lĂ©tablissement pour faire entendre la voix des usagers et veiller au respect de leurs droits. cvs-ehpad@ fonctionnement du Conseil de la Vie sociale Le Conseil de la 17 novembre 2020. ActualitĂ©s L’association CitoyennĂąge a Ă©tĂ© rĂ©cemment créée par des rĂ©sidents d’Ehpad, qui veulent ĂȘtre Ă©coutĂ©s par les instances dĂ©cisionnelles. Nicole Petit, 84 ans, rĂ©sidente Ă  la Maison Saint-Joseph, Ă  Gouarec 22, est secrĂ©taire nationale de l’association. Nicole Petit vit Ă  Gouarec depuis quatre ans. J’ai longtemps habitĂ© Belfort, oĂč je travaillais dans les filatures. Puis mon mari et moi nous nous sommes installĂ©s Ă  Lyon oĂč j’ai vĂ©cu 56 ans. Il y a quatre ans, Ă  son dĂ©cĂšs, je suis venue ici. Pour me rapprocher de ma fille qui habite Silfiac, juste Ă  cĂŽtĂ© ». Nicole Petit, et c’est elle qui l’explique, n’a jamais eu un caractĂšre trĂšs revendicateur. Ça n’était pas mon truc. Il y a trois ans je suis devenue prĂ©sidente du conseil de la vie sociale de l’établissement oĂč je vis. Et je me suis prise au jeu. Avec une animatrice, je participais activement aux rĂ©unions de CitoyennĂąge. Un mouvement qui vise Ă  donner la parole aux rĂ©sidents dans la gestion, au quotidien, des structures qui les accueillent ». Les mois passant, ce mouvement s’est structurĂ© en association nationale, avec, Ă  sa tĂȘte, Philippe Wender, prĂ©sident, un ancien cadre de l’industrie informatique, qui vit en Ehpad dans le Val-de-Marne. Nous, les vieux, on ne nous demande pas notre avis », proteste cet homme de 83 ans. Notre association se veut constructive. Nous voulons porter notre parole auprĂšs des directions des Ă©tablissements, mais aussi auprĂšs des hautes instances et du gouvernement », poursuit Nicole Petit, ses dossiers mĂ©ticuleusement posĂ©s sur la table. Une lettre adressĂ©e Ă  Emmanuel Macron RĂ©cemment, cette retraitĂ©e a Ă©tĂ© sollicitĂ©e pour recopier, d’une maniĂšre manuscrite, une lettre adressĂ©e au PrĂ©sident Macron. Il ne l’a pas encore reçue mais ça ne saurait tarder. On lui demande de mettre les moyens humains nĂ©cessaires dans les Ehpad, oĂč les gens qui travaillent sont trop sollicitĂ©s. Sur ce plan-lĂ , la Covid-19 n’a pas arrangĂ© les choses ». Nicole Petit, a participĂ© Ă  trois colloques Ă  Paris. Le dernier Ă©tait consacrĂ© Ă  l’écologie en Ehpad. On n’écarte aucun sujet, poursuit-elle. Nous sommes aussi en lien avec d’autres Ă©tablissements. Nous avons notre mot Ă  dire et on ne s’en privera pas ». Nicole Petit a insistĂ© pour que Marie-Christine Écale, la directrice de la Maison Saint-Joseph, soit Ă  ses cĂŽtĂ©s lors de l’entretien. Elle en profite pour Ă©voquer avec elle un problĂšme qui lui tient Ă  cƓur. Pourquoi un couple, dont un des membres vit Ă  l’extĂ©rieur, a-t-il des droits de visite bien supĂ©rieurs aux nĂŽtres, les veufs ? Je ne trouve pas ça normal ». La directrice lui promet de se pencher sur le sujet prochainement. Le dialogue est ouvert. Contact site internet Cependant les textes disposent Ă©galement qu’au sein du CVS « le Directeur ou son reprĂ©sentant siĂšge avec voix consultative », Ă  l’exception de certains Ă©tablissements pour mineurs oĂč il siĂšge avec voix dĂ©libĂ©rative (les Ă©tablissements pour personnes ĂągĂ©es comme le vĂŽtre ne sont pas concernĂ©s : en EHPAD ou rĂ©sidence autonomie, le Directeur TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Parfois, vous avez des difficultĂ©s Ă  faire entendre votre voix, que ce soit pendant une rĂ©union professionnelle, une conversation avec votre conjoint ou tout simplement dans de la vie courante. Les femmes se trouvent souvent dans cette situation. En effet, elles sont traitĂ©es d'ambitieuses ou de criardes, quand elles Ă©lĂšvent la voix pour faire valoir leurs opinions [1] . La formule magique qui oblige les gens Ă  vous Ă©couter reste Ă  inventer. Cependant, vous pouvez faire certaines choses pour vous imposer et vous faire entendre. 1 RĂ©flĂ©chissez Ă  propos du rĂ©sultat que vous cherchez Ă  atteindre. Ainsi, vous comprendrez mieux la signification de l'expression se faire entendre, avant d'engager la conversation avec votre interlocuteur. De plus, vous saurez si vous avez atteint votre but. Par exemple, s'il s'agit d'imposer un travail, Ă  quoi ressemblera-t-il ? S'agit-il de partager la plupart de vos idĂ©es ? Allez-vous prendre votre courage Ă  deux mains et prĂ©senter des demandes qui vous tiennent Ă  cƓur ? Y a-t-il autre chose ? En dĂ©finissant clairement des objectifs plus modestes, vous arriverez plus facilement Ă  dĂ©composer un but aussi important que celui de vous faire entendre en Ă©tapes simples Ă  rĂ©aliser. 2 Soyez sĂ»r de vous-mĂȘme en communiquant. Certaines personnes hĂ©sitent Ă  s'affirmer parce qu'elles ont peur de paraitre arrogantes. Toutefois, communiquer avec confiance revient Ă  exprimer vos idĂ©es et vos besoins tout en respectant ceux des autres. Vous collaborez sans arrogance, directement et sans rabaisser votre interlocuteur. Vous pouvez aussi apprendre Ă  renforcer votre confiance en vous-mĂȘme et amĂ©liorer votre maniĂšre de communiquer [2] [3] . Utilisez des dĂ©clarations contenant le pronom personnel je. Ainsi, vous parlerez plus clairement et plus directement sans faire de reproche Ă  votre interlocuteur. Par exemple, si votre ami oublie constamment votre rendez-vous du soir, vous pouvez lui dire je suis fĂąchĂ©e quand vous oubliez nos rendez-vous, parce que j'ai l'impression que je ne compte pas pour vous ». Sachez dire non. Certaines personnes n'osent pas refuser, mais vous devez reconnaitre qu'il n'est pas nĂ©cessaire d'accepter pour paraitre poli [4] . Essayez de gagner du temps avant de prendre votre dĂ©cision [5] . Vous pouvez aussi dire que vous avez d'autres engagements, comme je veux bien vous aider, mais j'ai eu une semaine trĂšs difficile et j'ai besoin d'un certain temps pour rĂ©cupĂ©rer » [6] . Parlez aussi clairement que possible. Parfois, votre interlocuteur