ©mo dit aussi le ChĂȘne de la G’niche », Idelog, 2015, Voir en ligne. ↑ 1 ‱ Le poĂšme du Marquis de Bellevue parait Ă  nouveau en 1909. — BELLEVÜE, Xavier de, Le ChĂȘne de LĂ©mo », Association bretonne - ArchĂ©ologie, Agriculture -Comptes-rendus, procĂšs-verbaux, mĂ©moires, Vol. 28, 1909, p. 206-211, Voir en ligne. —
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GuyBOURLIGUEUX, « Recherche sur les organistes de la cathĂ©drale Saint-Pierre de Vannes de 1475 Ă  1790 », Bulletin de la SociĂ©tĂ© polymathique du Morbihan, 1969-70, p. 149-172. Guy BOURLIGUEUX, « La maĂźtrise de la cathĂ©drale de Vannes au XVIII e siĂšcle. », MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d’histoire et d’archĂ©ologie de Bretagne, t. LII

Fonds documentaire des bulletins de l’Association Bretonne L’un des importants chantiers de la prĂ©sente mandature porte sur la constitution du fonds documentaire historique de l’Association Bretonne. BasĂ© sur le recensement des bulletins de notre association depuis sa crĂ©ation en 1843, il a pour finalitĂ© de permettre Ă  terme la constitution de trois collections intĂ©grales des bulletins, de 1843 Ă  2021. Cette dĂ©marche d’envergure a pour finalitĂ© de permettre Ă  terme la numĂ©risation d’un exemplaire de chaque parution du bulletin depuis la crĂ©ation de l’association. Cette base documentaire est susceptible de Reconstituer pour notre association la mĂ©moire de ses activitĂ©s et des travaux qu’elle a menĂ©s Ă  travers le temps ;Permettre Ă  des Ă©tudiants chercheurs, des enseignants, des historiens, des mĂ©dias, des auteurs, d’accĂ©der Ă  un corpus documentaire unique sur la Bretagne portant sur 178 annĂ©es de publications presque continue, hormis quelques interruptions limitĂ©es ;Disposer d’une source documentaire unique sur l’évolution de la Bretagne sous l’angle Ă©conomique, social et culturel ;Rendre Ă  terme cette somme documentaire accessible sur le site internet de l’Association Bretonne ou sur les sites de partenaires identifiĂ©s institutions, universitĂ©s, etc. En raison de son importance, ce chantier a Ă©tĂ© dĂ©composĂ© en trois phases principales Phase de collecte et de stockage de l’existant 2019-2020 ;Phase d’identification des numĂ©ros manquants 2021-2022 ;Phase de numĂ©risation de la collection historique 2023-2024. Phase I 2019-2020 Collecte et stockage La premiĂšre phase, actuellement terminĂ©e, s’est traduite par La rĂ©cupĂ©ration et le transfert du stock de bulletins dont le prĂ©sident de l’association Ă©tait le dĂ©positaire transitoire pendant son mandat ;La dĂ©termination et la location d’un local de stockage sĂ»r et d’accĂšs facile ;Le dĂ©mĂ©nagement des archives vers ce nouvel endroit sĂ©curisĂ© le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral et le trĂ©sorier en possĂšdent les clĂ©s ;L’établissement de la nomenclature des bulletins disponibles dans le cadre d’un inventaire mĂ©thodique qui a permis Le rangement chronologique des bulletins ;Le recensement des bulletins ;L’identification des exemplaires manquants ;L’apprĂ©ciation numĂ©rique des stocks nombre d’exemplaires de chaque numĂ©ro, Ă©ventuellement. Phase II 2021-2022 Recensement et identification des numĂ©ros manquants La deuxiĂšme phase est en cours de rĂ©alisation. Dans la continuitĂ© de l’étape prĂ©cĂ©dente, elle vise Ă  identifier, dans les collections privĂ©es ou publiques, en France comme Ă  l’étranger, les exemplaires manquants de façon Ă  complĂ©ter les trois collections prĂ©cĂ©demment Ă©voquĂ©es. À cet effet, il est envisagĂ© de façon pratique de procĂ©der lors du prochain congrĂšs Ă  un appel Ă  la communautĂ© constituĂ©e par les membres de l’Association Bretonne pour demander Ă  chacun de bien vouloir signaler les exemplaires recherchĂ©s, en sa possession. Sous l’angle des modalitĂ©s pratiques, un article sera prochainement publiĂ© sur le site internet de l’Association Bretonne, accompagnĂ© de la liste des bulletins recherchĂ©s, afin de faire connaĂźtre cette dĂ©marche. En parallĂšle, un recensement sera effectuĂ© des collections publiques susceptibles de conserver les bulletins de notre association, en Bretagne et Ă  l’étranger, afin de les approcher. À titre indicatif, pour ce qui concerne la Bretagne, certaines structures d’archives possĂšdent nos bulletins en un ou plusieurs exemplaires. Ainsi en est-il notamment des sites suivants parmi d’autres organismes ou institutions Institut de documentation bretonne et europĂ©enne ; des CĂŽtes d’Armor d’Ile et Vilaine du FinistĂšre ; de Loire-Atlantique du Morbihan d’histoire de Bretagne En complĂ©ment de ces ressources documentaires figurent les bibliothĂšques des principales villes de Bretagne, de mĂȘme que les bibliothĂšques universitaires. Le travail d’inventaire s’étendra dans un second temps aux sites internet d’institutions Ă©trangĂšres, notamment amĂ©ricaines, susceptibles d’avoir dĂ©jĂ  procĂ©dĂ© Ă  la numĂ©risation de certains bulletins/ À titre d’exemple, dans le cadre de son programme de numĂ©risation mondiale initialement intitulĂ© Google Print en 2004, puis Google Books Google a exprimĂ© son ambition de devenir un acteur de rĂ©fĂ©rence de sauvegarde du patrimoine littĂ©raire mondial. En complĂ©ment de son activitĂ© de numĂ©risation de fonds documentaires importante, la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine a dĂ©veloppĂ© depuis une librairie en ligne, une application de consultation de documents en ligne, un outil de recherche documentaire intra-texte. Le programme Google Books recouvre aujourd’hui plusieurs services distincts, le service de recherche Google Book Search, le programme Google Book Partner, proposant aux Ă©diteurs d’inclure leurs ouvrages dans sa base de donnĂ©es, et Google Book Library Project, consacrĂ© au partenariat avec les bibliothĂšques. À titre d’exemple, Google a fourni au Hathi Trust, qui rassemble une cinquantaine d’institutions universitaires et de recherche amĂ©ricaines, un important corpus documentaire dans lequel figurent plusieurs exemplaires de notre bulletin numĂ©risĂ©s en haute dĂ©finition. Il est donc envisagĂ© dans cette phase 2 du projet d’étudier les bases Ă©ventuelles d’un partenariat Ă  Ă©tablir avec ces institutions Ă©trangĂšres. Phase III Une fois rĂ©alisĂ©es les trois collections historiques prĂ©cĂ©demment Ă©voquĂ©es sera entrepris le chantier proprement dit de numĂ©risation des bulletins. À cet effet, un premier contact a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© Ă©tabli avec la BibliothĂšque nationale de France, dans la continuitĂ© de la numĂ©risation rĂ©alisĂ©e par ses soins d’un certain nombre d’exemplaires du bulletin de l’Association Bretonne. Ces derniers sont accessibles pour mĂ©moire sur le site Gallica La consultation sera Ă©largie Ă  titre de comparaison qualitative Ă  d’autres acteurs, y compris Google. En parallĂšle de ce chantier il sera procĂ©dĂ© Ă  l’identification et Ă  la sĂ©lection de partenaires de l’Association Bretonne disposant notamment d’un site internet, afin de dĂ©terminer sous quelle forme donner accĂšs au fond numĂ©risĂ© de l’Association Bretonne. Ces partenaires seront des institutions ou des associations dont l’objet, les principes et les finalitĂ©s seront proches de notre association. Pour information, un recensement des associations de Bretagne figure dans la base documentaire accessible par le lien suivant .