ne vous Ă©coute pas parce que vos propos sont tellement confus qu'il ne peut pas vous comprendre. Si vous souhaitez que vos enfants passent les fĂȘtes avec vous, vous pouvez le leur suggĂ©rer indirectement en disant il serait bien de passer NoĂ«l ensemble ». Mais vos enfants peuvent ne pas comprendre qu'il s'agit d'une demande. Cependant, si vous dites quelque chose comme j'attache beaucoup d'importance Ă  passer les fĂȘtes de NoĂ«l avec vous. Je vous demande de faire un effort pour venir ». En parlant de la sorte, vous avez exprimĂ© clairement et sincĂšrement ce que vous pensez sans ĂȘtre exigeant ou arrogant. La maniĂšre dont les autres comprennent vos paroles vous Ă©chappe, mais au moins vous avez fait ce que vous pensez ĂȘtre juste. Excusez-vous normalement. Assumez vos erreurs et efforcez-vous de faire mieux la prochaine fois. Toutefois, Ă©vitez de vous confondre en excuses continuellement pour ne pas paraitre indĂ©cis. 3 Pratiquez au prĂ©alable. Vous risquez d'ĂȘtre intimidĂ© ou Ă©nervĂ© lorsque vous commencez Ă  affirmer votre personnalitĂ©. Facilitez-vous la tĂąche en vous exerçant Ă  communiquer d'abord. Vous pouvez vous exercer seul ou demander Ă  un ami de vous donner la rĂ©plique [7] . Vous n'avez pas besoin d'apprendre un discours par cƓur. Pour ĂȘtre plus confiant, il vous suffit de vous entrainer pour parler correctement et rĂ©pondre Ă  certaines questions. La confiance en soi est primordiale pour se faire Ă©couter, surtout dans le monde des affaires [8] . Pratiquez devant un miroir. Surveillez votre apparence quand vous parlez. Entrainez-vous Ă  maintenir un contact visuel avec vous-mĂȘme pendant l'exercice. Enregistrez-vous et examinez l'enregistrement. La maniĂšre de vous exprimer est parfois plus importante que la teneur de votre discours. 4 Surveillez votre langage corporel. Une posture confiante dĂ©note une bonne maitrise de soi et une aptitude Ă  contribuer. Lorsque vous montrez que vous avez confiance en vous-mĂȘme, vos interlocuteurs seront enclins Ă  vous faire confiance aussi [9] . Dans le cas contraire, ils auront tendance Ă  accorder peu d'importance Ă  vos paroles. La recherche a Ă©galement montrĂ© que votre discours ne sera pas aussi convaincant [10] . DĂ©finissez votre espace vital selon vos besoins. Ne rentrez pas vos pieds sous la chaise, ne mettez pas vos mains sur vos genoux et ne croisez pas les jambes ou les chevilles. Asseyez-vous en ayant les pieds bien plantĂ©s sur le sol. Tenez-vous debout les pieds Ă©cartĂ©s Ă  la largeur des Ă©paules. Vous n'avez pas Ă  prendre un espace qui dĂ©passe vos besoins et gardez-vous aussi de le prendre au dĂ©triment des autres, car il s'agirait d'une agression plus que d'une affirmation de soi [11] . Soyez ouvert. Ne croisez pas vos bras ou vos jambes quand vous ĂȘtes assis ou debout. Ne placez pas un sac devant vous et Ă©vitez de mettre vos mains dans vos poches. Ces postures dĂ©notent la nervositĂ© ou l'indiffĂ©rence Ă  propos de ce qui se passe autour de vous [12] . Tenez-vous correctement. Vous n'ĂȘtes pas obligĂ© de vous raidir. Cependant, Ă©vitez de vous dandiner d'une jambe sur l'autre ou de l'avant vers l'arriĂšre. Tenez-vous debout confortablement en bombant lĂ©gĂšrement le torse. Établissez un contact visuel. Ce contact est primordial pour communiquer efficacement avec les autres. Maintenez-le pendant quatre Ă  cinq secondes d'affilĂ©e. Efforcez-vous d'avoir ce genre de contact avec votre interlocuteur pendant 50 % de votre temps de parole et 70 % de votre temps d'Ă©coute [13] . 5 Faites attention Ă  votre style linguistique. En fait, il s'agit de vos paroles et de votre façon de vous exprimer. Votre style comprend des Ă©lĂ©ments comme le ton et la hauteur de votre voix, le dĂ©bit de vos paroles, le choix des mots et autres questions de rhĂ©torique [14] . Votre style linguistique peut encourager votre interlocuteur Ă  vous Ă©couter ou le contraire. Veillez Ă  contrĂŽler le dĂ©bit de vos paroles. Si votre dĂ©bit est trop rapide, les gens auront beaucoup de mal Ă  vous suivre et peuvent penser que vous ĂȘtes particuliĂšrement nerveux. Cependant, si vous parlez trop lentement, votre interlocuteur risque de s'impatienter et peut penser que vous manquez de confiance en vous-mĂȘme. Efforcez-vous d'avoir un rythme rĂ©gulier [15] . Les particularitĂ©s culturelles et sociales peuvent Ă©galement avoir un impact. Par exemple, aux États-Unis, une personne du Texas, oĂč il est courant d'articuler lentement en prenant son temps, peut se sentir dĂ©passĂ©e par le rythme rapide des paroles d'un New-Yorkais. Inversement, une personne de New York risque de s'impatienter en Ă©coutant un Texan en raison de la lenteur de son dĂ©bit et la frĂ©quence de ses pauses [16] . Les femmes ont tendance Ă  donner de l'importance aux expressions linguistiques concernant les rapports sociaux et les relations. Quant aux hommes, ils s'intĂ©ressent plutĂŽt aux expressions en rapport avec le statut et la franchise. Lorsque des expressions linguistiques sont employĂ©es dans une conversation, des personnes en provenance d'horizons divers risquent de ne pas comprendre le message vĂ©hiculĂ© par ces expressions [17] . Examinez le cas de diffĂ©rents orateurs, comme Barack Obama, Garrison Keillor et Martin Luther King Jr. Bien que leurs styles linguistiques soient largement diffĂ©rents, ils s'expriment tous avec une Ă©loquence extrĂȘme. Ils modifient la hauteur de leur voix et la vitesse de leur dĂ©bit en fonction des idĂ©es exposĂ©es. Ils font des pauses pour permettre Ă  leurs idĂ©es de faire leur chemin dans l'esprit du public. En regardant sur YouTube » quelques discours donnĂ©s par d'excellents orateurs, vous pourrez acquĂ©rir ces compĂ©tences plus facilement. 6Recherchez des solutions de rechange. MĂȘme avec beaucoup de pratique, il est difficile d'ĂȘtre continuellement brillant en sociĂ©tĂ©. Toutefois, dans le monde actuel gouvernĂ© par la technologie, vous disposez de nombreux moyens pour faire entendre votre voix. Pensez Ă  crĂ©er un blogue, publier des articles sur les mĂ©dias sociaux, Ă©crire des lettres au rĂ©dacteur en chef de votre journal ou mĂȘme travailler comme journaliste. Parfois, le plus important est de s'exprimer. 7 Apprenez Ă  Ă©couter attentivement. C'est l'une des qualitĂ©s qui vous permettent de faire entendre votre voix. De plus, vous trouverez plus facilement des personnes qui savent Ă©couter, car une personne vous prĂȘtera facilement l'oreille, si vous Ă©coutez ce qu'elle souhaite vous dire. Voici quelques mĂ©thodes que vous pourrez essayer [18] [19] . Rangez votre tĂ©lĂ©phone portable ou votre baladeur numĂ©rique lorsque vous avez une conversation avec quelqu'un. Évitez de regarder autour de vous. PrĂȘtez attention Ă  votre interlocuteur. Demandez des prĂ©cisions si nĂ©cessaire. À l'occasion, dites des choses comme voyons si j'ai bien compris vos paroles. J'ai entendu ____. Est-ce bien ce que vous avez voulu dire ? » Ce genre d'expressions permet Ă  votre interlocuteur de clarifier tout malentendu sans se mettre sur la dĂ©fensive. RĂ©capitulez. Il s'agit de reprendre les principaux points de votre discours. Par exemple, vous pouvez conclure une rĂ©union en disant par consĂ©quent, nous devrons entreprendre les actions _______ et _________. Avez-vous quelque chose Ă  ajouter ? » Donnez des encouragements. Vous pouvez recourir Ă  un minimum d'incitatifs, tels que les hochements de tĂȘte et des mots comme oui » ou des questions, comme que s'est-il passĂ© ensuite ? » Évitez de prĂ©parer votre rĂ©ponse pendant que votre interlocuteur parle. Écoutez attentivement, puis exprimez vos idĂ©es. PublicitĂ© 1 Adaptez votre style Ă  votre public. Pour vous faire entendre, surtout au travail, vous devez vous exprimer le plus clairement possible en tenant compte de vos interlocuteurs. Lorsque vous essayez de faire valoir votre point de vue, assurez-vous de savoir au prĂ©alable Ă  qui vous allez adresser la parole [20] [21] [22] . Examinez la maniĂšre de communiquer de votre interlocuteur. Parle-t-il rapidement en prĂ©sentant ses idĂ©es ? Ou bien prend-il son temps pour s'exprimer posĂ©ment ? Si vous parlez vite Ă  quelqu'un qui a une Ă©locution lente, il est fort possible qu'il soit dĂ©couragĂ© pour Ă©couter vos paroles, aussi intĂ©ressantes soient-elles. Efforcez-vous de rĂ©gler correctement votre dĂ©bit pour permettre Ă  votre auditoire de vous suivre. 2 FrĂ©quentez vos collĂšgues. Cela vous aidera Ă  dĂ©finir la maniĂšre de communiquer qui correspond le mieux Ă  votre auditoire, mais vous devez aussi savoir parler Ă  vos camarades. Si vous voulez qu'ils s'intĂ©ressent Ă  ce que vous dites, vous devez vous mettre Ă  leur portĂ©e et donc dĂ©terminer leur niveau [23] . Trouvez ce qui les intĂ©resse et façonnez vos idĂ©es pour rĂ©pondre Ă  leurs prĂ©occupations. S'ils ont un blogue, lisez-le. S'ils Ă©crivent des articles pour une revue concernant votre domaine, lisez-les aussi. N'oubliez pas que vous cherchez Ă  avoir un aperçu sur leurs idĂ©es. Trouvez des sujets qui les attirent et qu'ils aiment. Pour ĂȘtre entendu effectivement, vous devez organiser vos idĂ©es de façon Ă  retenir l'attention de vos collĂšgues. Par exemple, s'ils s'intĂ©ressent rĂ©ellement Ă  la protection de l'environnement, essayez de montrer comment vos idĂ©es contribuent Ă  rĂ©aliser cet objectif. Observez comment les autres prennent la parole. Apprenez Ă  faire entendre vos idĂ©es, vos opinions et Ă  ĂȘtre Ă©coutĂ©. Observez comment les autres font pour ĂȘtre Ă©coutĂ©s et comment se dĂ©roule la conversation. Ceci varie d'une personne Ă  une autre, d'un bureau Ă  un autre, et il y a Ă©galement d'importantes diffĂ©rences culturelles. Observez le comportement des gens lors de rĂ©unions professionnelles, spĂ©cialement sur votre lieu de travail. Vous noterez alors comment le patron ou le responsable rĂ©pond Ă  un interlocuteur. RĂ©agit-il mieux Ă  une question subtile ou Ă  une approche directe ? Observez le comportement des gens. Comment le cousin Pierre obtient-il l'attention de votre grand-mĂšre ? Pourquoi le chef de secteur Ă©coute-t-il plus Marie que vous ? Prenez en compte les diffĂ©rences culturelles. Celles-ci peuvent varier Ă©normĂ©ment ou trĂšs peu suivant l'endroit oĂč vous vous trouvez. L'ambiance de travail et les interactions en Chine ne sont pas les mĂȘmes qu'au Mexique. 3 Évitez de mĂ©sestimer vos idĂ©es. Vous pouvez le faire inconsciemment en adoptant un ton confus et dĂ©solĂ© ou en faisant de l'autodĂ©rision, mais vous agirez en votre dĂ©faveur. Si vous rencontrez quelqu'un dans le couloir, qui vous dit par exemple je suis dĂ©solĂ© de vous ennuyer. Pouvez-vous m'accorder deux minutes, j'ai quelque chose Ă  vous dire ? » Seriez-vous prĂȘt Ă  Ă©couter cette personne [24] ? ParticuliĂšrement au travail, la confiance est importante pour convaincre les autres de prĂȘter attention Ă  vos idĂ©es. Faites usage des suggestions de cet article pour communiquer avec dynamisme et confiance. Être confiant ne signifie pas ĂȘtre agressif ou arrogant. Vous pouvez reconnaitre la contribution des autres et montrer votre apprĂ©ciation pour leur effort sans amoindrir votre propre apport. Par exemple, essayez la formule suivante bonjour, je crois que j'ai une excellente idĂ©e pour notre projet. Avez-vous quelques instants Ă  me consacrer ? » C'est une façon de montrer que vous accordez de l'importance au temps de votre interlocuteur, sans pour autant avoir l'air de vous excuser parce que vous avez une bonne idĂ©e [25] . 4 Tenez-vous bien informĂ©. Lors d'une rĂ©union, vous ne voulez vraiment pas vous contenter de faire des propositions sans avoir la moindre idĂ©e sur les choses qui se dĂ©roulent autour de vous. Veillez Ă  vous informer Ă  propos des questions qui seront traitĂ©es au travail ou lors d'une rĂ©union [26] . Pour retenir facilement l'attention de vos interlocuteurs pendant une rĂ©union ou une discussion, prĂ©parez certaines idĂ©es et opinions afin de parler en connaissance de cause. Ainsi, vous aurez un point de dĂ©part pour vous exprimer, surtout si vous ĂȘtes hĂ©sitant. 