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3073136- Bulletin mensuel de la société polymathique du Morbihan Tome 112 - Col. Occasion Occasion · · Pro Pro Occasion · Pro. 35,40 EUR + 20,00 EUR livraison + 20,00 EUR livraison + 20,00 EUR livraison. BULLETIN DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE FRANCE / tome 110 N°3 et 4 /1963 illustré. Pro Pro Pro. 20,00 EUR. Livraison gratuite Livraison gratuite Livraison gratuite. Vendeur
Description This is a digital copy of a book that was preserved for generations on library shelves before it was carefully scanned by Google as part of a projectto make the world’s books discoverable has survived long enough for the copyright to expire and the book to enter the public domain. A public domain book is one that was never subjectto copyright or whose legal copyright term has expired. Whether a book is in the public domain may vary country to country. Public domain booksare our gateways to the past, representing a wealth of history, culture and knowledge that’s often difïŹcult to notations and other marginalia present in the original volume will appear in this ïŹle - a reminder of this book’s long journey from thepublisher to a library and ïŹnally to guidelinesGoogle is proud to partner with libraries to digitize public domain materials and make them widely accessible. Public domain books belong to thepublic and we are merely their custodians. 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You can search through the full text of this book on the web at 1 A propos de ce livre Ceci est une copie numĂ©rique d’un ouvrage conservĂ© depuis des gĂ©nĂ©rations dans les rayonnages d’une bibliothĂšque avant d’ĂȘtre numĂ©risĂ© avec prĂ©caution par Google dans le cadre d’un projet visant Ă  permettre aux internautes de dĂ©couvrir l’ensemble du patrimoine littĂ©raire mondial en ligne. Ce livre Ă©tant relativement ancien, il n’est plus protĂ©gĂ© par la loi sur les droits d’auteur et appartient Ă  prĂ©sent au domaine public. L’expression “appartenir au domaine public” signiïŹe que le livre en question n’a jamais Ă©tĂ© soumis aux droits d’auteur ou que ses droits lĂ©gaux sont arrivĂ©s Ă  expiration. Les conditions requises pour qu’un livre tombe dans le domaine public peuvent varier d’un pays Ă  l’autre. Les livres libres de droit sont autant de liens avec le passĂ©. 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LeprĂ©sident de la SociĂ©tĂ© polymathique du orbihan : Jean-y ves CA v A u D. Plan de ville et hĂ©bergement, s’adresser Ă  : Office de tourisme de vannes golfe du morbihan Quai tabarly ‱ 56000 vannes tĂ©l. 02 97 47 24 34 Bulletin Ă  adresser Ă  : Éric JORET, CongrĂšs SHAB, 1, rue Jacques-LĂ©onard, 35000 Rennes, accompagnĂ© de votre rĂšglement Ă  DANIGO, Joseph & R. P. GIOT & YanniK ROLLANDO & LEGUAY & Alain FOUGERAY & Pierre THOMAS-LACROIX & Françoise MOSSER & Alain BERTHO & Augustin CARIOU &c. Bulletin de la SociĂ©tĂ© Polymathique du Morbihan 8 volumes de 1973 Ă  1981 [ Tomes 100 Ă  106 + 108 ] Incl. Bibliographie annuelle de l'histoire du Morbihan de 1969 Ă  1978 + L'Architecture MĂ©galithique + La GĂ©ologie Vannetaise + Vannes au XVe siĂšcle + etc. Vannes Imprimerie Galles, 1973-1981. Huit volumes in-8°. BrochĂ© exemplaires non coupĂ©s Ă  l'exception du marquĂ© d'une aurĂ©ole uniquement visible sur le bord de la couverture avant, manque 24 pages du comprenant 3 courts articles sur le mĂ©galithisme. TrĂšs Bon Ă©tat de l' 16,5 x 25 cm. Poids 2,845 kg. Liste des MĂ©moires par auteur Yannik ROLLANDO. La gĂ©ologie vannetaise52 pages + Les races du Pays vannetais la rĂ©gion de Carnac24 pages + 4 planches hors texte Joseph DANIGO. Les anciens ex-voto de Sainte-Anne-d'Auray 27 pages + L'abbĂ© Jean-Marie Le Blanc, dĂ©putĂ© du Morbihan Ă  l'AssemblĂ©e nationale constituante, 1848-1849 39 pages + Le Tiers-Ordre des RĂ©collets du Port-Louis 16 pages + La toponymie de Saint-AvĂ© 33 pages + Notes d'archĂ©ologie 5 pages + Le cahier des plaintes et demandes de la ville de Rhuys aux Etats gĂ©nĂ©raux 12 pages + Le gouvernement de la chapelle Saint-Yves de Bubry 1591-1794 48 pages Augustin CARIOU. Arzon, il y a deux cents ans, d'aprĂšs les registres de catholicitĂ© 23 pages + Les Arzonnais et sainte Anne. La bataille de Schooneveldt 48 pages Alain FOUGERAY. Les Gardes d'honneur sĂ©dentaires du Premier Empire dans le Morbihan 33 pages + Les Ă©tapes du sergent-major Philippe Beaudoin en Morbihan extraits de son carnet d'Ă©tapes an VII - 1812 7 pages + Le dĂ©cret impĂ©rial du 25 mars 1810 et son application dans le Morbihan 13 pages Pierre de Pembois, Ă©pisode de la Chouannerie de 1830 13 pages + Le Conseil GĂ©nĂ©ral du Morbihan sous la RĂ©volution 17 pages + Lettres inĂ©dites du duc de Mercoeur 12 pages G. BLAISE. Note historique sur les ponts de La Roche-Bernard 9 pages J. GALLET. Recherches sur la seigneurie procĂšs pour des prééminences d'Ă©glise Ă  Baden, 1464-1756 22 pages + Une sociĂ©tĂ© rurale bretonne Carnac en 1475 22 pages Françoise de la vie politique morbihannaise au temps de la Monarchie de Juillet le duel du PrĂ©fet Lorois et du DĂ©putĂ© Sivry 16 pages + Les archives Mackau un dĂ©putĂ© du Morbihan et une source pour l'histoire religieuse de la fin du XIXe et du dĂ©but du XXe siĂšcle 6 pages J. LEJARDS. Outillages prĂ©historiques et matĂ©riaux insolites 8 pages Henry MARSILLE. Saint Gildas et l'abbaye de Rhuys 22 pages E. GUEGUEN. Une trĂšs ancienne famille morbihannaise, les La Landelle 6 pages M. BRUTE de REMUR. Suscinio et ses gouverneurs de 1550 Ă  1665. L'enlĂšvement de Françoise Gicquel 9 pages Jacques GUILCHET. Quelques retombĂ©es de la guerre de Trente ans pour les Hennebontais 8 pages + Quelques bibliothĂšques hennebontaises au XVIIIe siĂšcle 4 pages Alain BERTHO. Le mythe de la Chouannerie en Morbihan sous la Seconde RĂ©publique 41 pages J. RIVALLAIN. Haches Ă  douille armoricaines du musĂ©e d'ErnĂ©e 12 pages Y. LECERF. DĂ©couverte d'une tombe en coffre de l'Age du bronze Ă  Kercorde en Baud 2 pages + DĂ©couverte d'un souterrain de l'Age du fer aux MadĂ©rans en Pluherlin 4 pages LEGUAY. Vannes au XVe siĂšcle 76 pages G. Levens, maĂźtre de chapelle de l'Ă©glise cathĂ©drale de Vannes 15 pages + Un musicien vannetais oubliĂ© Nicolas-Vincent Levens 8 pages G. MAHE. En marge du CongrĂšs de l'Association bretonne Ă  Vannes en 1843 7 pages B. MASSIET du BIEST. Mme de SĂ©gur en Bretagne 8 pages GIOT ed.. Actes du Colloque de prĂ©histoire du 150e anniversaire de la SociĂ©tĂ© Polymathique L'Architecture MĂ©galithique 217 pages illustrations + 4 planches hors texte J. LECORNEC. Un aspect du second Age de Fer en Armorique les souterrains refuges 18 pages Jacques CHARPY. Le manoir de Kerminisy en Saint-Tugdual 20 pages + 4 planches hors texte G. premiĂšres femmes membres de la SociĂ©tĂ© Polymathique Elisa Mercoeur et Jeannette Power-Villepreux 18 pages + Kervoyal en Damgan fut-il habitĂ© dĂšs l'Ă©poque nĂ©olithique ? 8 pages + 4 planches hors texte centenaire En Bretagne avec l'Empereur du BrĂ©sil et le comte de Gobineau 12 pages + En marge d'un double centenaire. Lecteurs de Voltaire et de Rousseau au XVIIIe siĂšcle dans le futur Morbihan 16 pages A. VIGUIER-AMIEL. Mon amie, Marie Le Franc 10 pages ERICK BONNET. Un siĂšcle de rĂ©vĂ©lation et d'interrogation. Le point sur le coffret de la cathĂ©drale de Vannes 20 pages + 5 planches hors texte dont une illustration couleur contrecollĂ©e + Le gisant de Pierre Chohan, seigneur de CoĂ«tcandec au XVIe siĂšcle 10 pages P. ANDRE. Les remparts de Vannes. ComplĂ©ments 8 pages Françoise MOSSER puis Jean GOURHAND. Bibliographie annuelle de l'histoire du Morbihan, 1969-1978 220 pages Mots-clĂ©s BRETAGNE, MORBIHAN, HISTOIRE, BRITTANY, ARCHEOLOGIE, ARCHAEOLOGY, VANNES, ARZON, BIBLIOGRAPHIE Compreonline Bulletin de la SociĂ©tĂ© Polymathique du Morbihan: AnnĂ©e 1907 (Classic Reprint), de Morbihan, SociĂ©tĂ© Polymathique du na Amazon. Frete GRÁTIS em milhares de produtos com o Amazon Prime. Encontre diversos livros escritos por
PubliĂ© le 07 juin 2016 Ă  00h00 Annick Jousse, conservatrice de la bibliothĂšque, et Annick Le Cornec, vice-prĂ©sidente de la sociĂ©tĂ© polymathique. Demain mercredi, la sociĂ©tĂ© polymathique du Morbihan fĂȘtera ses 190 ans. Un bel Ăąge pour cette association qui a bien changĂ© en traversant trois siĂšcles et deux millĂ©naires. Regard sur l'histoire et l'avenir avec Annick Le Cornec, vice-prĂ©sidente. Comment est nĂ©e la sociĂ©tĂ© polymathique du Morbihan ? Un groupe d'Ă©rudits, notables locaux, avait l'habitude d'herboriser » ensemble. À l'initiative de l'un d'entre-eux, Jean-Marie Galles, imprimeur qui avait un cabinet de curiositĂ©s, ils crĂ©ent une sociĂ©tĂ© savante le 29 mai 1826. AprĂšs la botanique, ils s'intĂ©resseront Ă  l'histoire, l'archĂ©ologie, l'architecture... Pour devenir polymathe, jusque dans les annĂ©es 1990, il fallait deux parrains. La premiĂšre femme admise sera la poĂ©tesse Élisa Mercoeur, le 5 septembre 1827. Mais elles seront longtemps bien peu nombreuses. Aujourd'hui qui sont les adhĂ©rents de cette institution ? Maintenant, chacun peut devenir polymathe. Nous comptons plus de 450 adhĂ©rents Vannetais, Morbihannais, Bretons, mais aussi des esprits curieux d'un peu partout en France et mĂȘme en Belgique et en Grande-Bretagne. Nous avons des gens de milieux trĂšs diffĂ©rents. Si nous avons quelques actifs trĂšs actifs, notre souhait est de voir venir plus de jeunes. En 1826, les polymathes Ă©taient des pionniers. Quel est aujourd'hui le rĂŽle d'une sociĂ©tĂ© savante ? Apporter plus de culture Ă  ceux qui le dĂ©sirent. Notre bibliothĂšque, ouverte Ă  tous, compte quelque volumes. Elle a Ă©tĂ© fondĂ©e dĂšs 1831. En plus des articles et confĂ©rences des polymathes, elle recĂšle un riche fonds d'ouvrages documentaires sur l'archĂ©ologie, l'histoire, la littĂ©rature, la philosophie, la politique, les sciences naturelles, mais aussi des plans aquarellĂ©s... Il s'agit essentiellement de fonds anciens, mais nous continuons Ă  acheter une dizaine d'ouvrages par an. L'inventaire de toute notre bibliothĂšque est disponible via le site de la BibliothĂšque Nationale. Cette culture passe aussi par nos confĂ©rences, nos sorties d'Ă©tudes, nos publications et nos Ă©changes avec la soixantaine d'associations similaires dissĂ©minĂ©es en France et en Europe, avec lesquelles nous