5 Choisissez un moyen d'expression qui vous convient. Efforcez-vous de mettre vos points forts en avant, quand vous menez une discussion ou lorsque vous dĂ©crivez une situation au travail, sans pour autant perdre de vue les prĂ©occupations de votre auditoire. Si vous prĂ©fĂ©rez PowerPoint », utilisez ce moyen pour prĂ©senter vos idĂ©es [27] . Le public apprend et assimile l'information de diffĂ©rentes maniĂšres. Lors d'une rĂ©union, vous pouvez essayer de dĂ©terminer si le public ou vos collĂšgues sont des apprenants visuels, des apprenants kinesthĂ©siques ou des apprenants auditifs. Une bonne mĂ©thode consiste Ă  prĂ©senter l'information en mĂ©langeant vos styles de communication. Ainsi, vous permettrez Ă  votre public de vous suivre plus facilement. Par exemple, vous pouvez rĂ©aliser un diaporama, un dĂ©pliant et une petite discussion sur votre thĂšme. 6 Parlez en premier dans une discussion. En gĂ©nĂ©ral, le premier intervenant sera entendu avec plus d'attention que les suivants. Si vous avez des idĂ©es, prenez la parole en premier. Si vous tergiversez, vous risquez de perdre le fil de la discussion [28] . Évidemment, n'entrez pas dans une conversation si vous n'y ĂȘtes pas invitĂ©. Vous aurez l'air un peu prĂ©somptueux. Vous aurez probablement besoin d'un peu de temps pour vous amĂ©liorer. Certaines personnes peuvent interprĂ©ter une courte pause comme un silence embarrassĂ©. D'autres auront besoin de quelques instants pour assimiler vos paroles. DĂ©terminez la bonne durĂ©e de vos pauses, puis allez-y [29] . 7 Posez des questions. Parfois, les gens sont tellement pris par leurs idĂ©es, qu'ils oublient que les questions sont aussi importantes et parfois mĂȘme plus que les idĂ©es. Les questions peuvent faciliter la clarification de certains concepts ou amener le public Ă  rĂ©flĂ©chir diffĂ©remment sur un problĂšme [30] [31] . Par exemple, si vos collĂšgues discutent Ă  propos de la meilleure maniĂšre d'employer la journĂ©e de travail, vous pouvez poser une question concernant le but recherchĂ© par la direction ou l'identification des problĂšmes, etc. PrĂ©parez des questions, mĂȘme si vous ne les utiliserez pas. Ainsi, vous pourrez clarifier vos propres idĂ©es et faciliter votre participation. 8 Suscitez l'intĂ©rĂȘt du public. Assurez-vous de prĂ©senter vos idĂ©es clairement et succinctement, pour Ă©viter Ă  vos paroles d'entrer par une oreille et sortir par l'autre. Vous pouvez retenir l'attention de votre public en employant des illustrations attrayantes, en racontant une anecdote ou en rappelant des Ă©vĂšnements antĂ©rieurs [32] . MĂȘme si vous vous adressez Ă  une foule nombreuse, Ă©tablissez un contact visuel pendant votre allocution. Balayez naturellement la salle du regard pour accrocher le regard de plusieurs participants. À la fin de vos phrases, regardez votre auditoire directement [33] . 9 Ne vous attendez pas Ă  ĂȘtre sollicitĂ© pour donner votre avis. Cela s'applique gĂ©nĂ©ralement Ă  n'importe quel moment de l'existence et plus particuliĂšrement pendant le travail. Parfois, les gens sont tellement prĂ©occupĂ©s par leurs propres idĂ©es qu'ils n'ont pas le temps de s'inquiĂ©ter des vĂŽtres. Ils supposent que vous parlerez si vous avez quelque chose Ă  dire [34] . Vous devrez faire un effort pour vous exprimer et vous faire entendre. Si vous ne le faites pas, vous passerez tout simplement inaperçu. Vous aurez peut-ĂȘtre besoin d'un certain temps pour apprendre Ă  vous exprimer aisĂ©ment, mais vous vous perfectionnerez en pratiquant rĂ©guliĂšrement. La maitrise de ce procĂ©dĂ© risque d'ĂȘtre plus compliquĂ©e pour les femmes qui ont appris Ă  ne pas prendre en compte les besoins des autres, surtout au dĂ©triment des leurs, mĂȘme si cette attitude risque d'ĂȘtre perçue comme impolie [35] . PublicitĂ© 1 Choisissez le bon moment. Pour ĂȘtre sĂ»r d'ĂȘtre entendu, choisissez le bon moment et le bon endroit, notamment si votre conversation porte sur un sujet important [36] . Il est prĂ©fĂ©rable d'avoir un entretien particulier au lieu d'un Ă©vĂšnement public. Par consĂ©quent, s'il s'agit d'un problĂšme avec votre bienaimĂ©, il vaut mieux Ă©viter d'en dĂ©battre devant toute la famille, surtout si c'est pendant la veille de NoĂ«l, car ce n'est vraiment pas le moment. De mĂȘme, si vous choisissez un moment oĂč vous ĂȘtes perturbĂ© ou grincheux, par exemple au cours d'un long trajet en voiture, il est probable que votre interlocuteur ne prĂȘtera pas attention Ă  vos paroles. 2 DĂ©terminez Ă  l'avance ce que vous allez dire. Vous n'ĂȘtes pas obligĂ© de rĂ©diger votre discours en dĂ©tail, mais il sera utile de prĂ©ciser par Ă©crit les points que vous aborderez. C'est trĂšs important si vous ĂȘtes timide ou si vous avez des difficultĂ©s Ă  garder le fil de vos idĂ©es. Vos notes vous serviront Ă©ventuellement Ă  suivre une conversation plus facilement, parce que vous vous souviendrez mieux des thĂšmes que vous aborderez. Posez-vous des questions, par exemple Ă  propos de la solution que vous devrez appliquer ou des actions supplĂ©mentaires Ă  entreprendre pour faire entendre votre voix. 3 VĂ©rifiez si votre interlocuteur est disposĂ© Ă  vous Ă©couter. Cette question est en rapport avec la recherche du bon moment et du bon endroit. Cependant, il est important de savoir si votre interlocuteur est en mesure de dialoguer. S'il semble incapable de vous entendre, vos paroles n'auront aucun effet, quelle que soit leur nature. Si quelqu'un n'est pas prĂȘt Ă  vous Ă©couter, il ne le fera pas [37] . Vous aurez des indices en observant le langage corporel de votre interlocuteur. Il est probablement sur la dĂ©fensive ou il refuse de prĂȘter attention Ă  ce que vous direz, s'il garde ses distances ou s'il Ă©vite de vous regarder. S'il est agressif ou en colĂšre, vous aurez beaucoup de difficultĂ©s pour l'amener Ă  vous Ă©couter. Dans ce cas, il vaut mieux clore l'entretien le plus rapidement possible. 