avons des liens. C'est aussi un prix, un coup de pouce de 750 EUR, que nous remettons tous les deux ans, Ă  des Ă©tudiants ou des amateurs, pour leurs recherches. En 2000, la polymathique a signĂ© une convention avec la ville pour la mise Ă  disposition de ses collections et de ChĂąteau-Gaillard pendant 50 ans. Quel avenir pour ce partenariat ? Peut-il aller jusqu'au don ? C'est une prĂ©occupation latente de notre association. Un grand sujet de discussion au sein de notre conseil d'administration. Il s'agit de l'hĂ©ritage de nos grands anciens, Gustave Thomas de Closmadeuc, le chanoine MahĂ©, Amand TaslĂ© et tous ceux qui ont oeuvrĂ© pour faire vivre cette association d'utilitĂ© publique. Nos relations avec la ville sont bonnes. Notre souhait serait que ChĂąteau-Gaillard soit davantage ouvert, au moins aux mĂȘmes moments que les cairns de Gavrinis et du Petit Mont car il est un prolongement, un approfondissement Ă  ces visites. Notre prĂ©occupation reste de valoriser ce grand passĂ©, ces grands anciens et tout ce que chaque gĂ©nĂ©ration y apporte. Comment va se dĂ©rouler le 190e anniversaire ? Une confĂ©rence, comme d'habitude. Puis Ă  16 h 30, l'inauguration officielle de notre siĂšge social, rue NoĂ©. AmorcĂ© en 1999, le projet a Ă©tĂ© relancĂ© il y a deux ans et a abouti Ă  l'automne 2015. Ce sera donc trĂšs simple. Nous nous rĂ©servons pour le 200e ! en complĂ©ment ConfĂ©rence-anniversaire. Voyage antique C'est Ă  Caroline Siette que revient d'animer la confĂ©rence des 190 ans. Elle a soutenu rĂ©cemment son mĂ©moire de Master 1 sur les NĂ©cropoles urbaines en Lyonnaise occidentale Rennes, Carhaix et Vannes », saluĂ© par un 18. J'ai toujours Ă©tĂ© passionnĂ©e par l'archĂ©ologie. Enfant, je me demandais oĂč Ă©taient les cimetiĂšres romains » raconte-t-elle. AprĂšs une licence en histoire de l'art et archĂ©ologie, elle travaille six ans dans le domaine touristique. L'archĂ©ologie me manquait trop ». Alors la jeune femme a repris ses Ă©tudes, en se concentrant que cette question de toujours. Elle va poursuivre ses recherches dans un Master 2. Vannes comme ailleurs L'une de ses sources a Ă©tĂ© les bulletins de la sociĂ©tĂ© polymathique. Les polymathes ont dĂ©couvert la nĂ©cropole de Vannes en 1876. Il y a une Ă©motion particuliĂšre Ă  les lire. MalgrĂ© nos outils modernes, nous nous posons les mĂȘmes questions. Je me demande parfois comment les archĂ©ologues du futur recevront nos Ă©crits », poursuit la jeune femme. Si elle s'intĂ©resse Ă  ce sujet, c'est parce qu'Ă  travers des rites funĂ©raires on apprend beaucoup sur une sociĂ©tĂ©. J'ai trouvĂ© des rĂ©ponses Ă  mes questions d'enfant. Chez les Romains, la mort Ă©tait considĂ©rĂ©e comme une souillure et devait donc rester en dehors de l'enceinte sacrĂ©e de la ville. Mais Ă  proximitĂ©, pour des questions pratiques. À Vannes, la nĂ©cropole est ainsi le long d'un axe de communication majeur, vers Nantes ». Vannes n'a pas adaptĂ© le rite romain d'une maniĂšre diffĂ©rente des autres villes de la rĂ©gion. Comme ailleurs, l'incinĂ©ration y est prĂ©dominante jusqu'au IIIe siĂšcle. Comme ailleurs, les cendres sont conservĂ©es dans des cĂ©ramiques identiques Ă  celles utilisĂ©es en cuisine. AprĂšs les fouilles menĂ©es fin 2015 sur la nĂ©cropole par la sociĂ©tĂ© Eveha voir Le TĂ©lĂ©gramme du 11 mai, la chercheuse attend avec impatience des rapports d'Ă©tudes pour Ă©clairer ses propres pistes. Il y a encore beaucoup Ă  dĂ©couvrir », savoure-t-elle. Pratique ConfĂ©rence mercredi Ă  14 h 30 au Palais des arts. Gratuit pour les adhĂ©rents. Ce qu'il faut savoir... Devenir polymathe La sociĂ©tĂ© polymathique propose deux types d'adhĂ©sion. L'adhĂ©sion simple 17 EUR par an qui donne accĂšs aux confĂ©rences, mais aussi Ă  l'entrĂ©e gratuite aux musĂ©es de Vannes et de Carnac. L'adhĂ©sion complĂšte 55 EUR/65 EUR pour les couples qui offre en plus les publications le bulletin mensuel et le recueil annuel intĂ©gral des confĂ©rences. Être curieux La bibliothĂšque, installĂ©e au-dessus des Archives municipales, 12 avenue Saint-Symphonrien est ouverte les lundi et mercredi de 14 h Ă  16 h 45 fermĂ©e en juillet et aoĂ»t. TĂ©l. Les confĂ©rences ont gĂ©nĂ©ralement lieu au Palais des arts Ă  14 h 30, chaque deuxiĂšme mercredi du mois. Se renseigner SiĂšge social, 4, rue NoĂ©. Permanence le vendredi, de 14 h Ă  16 h 45. TĂ©l. Courriel polymathique Site
SociĂ©tĂ©polymathique du Morbihan. Bulletin de la SociĂ©tĂ© polymathique du Morbihan. 1878. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numĂ©riques DĂ©pĂŽts rituels de haches en pierre poliedĂ©couverts dans la rĂ©gion de Carnac PAR M. Z. LE ROUZIC Les dĂ©pĂŽts ou cachettes de haches en bronze, haches Ă  douilles surtout, sont innombrables dans le centre et dans le nord du dĂ©partement du Morbihan, et dans les dĂ©partements limitrophes. Mais aucun de ces dĂ©pĂŽts ou cachettes n’a Ă©tĂ© signalĂ© jusqu’à ce jour, dans la rĂ©gion immĂ©diate de Carnac-Locmariaquer. Quelques haches Ă  douille en bronze, ont Ă©tĂ© seulement mises Ă  jour, isolĂ©ment, au Moustoir, commune de Carnac, et Ă  Loperet commune d’Erdeven. La commune de Belz, seule a donnĂ© un dĂ©pĂŽt de 60 haches en 1888, mais les autres communes Quiberon, Saint-Pierre, Plouharnel, la TrinitĂ©, PlƓmel, Crach, Saint-Philibert, Locmariaquer, Arzon, ni les Ăźles du golfe du Morbihan, n’ont donnĂ©, je le rĂ©pĂšte, de grand dĂ©pĂŽt jusqu’à ce jour. Par contre, la dĂ©couverte de dĂ©pĂŽts de haches en pierre polie sont trĂšs nombreux. Je citerai, d’aprĂšs Cayot Deslande, la dĂ©couverte de 24 haches en roche verte, faite sans autres indications dans la commune d’Arzon en 1808[1]. Parlant de cette dĂ©couverte, M. l’AbbĂ© MahĂ© dit que ces haches Ă©taient disposĂ©es en cercle autour d’un centre commun[2]. La dĂ©couverte de 11 haches polies dont plusieurs en pyroxĂ©nite jadĂ©ite, chloromĂ©lanite et fibrolite faite par M.{{liĂ©Dessert, prĂšs et au nord-ouest du village de Kerham, commune de PlƓmeur en 1861, aujourd’hui au musĂ©e J. Miln, du no 1096 au no 1109 de l’inventaire. La dĂ©couverte de 17 superbes haches en pyroxĂ©nite jadĂ©ite, chloromĂ©lanite et fibrolite faite par une cultivatrice du village de Bernom, commune d’Arzon en 1893. Ces derniĂšres Ă©taient placĂ©es en cercle debout, le tranchant en l’air, appuyĂ©es les unes sur les autres, le talon plantĂ© dans une couche de terre fine, dans un trou circulaire creusĂ© dans la terre meuble et recouvertes d’une grosse dalle en granit. Elles sont aujourd’hui au MusĂ©e national de Saint-Germain-en-Laye[3]. La dĂ©couverte de 3 haches, et d’un fragment de hache marteau en diorite, faite par M. Le Guennec, de Kerfraval, commune de Carnac en 1868, en dĂ©frichant un champ prĂšs et au nord du moulin Ă  vent, aujourd’hui dĂ©truit, de Kerfraval. Ces haches sont au musĂ©e J. Miln. La dĂ©couverte de 3 haches en silex poli, faite en 1924, par les petits fils de M. Le Guennec, de Kerfraval, au mĂȘme endroit, dans un champ voisin, ou il n’y a aucune trace de monument. Ces haches sont au musĂ©e J. Miln, no 1428, 1429 et 1430 de l’inventaire. La dĂ©couverte de 5 haches, dont 4 en diorite et 1 en silex poli, faite au mois d’avril 1926, par ces mĂȘmes enfants Le Guennec, sous une pierre plate, en dĂ©frichant une parcelle de terre prĂšs de la plage de Beaumer, commune de Carnac. Elles se trouvent au musĂ©e J. Miln, sous les nos 1444, 1445, 1446, 1447, 1448 de l’inventaire. La dĂ©couverte de 9 haches, dont 3 en fibrolite grenue et 6 en diorite polie, faite en 1922 par Mme veuve Le Port, de la maison neuve de Kerblaye, commune de PlƓmel, dans un coin de son champ au sud-ouest de sa demeure, non loin d’une table d’un dolmen ruinĂ©. Ces haches ont Ă©tĂ© malheureusement dispersĂ©es, 4 seulement sont au musĂ©e J. Miln. La dĂ©couverte de 4 belles haches dont une en silex, une en fibrolite, une en chloromĂ©lanite faite en 1925, par M. Le Tallec, aujourd’hui maire de la commune de Larmor-Baden, dans un terrain sous lande au bord du golfe du Morbihan. 2 de ces haches sont au musĂ©e J. Miln no 1437 et 1438 de l’inventaire, les deux autres sont dispersĂ©es. La dĂ©couverte de 3 haches en diorite polie, faite en 1925 par un journalier agricole dans un champ, prĂšs de CoĂ«-Kerzut, commune de Crach. Ces haches sont au musĂ©e J. Miln sous les nos 1441, 1442 et 1443 de l’inventaire. La dĂ©couverte de 3 haches, 2 en diorite et 1 en silex polie, faite en 1925 Ă  ManĂ© Kernivilit, commune de Saint-Philibert, en face de la TrinitĂ©-sur-Mer. Elles sont au musĂ©e J. Miln, sous les nos 1432, 1433 et 1434 de l’inventaire. La dĂ©couverte d’une hache en pyroxĂ©nite, faite en 1925 par un jeune cultivateur dans un terrain vague, prĂšs et Ă  l’est du village des Sept-Saints, commune d’Erdeven. Cette superbe hache est plate, a ses cĂŽtĂ©s Ă©quarris et son tranchant est Ă©vasĂ©. Elle affecte la forme des haches plates en cuivre, elle mesure 0m29 de longueur, 0m083 de large au tranchant et 0m025 de large au talon. Elle Ă©tait placĂ©e debout, dans la couche d’argile du sous-sol, malheureusement le jeune homme n’a pu me dire avec certitude, si le tranchant ou le talon se trouvait en haut. Elle est au musĂ©e J. Miln sous le no 1436 de l’inventaire. Une autre dĂ©couverte de haches en pierre polie est Ă©galement Ă  signaler ici, celle que nous avons faite en 1922 au pied du menhir sur tertre tumulaire du Manio, 5 haches, 4 en diorite et 1 en fibrolite grenue polie. 4 d’entre elles Ă©taient placĂ©es Ă  0m20 de la surface, accolĂ©es au pied d’un menhir, sur lequel sont gravĂ©s 5 signes ondulĂ©s reprĂ©sentant des serpents dressĂ©s sur leur queue[4]. Les dĂ©couvertes isolĂ©es de haches en pierre polie sont innombrables dans notre rĂ©gion parsemĂ©e de monuments mĂ©galithiques. Trois autres dĂ©couvertes importantes, de dĂ©pĂŽts de haches polies ont Ă©tĂ© faites dans la mĂȘme rĂ©gion. Mais celles-ci, ensevelies dans des dolmens fermĂ©s, formĂ©s de dalles couchĂ©es et de maçonnerie sĂšche, recouverts de grosses dalles, le tout cachĂ© dans le centre d’énormes tumuli. 1o Dans le dolmen de Tumiac, commune, d’Arzon, en 1853, 32 superbes haches dont 16 en pyroxĂ©nite, et 16 en fibrolite polies Ă©taient enfouies avec 3 colliers en grains de callaĂŻs, exposĂ©s au musĂ©e de la SociĂ©tĂ© Polymathique Ă  Vannes, sous les nos 826 Ă  857 du catalogue[5]. 