4 Assurez-vous d'avoir un langage corporel favorable. Lorsque vous essayez d'encourager quelqu'un Ă  vous Ă©couter, vous devez faire les gestes appropriĂ©s. Efforcez-vous de ne pas bloquer une conversation en prĂȘtant une attention exagĂ©rĂ©e Ă  votre langage corporel [38] . Si vous pouvez, asseyez-vous Ă  cĂŽtĂ© de la personne Ă  qui vous vous adressez. Cependant, ne vous approchez pas trop pour Ă©viter de la dĂ©ranger, mais suffisamment pour Ă©tablir le contact. Parlez d'une voix normale et ayez une posture aussi neutre que possible. Évitez de croiser les bras sur votre poitrine ou de serrer les poings. Ayez un air le plus avenant possible. Maintenez un contact visuel avec votre interlocuteur. Cela vous aidera Ă  Ă©valuer ses sentiments et son aptitude Ă  Ă©couter. Ainsi, vous aurez plus de facilitĂ© pour communiquer. 5 Campez le dĂ©cor. Votre but est d'intĂ©resser votre interlocuteur sans le dĂ©valoriser. Si vous brusquez votre vis-Ă -vis dĂšs le dĂ©but, vous verrez qu'il sera pratiquement impossible de trouver un terrain d'entente. N'oubliez pas qu'il est prĂ©fĂ©rable d'avoir un dialogue constructif au lieu d'une confrontation stĂ©rile [39] . Par exemple, vous pouvez dire je suis en face d'une difficultĂ© et je me demande si vous pouvez m'aider Ă  la rĂ©soudre ». Puis, continuez en expliquant que vous cherchez quelqu'un pour garder vos enfants. Vous pouvez aussi dire la chose suivante je suis confus, mais pouvez-vous m'aider Ă  comprendre cette situation ? » Ensuite, parlez de la mauvaise communication qui existe entre vous et de votre dĂ©sir de collaborer pour l'amĂ©liorer. 6 Exprimez vos faiblesses plutĂŽt que votre colĂšre. GĂ©nĂ©ralement, la colĂšre sert Ă  masquer quelque chose de plus profond, comme la peur ou la douleur. En cĂ©dant Ă  la colĂšre, vous fermerez la porte au dialogue [40] . Cependant, les faiblesses sont plus difficiles et plus effrayantes Ă  exprimer, mais elles ont plus de chance d'intĂ©resser votre interlocuteur. Cela suppose que vous devrez partager votre peine d'une maniĂšre plus rĂ©flĂ©chie. C'est pourquoi des dĂ©clarations contenant je » sont trĂšs importantes pour expliquer les raisons de votre peine et de votre dĂ©ception. Par exemple, il est prĂ©fĂ©rable de dire j'ai Ă©tĂ© contrariĂ© lorsque vous avez oubliĂ© de passer au pressing pour rapporter ces affaires et il m'a semblĂ© que vous avez prĂ©fĂ©rĂ© revenir directement Ă  la maison pour vous reposer, au lieu de donner Ă  mon rĂ©cital l'importance qu'il mĂ©rite » que vous oubliez frĂ©quemment de faire les choses. Je crois que vous n'avez pas donnĂ© Ă  mon rĂ©cital l'importance qu'il mĂ©rite ! » 7 Efforcez-vous de faire entendre votre voix. Tenir une conversation et se faire entendre ne sont pas des activitĂ©s Ă  sens unique. Vous ne pouvez pas espĂ©rer qu'une personne prĂȘte attention Ă  vos paroles, si vous ne faites un effort pour l'Ă©couter. Vous aurez probablement des difficultĂ©s Ă  admettre ses critiques concernant vos problĂšmes relationnels. Cependant, si vous voulez que votre interlocuteur prenne en compte vos paroles, vous devrez l'Ă©couter Ă  votre tour. Écoutez votre interlocuteur. Vous n'obtiendrez aucun rĂ©sultat positif, si vous ne prĂȘtez pas attention aux explications de votre partenaire, par exemple j'ai oubliĂ© de passer au pressing parce que j'ai Ă©tĂ© trĂšs stressĂ©e au sujet des mauvaises notes obtenues par notre enfant Ă  l'Ă©cole » [41] . Soyez attentif aux paroles de votre interlocuteur. Si vous avez du mal Ă  suivre ou si vos propres pensĂ©es accaparent toute votre attention, n'hĂ©sitez pas Ă  lui demander de rĂ©pĂ©ter ce qu'il vient de dire. Regardez votre interlocuteur en face quand il parle et prĂȘtez attention Ă  ce qu'il dit au lieu de rĂ©flĂ©chir Ă  votre rĂ©plique. 8 Cultivez votre sens de l'humour. Pour amener les gens Ă  vous Ă©couter pendant les conversations importantes, gardez le sourire mĂȘme si vous ĂȘtes peinĂ© ou contrariĂ©. Cette attitude peut ĂȘtre affectivement trĂšs difficile et fatigante. Si vous pouvez aborder votre interlocuteur avec humour, il est fort possible d'obtenir plus de lui [42] . AprĂšs tout, les gens seront plus enclins Ă  vous Ă©couter si vous ĂȘtes plein d'humour au lieu d'ĂȘtre sous l'emprise de vos Ă©motions. 9 Acceptez que votre interlocuteur ne soit pas disposĂ© Ă  vous Ă©couter. Vous ne pouvez pas vous faire entendre tout le temps. C'est tout simplement impossible. Le fait d'agir correctement importe peu vous avez plantĂ© le dĂ©cor, vous avez choisi le bon moment, vous ĂȘtes restĂ© calme au lieu de cĂ©der Ă  votre colĂšre, mais votre interlocuteur regarde ailleurs en pensant Ă  autre chose. Parfois, vos interlocuteurs ne sont pas prĂȘts Ă  vous Ă©couter et d'autres fois, ils ne voudront jamais le faire. Si, Ă  plusieurs reprises, quelqu'un ne peut pas ou ne veut pas prĂȘter attention Ă  vos paroles, vous devrez peut-ĂȘtre rĂ©examiner l'utilitĂ© de continuer Ă  le frĂ©quenter. PublicitĂ© 1 DĂ©terminez s'il est utile de prendre la parole. Pour ĂȘtre Ă©coutĂ©, vous devez parler au moment opportun. Autrement dit, il ne s'agit pas de parler continuellement. Souvenez-vous que la quantitĂ© et la qualitĂ© vont rarement ensemble [43] . Parfois, les gens ont seulement besoin d'une oreille amicale. Il est aussi trĂšs important de savoir Ă©couter les autres. Habituez-vous Ă  ne parler que pour dire des choses importantes. Les gens auront tendance Ă  vous Ă©couter s'ils savent que vous parlez de questions intĂ©ressantes. 