2o Dans le dolmen de Saint-Michel, commune de Carnac en 1862, 37 haches dont 11 superbes en pyroxĂ©nite et 26 en fibrolite polie, Ă©taient placĂ©es debout, le tranchant en l’air, dans une couche de cendre et d’ossements incinĂ©rĂ©s, ainsi qu’un collier formĂ© de grains de callaĂŻs, exposĂ©s au musĂ©e de la SociĂ©tĂ© Polymathique Ă  Vannes, sous les nos 779 Ă  815 du catalogue[6]. 3o Dans le dolmen de ManĂ©-en-HroĂ«ck, commune de Locmariaquer, en 1863, 105 haches dont 11 en pyroxĂ©nite, ces derniĂšres toutes cassĂ©es ; 101 de ces haches Ă©taient cachĂ©es sous le dallage de la chambre. Une superbe hache en chloromĂ©lanite, Ă©tait placĂ©e dans le centre de la crypte, le talon posĂ© sur un disque en serpentine, 2 pendeloques en callaĂŻs Ă©taient placĂ©es prĂšs du tranchant. ExposĂ©es au musĂ©e de la SociĂ©tĂ© Polymathique Ă  Vannes, sous les nos 650 Ă  768 du catalogue[7]. Ces trois derniers dĂ©pĂŽts, dĂ©couverts avec des ossements, Ă©taient placĂ©s dans des tombes et sont indĂ©niablement des dĂ©pĂŽts funĂ©raires. Nous pouvons donc affirmer que ce sont des dĂ©pĂŽts intentionnels, par consĂ©quent rituels. Quelle Ă©tait exactement leur signification ? Nous ne le saurons, sans doute jamais. Il est Ă  remarquer que la plupart de ces belles haches ne pouvaient servir, ni comme arme, ni comme outil, et ne devaient ĂȘtre que des haches votives. Beaucoup de ces haches trouvĂ©es isolĂ©ment proviennent sans doute de monuments dĂ©truits, mais les autres ont Ă©tĂ© manifestement dĂ©posĂ©es dans le sol avec intention et sont Ă  mon avis, des dĂ©pĂŽts rituels, sorte d’offrandes faites Ă  la DĂ©esse mĂšre, nourriciĂšre, la Terre et pouvaient reprĂ©senter les rayons solaires, fĂ©condant la terre. Les rayons des roues solaires que j’ai dĂ©couverts sur les supports du dolmen Ă  galerie du Petit-Mont, dans la commune d’Arzon en 1905, ressemblent beaucoup Ă  des haches placĂ©es, les talons au centre, les tranchants formant le cercle, exactement comme les 8 haches polies dont une Ă  bouton, dĂ©couvertes en cercle Ă  la Chapelle-Basse-Mer, dans la Loire-InfĂ©rieure en 1863[8]. Est-ce que les dĂ©pĂŽts de haches Ă  douilles, en cuivre, en bronze, en Ă©tain et mĂȘme en plomb, n’auraient-elles pas eu la mĂȘme signification rituelle ? C’est Ă  mon avis plus que probable, et il est possible que dans le haut du Morbihan et dans les rĂ©gions limitrophes, riches en mĂ©tal ou envahis par des gens Ă  mĂ©taux, les habitants faisaient des offrandes de haches en mĂ©tal Ă  la mĂȘme DĂ©esse nourriciĂšre La Terre, au mĂȘme moment oĂč les habitants de la rĂ©gion sacrĂ©e de Carnac-Locmariaquer lui offraient des haches en pierre polie. Ne trouvons-nous pas encore aujourd’hui, sous d’autres formes, ces mĂȘmes traditions dans les offrandes faites en nature Ă  nos bons vieux saints ? Que ne fait-on pas encore chez nous et ailleurs pour attirer la bĂ©nĂ©diction du ciel sur la terre et mĂȘme sur la mer, pour obtenir de bonnes rĂ©coltes ou de bonnes pĂȘches ? Le doute n’est pas possible, c’est la continuation des sortilĂšges de nos trĂšs vieux pĂšres chasseurs, des grottes de la Dordogne et des PyrĂ©nĂ©es, envoĂ»tant le gibier, qui leur servait de nourriture. Ce sont les sortilĂšges de nos vieux pĂšres agriculteurs, constructeurs des menhirs et dolmens, pour fĂ©conder la Terre et se la rendre propice. PhĂ©nomĂšnes conçus de la peur de manquer de nourriture, la peur de mourir de faim. Cela a commencĂ© avec le premier homme et durera, j’en suis sĂ»r, jusqu’à la fin du dernier. ↑ Cayot Deslande. — Le Morbihan, page 224. ↑ AbbĂ© MahĂ© — Essais des antiquitĂ©s de Bretagne, page 41.}} ↑ Bulletin de la SociĂ©tĂ© Polymathique du Morbihan, 1893, page 3. ↑ Carnac. Fouilles faites dans la rĂ©gion Campoque, 1922, p. 64. ↑ Bulletin de la SociĂ©tĂ© du Morbihan, 1862, p. 1. ↑ Bulletin de la Sociale du Morbihan, 1862. p. 7. ↑ Bulletin de la SociĂ©tĂ© Polymatltique, 1863, p. 18. ↑ Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique de Nantes et de la Loire-InfĂ©rieure, 1922. ï»żQuelquesexplorations archĂ©ologiques de M. Miln, Bulletin de la SociĂ©tĂ© Polymathique du Morbihan : 20-49. Luengo MartĂ­nez J. M., 1974-1975.- Piezas dle Museo HistĂłrico-ArqueolĂłgico de a Coruña. Objetos pĂ©treos de la Primera Edad de los Metales, Revista, 10-11 : 131-142. LUNARDI A., 2001-2002.- Le lame d’ascia in pietra verde del territorio veronese dal neolitico
3 Les destructions se poursuivent aprĂšs le dĂ©cĂšs du chanoine MahĂ©. 31 Les fouilles menĂ©es par les archĂ©ologues amateurs. On ne peut que s’interroger sur les consĂ©quences des recherches archĂ©ologiques en 1864 menĂ©es par Fouquet et ses ouvriers prĂšs de Pleucadeuc, au lieu-dit Le BrĂ©tin. Il n’hĂ©site pas Ă  abattre des menhirs Nous avons creusĂ© la terre au pied de ce troisiĂšme menhir, assez profondĂ©ment pour dĂ©terminer sa chute 
 mesurĂ©e aprĂšs sa chute, cette pierre se trouve ĂȘtre de 2,40 mĂštres de longueur et de 2 mĂštres de largeur 