2 Parlez Ă  bon escient. Vous n'avez pas besoin de parler Ă  tout le monde ou de parler tout le temps. Les gens sont plus ou moins rĂ©ceptifs et prĂȘts Ă  vous Ă©couter selon le lieu et l'heure. À long terme, vous aurez plus de chances d'ĂȘtre Ă©coutĂ©, si vous connaissez les lieux propices pour avoir une conversation. Par exemple, pendant un long voyage en avion, une personne sera probablement moins rĂ©ceptive qu'une autre avec laquelle vous essayez d'engager la conversation, alors que vous faites la queue pour assister Ă  un concert que vous aimez. De mĂȘme, que pensez-vous d'une personne qui regarde par la fenĂȘtre du bus en portant ses Ă©couteurs ? Oui ! Elle n'a probablement pas envie de savoir que vous vous ĂȘtes lancĂ© dans la vente des voitures d'occasion Ferrari ». MĂȘme les personnes les plus rĂ©ceptives peuvent perdre leur concentration aprĂšs un certain temps. Si votre intervention a durĂ© plus de quarante secondes, il est prĂ©fĂ©rable de conclure pour donner Ă  votre interlocuteur une chance de s'exprimer [44] . 3 Sachez montrer votre besoin de vous Ă©pancher. Parfois, nous avons besoin d'une oreille compatissante pour Ă©couter nos malheurs. Mais, certaines personnes prĂ©fĂšrent vous suggĂ©rer des solutions au lieu de suivre vos paroles. Plusieurs d'entre elles seront heureuses de vous entendre ou de montrer leur sympathie, si vous leur expliquez vos besoins. Toutefois, si votre interlocuteur prĂ©fĂšre suggĂ©rer des solutions, il sera probablement moins enclin Ă  faire attention Ă  vos paroles [45] . De mĂȘme, il est bon de vĂ©rifier auprĂšs de vos amis s'ils veulent avoir des conseils pour rĂ©soudre un problĂšme ou s'ils n'ont besoin que d'une oreille sympathique pour les Ă©couter. PublicitĂ© Conseils N'oubliez pas que le fait d'Ă©lever la voix n'obligera pas votre interlocuteur Ă  vous Ă©couter. En fait, plus vous criez, plus il sera tentĂ© de se fermer au lieu de vous suivre. Si vous ĂȘtes timide, essayez d'imaginer votre interlocuteur portant ses sous-vĂȘtements ! C'est peut-ĂȘtre une idĂ©e mĂ©chante, mais elle facilite Ă  plusieurs personnes de dire ce qu'elles pensent. PublicitĂ© Avertissements N'oubliez pas que personne n'est tenu Ă  vous consacrer son temps ou son attention, pas mĂȘme la pauvre vendeuse de la supĂ©rette. Si personne ne vous Ă©coute, rĂ©examinez la nature de vos paroles. PublicitĂ© À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 22 550 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ?
Nosaßnés en déconfinement conditionnelAu nom de la protection sanitaire, la devise de la République Liberté, Egalité, Fraternité a été particuliÚrement éprouvée dans les établissements pour personnes ùgées : confinés bien avant les autres citoyens, déconfinés bien aprÚs, les aßnés ont été touchés plus durement par la restriction de leurs libertés,
Dans la continuitĂ© des rĂ©vĂ©lations apportĂ©es par le livre les fossoyeurs », les auditions, contrĂŽles, missions FLASH ou autres rapports se succĂšdent. Mais si les nombreux rapports et missions flashs concernant ces Ă©tablissements ont toujours encouragĂ© le changement, aucun ne prĂ©conise une disparition pure et simple du modĂšle des EHPAD. Peut-ĂȘtre la preuve que la maltraitance institutionnelle ne provient ni du modĂšle ni du management des directeurs, mais bien de la faiblesse des moyens humains et financiers. Le CHFO vous propose une synthĂšse et son analyse de toute cette littĂ©rature !
Voixconsultatives de tous les : Le reprĂ©sentant de l’éta lissement - Pierre-Bernard GESREL, directeur Le reprĂ©sentant d’une asso iation d’usagers extĂ©rieurs - Joseph GAUTIER, membre CISS 22 Contact CVS Foyer de vie de Moncontour: HospitalitĂ© Saint-Thomas de Villeneuve 1 place du Chauchix 22510 MONCONTOUR ou : cvs-foyer@ et 16 dĂ©cembre 2016 5 16 /12 /dĂ©cembre /2016 1733 EHPAD St Jacques de COMPOSTELLE71 / 73 route des Lacs - 33780 SOULAC SUR MER 05 56 73 50 50 - 7 05 56 41 45 64e-mail contact DE VIE SOCIALERELEVE DE CONCLUSIONS DU 18 OCTOBRE 2016_______________________Le dix huit octobre deux mille seize Ă  dix heures, le Conseil de la Vie Sociale de l’EHPAD Saint jacques de Compostelle de SOULAC SUR MER 33780 s’est rĂ©uni, au lieu habituel des sĂ©ances sous la PrĂ©sidence de Madame Denise PRESENTS Madame Denise GAUTRAUD, PrĂ©sidente, reprĂ©sentante des personnes accueillies ou prises en soinsMonsieur Robert ROUHAUD, reprĂ©sentant des personnes accueillies ou prises en soins,Madame Bernadette RAOULT, reprĂ©sentante des personnes accueillies ou prises en soins,Madame Eliane JACOB, ViceprĂ©sidente, reprĂ©sentante des familles ou des reprĂ©sentants lĂ©gaux,Madame Monique BAHOUGNE, reprĂ©sentante des familles ou des reprĂ©sentants lĂ©gaux,Madame Sandra REYREAUD, reprĂ©sentante du personnelMonsieur Claude MARTIN, membre dĂ©signĂ© par le Conseil d’Administration en sa qualitĂ© de reprĂ©sentant de la commune de SOULAC S/MER,ETAIENT EXCUSES Membre avec voix dĂ©libĂ©rative Membre avec voix consultative Monsieur StĂ©phane PICHON, directeurASSISTAIENT A LA SEANCE Avec voix consultative Monsieur Olivier SIMON, directeur adjoint A titre consultatif et sans voix consultative Mme Camille MIQUAU, animatriceMadame BĂ©atrice BERTAUD, cadre de santĂ©- Dr Jean-Marie BLAISE, mĂ©decin coordonnateurMonsieur GĂ©rard MASSE, responsable de la logistiqueSecrĂ©taire de sĂ©ance non dĂ©signĂ©, secrĂ©tariat assurĂ© par un membre de l’administration dĂ©signĂ© par le directeur Mademoiselle Laurine PLACIDO, adjoint administratif hospitalier,___________________ORDRE DU JOUR1 – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 21 JUIN 20162 – INFORMATION SUR LE PROJET D’ETABLISSEMENT3 – BUDGET 20174 – MODIFICATION DES DOCUMENTS INSTITUTIONNELS5 – INFORMATION SUR LA TRANSFORMATION DE LA CAPACITE DE L’ETABLISSEMENT6 – INFORMATION SUR LE PRELEVEMENT AUTOMATIQUE7 – INFORMATION SUR LE PROJET DE SECURISATION DE L’ETABLISSEMENT8 – INFORMATION SUR LE CAFE GOURMAND DU 6 NOVEMBRE AVEC LES FAMILLES9 – INFORMATION SUR L’HOMMAGE AUX DEFUNTS DU 3 NOVEMBRE10 - SUJET A LA DEMANDE DES REPRESENTANTS DES FAMILLES11 - SUJET A LA DEMANDE DES REPRESENTANTS DES RESIDENTS__________________Monsieur le directeur adjoint fait part des excuses