 mais certes alors qu’elle Ă©tait encore debout, elle avait subi des mutilations anciennes et rĂ©cente 84 ». 32 Des professionnels du pillage au service des riches collectionneurs l’exemple de Gustave Paille. Gustave Paille a procĂ©dĂ© Ă  cinq campagnes de fouilles archĂ©ologiques Ă  partir de la fin du XIXe siĂšcle pour crĂ©er un musĂ©e archĂ©ologique privĂ©, celui du marquis de Montaigu au chĂąteau de la Bretesche Ă  Missillac. Paille s’est notamment livrĂ© Ă  des recherches dans l’est du dĂ©partement du Morbihan. Il suit les voies antiques qu’il a repĂ©rĂ©es sur la table de Peutinger et fouille une zone d’environ cinq kilomĂštres de part et d’autre de la voie. Paille a donc pu prospecter dans le secteur du Haut-Brambien. Comme il l’a expliquĂ© dans sa mĂ©thode, il s’appuie sur la littĂ©rature historique, surtout celle qui lui permet de repĂ©rer les diffĂ©rents emplacements archĂ©ologiques et a pu lire les Essais de MahĂ© qui lui fournissent nombre de renseignements Ă  ce sujet. Son activitĂ© est importante. Il fouille successivement pendant la campagne de 1905 avec l’aide de quatre ouvriers Ă  Allaire une allĂ©e couverte qu’il qualifie d’inviolĂ©e, des dolmens des environs, puis deux dolmens Ă  LarrĂ©, un dolmen Ă  Saint-Guyomard, un dolmen Ă  Saint-Christophe, un dolmen Ă  Kerdaniel, un dolmen Ă  CoĂ«tbihan, un cromlech Ă  Kermabus, cinq dolmens Ă  Noyans, des dolmens Ă  La TrinitĂ©, des dolmens Ă  Surzur, etc. 85 » pour ne citer que les monuments mĂ©galithiques. Encore faut-il souligner que toute cette liste n’est Ă©tablie que dans le cadre d’un rapport officiel Ă  son commanditaire. On peut trĂšs bien imaginer qu’il s’est livrĂ© Ă  d’autres fouilles sans les mentionner explicitement, surtout si elles se sont rĂ©vĂ©lĂ©es trĂšs fructueuses. 33 Des destructions massives dues Ă  la mise en valeur systĂ©matique des landes par de grands propriĂ©taires fonciers. Un concours pour la mise en valeur des Landes de Bretagne avait Ă©tĂ© lancĂ© par la SociĂ©tĂ© acadĂ©mique du dĂ©partement de la Loire-InfĂ©rieure. L’ouvrage de M. de Lorgeril 86 fut couronnĂ© en 1819. Il devait rĂ©pondre Ă  deux questions Quelle est la nature des landes du dĂ©partement de la Loire-infĂ©rieure ? Quel serait le moyen le plus sĂ»r de rendre Ă  l’agriculture les terres vagues et incultes qu’on Ă©value Ă  plus de 120 000 arpents ? L’objectif de ce concours et des mĂ©moires Ă©tait trĂšs clair. Presque toutes les landes de Bretagne, dans l’état actuel, sont des biens communaux. Le mode de jouissance auquel ces biens sont soumis, les dĂ©robant Ă  la salutaire influence de la propriĂ©tĂ© et de l’industrie, semble rĂ©duire leur sol au minimum de la production tout espoir d’amĂ©lioration est interdit avec un pareil rĂ©gime 87 ». Il s’agissait donc de faciliter le partage des terres des biens communaux, de les attribuer Ă  des propriĂ©taires individuels pour les livrer Ă  la culture. Dix ans plus tard de nouveaux thĂšmes sont soumis Ă  Ă©tude la lĂ©gislation bretonne sur les terres non dĂ©tenues par un propriĂ©taire avant 1789, les moyens de mettre fin Ă  la stĂ©rilitĂ© des landes, la lĂ©gislation mise en place depuis 1789, les moyens de mettre fin Ă  la possession commune et les modifications Ă  apporter Ă  la lĂ©gislation existante. Les landes des campagnes Ă©taient-elles des communaux au sens juridique du terme ? VoilĂ  le point fondamental qu’il fallait Ă©tablir. C’est un avocat de Nantes, Colombel, qui va obtenir la mĂ©daille d’or 88. Il s’agit de dĂ©montrer que les terres vaines et vagues n’appartiennent pas juridiquement aux communes, travaux auxquels participe aussi Nadaud avocat-gĂ©nĂ©ral Ă  la cour royale de Rennes, qui examine les lois de 1792 et de 1793 pour voir quelles seraient les modifications les plus utiles Ă  apporter Ă  la lĂ©gislation dans l’intĂ©rĂȘt des communes et de l’État 89 ». L’avocat RĂ©veillĂ© de Beauregard passe en revue tous les types de titres de propriĂ©tĂ© selon que les terres appartenaient au roi, ou Ă  des fiefs, ou encore par bĂ©nĂ©fices ecclĂ©siastiques, pour conclure que L’opinion qui attribue en Bretagne toutes les terres vaines et vagues aux communes est donc fausse et contraire aux intĂ©rĂȘts bien entendus de l’agriculture 90 », et surtout des grands propriĂ©taires. On trouve la mĂȘme dĂ©marche pour parvenir Ă  une mise en valeur des landes dans un exposĂ© de DĂ©livrĂ© figurant dans un Bulletin de la SociĂ©tĂ© Polymathique du Morbihan. Il s’agit pour ce dĂ©fenseur du monde agricole de contourner la contestation grandissante de la mainmise des grands propriĂ©taires exploitants sur des sites d’intĂ©rĂȘt archĂ©ologique et les communaux. Il dĂ©peint deux visions opposĂ©es, celle de l’archĂ©ologie rĂ©trograde et de l’agriculture novatrice, du petit paysan arriĂ©rĂ© face Ă  la modernitĂ© de la grande exploitation Sur un sol comme celui du Morbihan, oĂč des monuments celtiques s’élĂšvent en si grand nombre, il est facile de comprendre que les hommes de savoir sĂ©rieux qui s’y trouvent aient prĂȘtĂ© une oreille attentive Ă  ces tĂ©moins de temps inconnus Ă  l’histoire. L’archĂ©ologie parce qu’il faut l’appeler par son nom a donc absorbĂ© Ă  son profit une grande partie du fonds intellectuel du pays 
 L’archĂ©ologue se fait pour ainsi dire une existence toute rĂ©trospective ; il vit le plus souvent dans le passĂ©. Parcourir des ruines, interroger des dĂ©bris. Tel est son domaine, mais dans tous les cas assez indiffĂ©rent au bonheur de l’humanitĂ© 
 En quelques mots l’archĂ©ologie, c’est le doute, c’est l’obscuritĂ©, c’est une lutte incessante et souvent vaine contre les ravages impitoyables du temps et de la mort ; c’est le passĂ©, enfin, incapable Ă  notre avis de servir d’édification et de calque aux gĂ©nĂ©rations futures. L’agriculture, c’est le prĂ©sent, c’est l’avenir, c’est la lumiĂšre, c’est la vie dans toute son actualitĂ©, dans toute sa plĂ©nitude, dans toutes ses conditions normales, c’est-Ă -dire le pain au prix de la sueur, l’alimentation aprĂšs la transpiration 91 ». Vers le milieu du XIXe siĂšcle les activitĂ©s agricoles des landes de Lanvaux sont marquĂ©es par l’écobuage, mĂ©thode utilisĂ©e par les petits paysans pour se servir de la couverture vĂ©gĂ©tale, notamment les ajoncs, comme engrais, ou par l’étrĂ©page, les diverses plantes, dont les fougĂšres, servant de litiĂšre aux animaux. DĂšs les premiers jours de beau temps, les animaux sont laissĂ©s en libre pĂąture sur ces espaces isolĂ©s, couverts de pierres, considĂ©rĂ©s comme peu fertiles, et Ă  trĂšs faible densitĂ© humaine. Le Haut-Brambien n’échappe pas Ă  ce systĂšme de mise en valeur. Aujourd’hui nous avons pu constater que cet espace autrefois inculte et dĂ©sertique est partagĂ© entre des exploitations agricoles qui en utilisent une grande partie comme terres cultivĂ©es ou comme prĂ©s, sans prĂ©sence de pierres. Ne restent du plan-masse de MahĂ© que les bois. Que s’est-il passĂ© ? Pourquoi ce paysage du Haut-Brambien a-t-il subi une telle modification ? Pour Estelle Ducom 92, il faut parler de modifications au pluriel car les systĂšmes d’exploitation et la couverture vĂ©gĂ©tale de cet espace ont connu plusieurs transformations entre la mort de MahĂ© en 1831 et l’époque actuelle. Les concours des annĂ©es 1819 et 1829 ont montrĂ© la volontĂ© des grands investisseurs, issus des grands centres urbains comme Nantes, d’acquĂ©rir de grandes propriĂ©tĂ©s agricoles. Les landes appartenant aux communes et gĂ©rĂ©es comme espaces de pacage ne pouvaient que susciter des convoitises. DĂšs 1822 le prĂ©fet du Morbihan Ă©crit au maire de Pluherlin dont dĂ©pend la lande du Haut-Brambien que les communes stagnent dans la misĂšre Ă  cĂŽtĂ© de ressources qui pourraient ĂȘtre valorisĂ©es. Naturellement les paysans s’opposent Ă  tout changement qui mettrait en pĂ©ril les moyens gratuits dont ils disposent Ă  savoir l’approvisionnement de leurs bĂȘtes et la source d’engrais pour leurs cultures. Il n’est pas question de procĂ©der Ă  une modification du statut existant. Mais comme le montre Estelle Ducom sous les menaces incessantes du prĂ©fet, les travaux prĂ©liminaires du partage sont entamĂ©s en 1861 93 ». Les nouveaux grands propriĂ©taires crĂ©ent des fermes qui sont occupĂ©es par des populations venues des dĂ©partements limitrophes. Ainsi a analysĂ© Jean Mahaud le boisement des landes dĂ©buta rĂ©ellement Ă  partir de 1850 en raison des perspectives Ă©conomiques attrayantes liĂ©es Ă  une rotation rapide des plantations de pins maritimes 94». Les nouveaux espaces conquis sont ainsi pour partie plantĂ©s en pins, et pour partie pour les terres jugĂ©es les plus prometteuses, dĂ©frichĂ©es. Est-ce Ă  ce moment que les pierres sont systĂ©matiquement Ă©liminĂ©es, pierres qui sont incompatibles avec une agriculture en voie d’industrialisation ? Le processus s’est-il poursuivi au cours du XXe siĂšcle ? L’exemple de la parcelle boisĂ©e de Kerlaure 95 est un bon indicateur. 84 Alfred FOUQUET, Compte-rendu de quelques fouilles opĂ©rĂ©es en septembre 1864, Bulletin de la SociĂ©tĂ© Polymathique du Morbihan, 1864, 85 Hugues-François BLAIN, Jacques SANTROT, Gustave Paille, un archĂ©ologue Ă  façon » en Basse-Bretagne 1898-1905, in Annales de Bretagne et des pays de l’Ouest, Tome 107, numĂ©ro 3, 2000, p. 104. 86 M. de LORGERIL, MĂ©moire sur la nature et le dĂ©frichement des landes de Bretagne, Rennes, Vatar, 1819. 87 M. de LORGERIL, 1819, p. 3. 88 H. COLOMBEL, MĂ©moire sur les terres vaines et vagues de la ci-devant province de Bretagne, LycĂ©e armoricain, SeptiĂšme annĂ©e, 13e volume, Nantes, 1829, 89 NADAUD, MĂ©moire sur les terres vaines et vagues de la ci-devant province de Bretagne, LycĂ©e armoricain, SeptiĂšme annĂ©e, 13e volume, Nantes, 1829, pp 72 et 285. 90 REVEILLE de BEAUREGARD, Observations sur les moyens de parvenir aux dĂ©frichements des landes de Bretagne, LycĂ©e armoricain, SeptiĂšme annĂ©e, 13e volume, Nantes, 1829, pp. 105 et 192. 91 DELIVRE, De l’agriculture dans le Morbihan, Bulletin de la SociĂ©tĂ© polymathique du Morbihan, 1868, p. 180. 92 Estelle DUCOM, Étude d’un front pionnier agricole en phase de recul la dynamique spatiale des Landes de Lanvaux depuis le XIXe siĂšcle, mĂ©moire de DEA de gĂ©ographie, sous la direction de Jean-Pierre Marchand, Rennes 2, 2002. 93 Estelle DUCOM, La dynamique spatiale d’un vide » breton les Landes de Lanvaux depuis la fin du XIXe siĂšcle, Mappemonde, 71, 2003, p. 21. 94 Jean MAHAUD, Les paysages forestiers du Morbihan du recul Ă  la reconquĂȘte, Le Courrier de l’environnement, N°34, juillet 1988. 95 Voir chapitre II, 33.
NPiJSm.
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