de M. PICHON qui n’a pu assister Ă  la sĂ©ance. – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 2 JUIN 2016Le compte rendu de la sĂ©ance du 21 juin 2016 est adoptĂ© Ă  l’unanimitĂ© par les membres du Conseil de la Vie Sociale. – INFORMATION SUR LE PROJET D’ETABLISSEMENTMonsieur SIMON indique que le personnel ainsi que les rĂ©sidents ont bien participĂ©s au projet d’établissement. Il souhaitait un projet d’établissement simple avec des actions ciblĂ©es et rĂ©alisables. Ce document reprend pour chaque volet les points forts, l’organisation actuelle, les axes d’amĂ©lioration ainsi que le rĂ©sultat attendu, et de ce document en dĂ©coule un calendrier avec des Ă©chĂ©ances pour chaque action. Monsieur SIMON prĂ©cise que certains objectifs pourront encore Ă©voluer. Monsieur SIMON signale que Monsieur PICHON trouve ce projet d’établissement particuliĂšrement ambitieux. L’établissement a donc les 5 ans Ă  venir pour mettre en place toutes les actions Ă  rĂ©aliser. Madame REYREAUD trouve que ce document est trĂšs synthĂ©tique et du coup facilite sa membres du Conseil de la Vie Sociale approuvent le projet d’établissement 2017-2021. – BUDGET 2017A compter du 1er janvier 2017, la loi sur le vieillissement fait passer l’établissement sur un systĂšme d’EPRD Ă©tat prĂ©visionnel des recettes et des dĂ©penses, ce qui implique une gestion diffĂ©rente. On ne parlera plus de compte administratif mais d’ERRD Ă©tat rĂ©alisĂ© des recettes et des dĂ©penses. Aujourd’hui, on regarde ce que l’on aura comme dĂ©penses sur l’annĂ©e et l’on demande les tarifs de façon Ă  ce que cela couvre les dĂ©penses. A l’avenir, il faudra estimer le nombre de journĂ©e pour qu’ensuite le Conseil DĂ©partemental et l’ARS fixe le prix de journĂ©e. En multipliant le tarif par le nombre de journĂ©e estimĂ©, on aura connaissance du budget de l’établissement. La direction devra faire en sorte d’ĂȘtre vigilent au regard des dĂ©penses de façon Ă  maintenir un Ă©quilibre niveau du budget soins et dĂ©pendance, il sera maintenu sous forme de budget 2017 a Ă©tĂ© Ă©tabli en prenant en compte la transformation de la capacitĂ© de l’établissement et en intĂ©grant trĂšs peu de mesure nouvelle. L’établissement a fait la demande auprĂšs de l’ARS de la prise en charge des travaux de l’hĂ©bergement temporaire et de la place d’accueil d’urgence social. La proposition qui a Ă©tĂ© faite auprĂšs du Conseil DĂ©partemental est de € en plus sur le prix de journĂ©e actuel. S’il n’y avait pas eu de modification d’accueil de jour en hĂ©bergement temporaire l’augmentation aurait Ă©tĂ© de €. Il a Ă©tĂ© demandĂ© l’inscription de 4 000 € au groupe 3 pour couvrir les dĂ©penses liĂ©es Ă  l’acquisition du nouveau logiciel de Ă  l’EPRD, l’établissement connaĂźtra Ă  l’avance son prix de journĂ©e sur 5 ans. Monsieur MARTIN trouve cette gestion difficile car ça va devoir obliger les EHPAD Ă  faire une sĂ©lection par rapport au degrĂ© de dĂ©pendance des futurs rĂ©sidents, suivant la politique de l’établissement. Madame BERTAUD pense Ă©galement que la gestion des admissions risque d’ĂȘtre compliquĂ©e, d’autant plus que les demandes que nous recevons Ă  ce jour correspondent Ă  des profils assez lourds de part une charge en soins trĂšs si l’EHPAD a un rĂ©sultat excĂ©dentaire c’est le Conseil DĂ©partemental qui dĂ©cide de l’affectation de l’excĂ©dent, alors qu’avec le nouveau systĂšme le directeur pourra dĂ©cider de l’ membres du Conseil de la Vie Sociale prennent acte du budget prĂ©visionnel 2017. – MODIFICATION DES DOCUMENTS INSTITUTIONNELSDes modifications ont Ă©tĂ© apportĂ©es au contrat de sĂ©jour / rĂšglement de fonctionnement de l’établissement, notamment sur la personne de confiance, les directives anticipĂ©es, le prĂ©lĂšvement automatique et la GAUTRAUD demande qu’elle est la frĂ©quence d’utilisation de la tĂ©lĂ©mĂ©decine ? Le Docteur BLAISE signale que les mĂ©decins traitant continuent de travailler avec la Clinique de Lesparre. Cependant, les quelques consultations qui ont eu lieu Ă  l’EHPAD, ont Ă©tĂ© trĂšs bien rĂ©alisĂ©es et le suivi a Ă©tĂ© satisfaisant. Les membres du Conseil de la Vie Sociale approuvent les membres du Conseil de la Vie Sociale prennent acte des modifications portĂ©es sur les documents institutionnels. – INFORMATION SUR LA TRANSFORMATION DE LA CAPACITE DE L’ETABLISSEMENTLe nombre de place d’accueil de jour pour un Ă©tablissement est fixĂ© Ă  6 places minimum. L’EHPAD ne dispose que de 2 places qui seront supprimĂ©es au 1er janvier 2017. Messieurs PICHON et SIMON ont demandĂ© la transformation de la capacitĂ© de l’EHPAD, en demandant la crĂ©ation de 2 places d’hĂ©bergement temporaire supplĂ©mentaire Ă  la place des 2 accueils de jour. L’une serait sur l’hĂ©bergement traditionnel Ă  l’étage, Ă  la place de la balnĂ©othĂ©rapie, et l’autre sur l’unitĂ© protĂ©gĂ©e Ă  la place de l’espace d’accueil de jour. Cette place pourrait Ă©ventuellement ĂȘtre dĂ©diĂ©e Ă  un accueil d’urgence social le temps de l’amĂ©nagement du domicile par exemple 
. Il faut que l’équipe de direction s’entende avec l’ARS de façon Ă  ce que l’accueil d’urgence ne soit pas pris en compte dans le taux d’activitĂ© car elle servira uniquement pour de l’urgence de maximum 3 mois un accompagnement avec la MAIA pourra Ă©ventuellement ĂȘtre mis en place. – INFORMATION SUR LE PRELEVEMENT AUTOMATIQUEAfin de faciliter le rĂšglement des factures d’hĂ©bergement, l’EHPAD propose un nouveau moyen de paiement Ă  compter du 1er janvier 2017 le prĂ©lĂšvement automatique. Il suffit de remplir le mandat de prĂ©lĂšvement SEPA, qui sera envoyĂ© avec les prochaines factures afin d’autoriser le prĂ©lĂšvement, charge Ă  l’établissement d’envoyer l’avis de sommes Ă  payer oĂč figurera le montant ainsi que la date de prĂ©lĂšvement. Ce systĂšme permet de faciliter le paiement pour les familles qui sont Ă  distance ou des rĂ©sidents qui souhaitent ĂȘtre rassurĂ©s en sachant que le paiement sera fait automatiquement. Les retours sont plutĂŽt favorables. A ce jour, la date de prĂ©lĂšvement n’a pas encore Ă©tĂ© dĂ©finie mais elle sera surement autour du 15 du mois. Monsieur SIMON prĂ©cise qu’il n’est possible de faire qu’un seul prĂ©lĂšvement par rĂ©sident. – INFORMATION SUR LE PROJET DE SECURISATION DE L’ETABLISSEMENTMonsieur MASSE explique que suite au plan Vigipirate, l’établissement a reçu une demande du ministĂšre pour sĂ©curiser au mieux l’EHPAD. Un travail est actuellement rĂ©alisĂ© sur la projection de la sĂ©curisation de l’établissement, voir les dispositifs existants et ce qui peut ĂȘtre mis en Ɠuvre. On peut se poser Ă©ventuellement la question du filtrage des allers et venues de l’entrĂ©e mise en place d’une camĂ©ra sur le poste de travail de l’accueil ?. Ce dispositif permettra de sĂ©curiser aussi bien les rĂ©sidents que le personnel. Par exemple, pour les vestiaires ne faudrait-il pas installer un digicode avec une carte magnĂ©tique pour sĂ©curiser l’accĂšs. En cas d’alerte, comment prĂ©venir l’ensemble du personnel et des rĂ©sidents ? Une rĂ©flexion sur la mise en place Ă  l’accueil d’un bouton d’urgence » peut ĂȘtre envisagĂ©e. Le poste de l’accueil n’étant pas occupĂ© le week-end, comment peut ĂȘtre fait le filtrage des allers et venues ? – INFORMATION SUR LA REUNION AVEC LES FAMILLES FIXEE LE 6 NOVEMBREMonsieur SIMON indique que ce cafĂ© gourmand est un moment d’échange avec les rĂ©sidents et les familles sur les thĂ©matiques souhaitĂ©es. Monsieur BAHOUGNE signale que l’annĂ©e derniĂšre ce moment avait Ă©tĂ© trĂšs apprĂ©ciĂ©. – INFORMATION SUR L’HOMMAGE AUX DEFUNTS DU 3 NOVEMBREL’hommage aux dĂ©funts consiste Ă  mettre en place une cĂ©rĂ©monie d’hommage aux rĂ©sidents dĂ©cĂ©dĂ©s au cours de l’annĂ©e. Cela permet de se donner un temps pour se souvenir des rĂ©sidents qui nous on quittĂ©s, et d’autre part cette cĂ©rĂ©monie rend ce moment plus solennel et lui donne un cĂŽtĂ© humain et non religieux. Le service animation travaille actuellement dessus, en crĂ©ant des portraits de chaque rĂ©sident qui nous ont quittĂ©s. Les familles des rĂ©sidents dĂ©cĂ©dĂ©s ont Ă©tĂ© invitĂ©es Ă  participer Ă  ce moment, qui se terminera par le partage d’un cafĂ©. Monsieur SIMON comprend bien entendu si les familles ne souhaitent pas participer Ă  cette cĂ©rĂ©monie. Suivant le retour de cet essai » ce moment sera renouvelĂ© l’annĂ©e prochaine. - SUJET A LA DEMANDE DES REPRESENTANTS DES FAMILLESEntretien des espaces communsLes reprĂ©sentants des familles trouvent qu’il y a eu une belle amĂ©lioration sur le nettoyage de certains espaces communs tel que les couloirs et les sanitaires. En revanche, ils ont trouvĂ© que les ascenseurs sentaient parfois mauvais et que la poubelle Ă  l’entrĂ©e de l’établissement n’était pas toujours vidĂ©e. Monsieur SIMON rappelle que le service d’hygiĂšne des locaux est prĂ©sent de 7h30 Ă  15h30. En dehors de cette plage horaire, c’est au personnel soignant d’intervenir. Une sensibilisation du personnel soignant sera faite Ă  ce sujet. Madame BERTAUD ajoute qu’au mois de septembre, il y a eu beaucoup d’arrĂȘts maladie, d’oĂč parfois une orientation des effectifs plus axĂ© sur l’accompagnement des rĂ©sidents et moins sur l’entretien. En plus des panneaux de traçabilitĂ© au niveau du nettoyage des chambres, certains panneaux supplĂ©mentaires seront mis en place dans les espaces communs comme les concernant le linge des rĂ©sidentsMadame BAHOUGNE indique qu’il y a eu une bonne amĂ©lioration au niveau de la lingerie, cependant il est arrivĂ© Ă  plusieurs reprises qu’il n’y avait plus de linge dans l’armoire de son parent, ce qui oblige le personnel soignant Ă  aller en lingerie chercher des vĂȘtements. Monsieur SIMON ajoute qu’il faut savoir si le problĂšme vient du trousseau, qui initialement n’est pas assez consĂ©quent ou si c’est un problĂšme de frĂ©quence lavage+distribution ? Monsieur MASSE demande s’il y a des erreurs dans la distribution ? Les reprĂ©sentants des familles et des rĂ©sidents confirment que oui. Monsieur SIMON indique qu’il faudrait trouver un moyen pour faciliter les Ă©changes avec la lingerie lorsqu’un problĂšme est devenir de la boutiqueMadame BAHOUGNE souhaitait savoir si Ă  ce jour une solution avait Ă©tĂ© trouvĂ©e pour maintenir la boutique au sein de l’EHPAD. Monsieur SIMON indique que pour l’instant il n’a pas eu de retour de l’association. Tout le monde est d’accord sur le fait que cette boutique est un service en plus pour les rĂ©sidents. Monsieur SIMON pense que l’organisation de la boutique doit ĂȘtre repensĂ©e, et pourquoi ne pas supprimer les murs afin de faciliter la circulation. - SUJET A LA DEMANDE DES REPRESENTANTS DES RESIDENTSMonsieur ROUHAUD signale que M. B. crie souvent la nuit, ce qui est pĂ©nible pour les voisins de chambre. Monsieur SIMON indique qu’il va revoir cette situation avec le mĂ©decin traitant, mais qu’au final il a Ă©tĂ© constatĂ© que l’origine des cris de ce monsieur est du fait qu’il souhaite avoir une problĂšme du chien est de nouveau soulevĂ©. Plusieurs rĂ©sidents se sont plaints qu’à plusieurs reprises ils ont vu certains soignants toucher le chien de Mme A., et administrer ensuite des mĂ©dicaments aux rĂ©sidents sans s’ĂȘtre dĂ©sinfectĂ©es les mains au prĂ©alable. Monsieur SIMON indique que pour certains rĂ©sidents, le simple fait de la prĂ©sence du chien au restaurant les gĂȘne. Un rappel aux rĂšgles d’hygiĂšne des mains sera fait auprĂšs de l’ensemble du poste de psychologueMonsieur SIMON prĂ©sente la nouvelle psychologue, Marie-Laure BERDEU, qui sera prĂ©sente sur l’établissement Ă  50 % soit le mardi et vendredi. Elle bĂ©nĂ©ficie d’une formation de psycho gĂ©rontologue et travaille sur un autre EHPAD Ă  Martignas. Elle a pour mission premiĂšre l’élaboration des PAP projet d’accompagnement personnalisĂ©, ancien PVI projet de vie individualisĂ©.L’entretien du restaurantMadame RAOULT signale que le sol du restaurant n’est parfois pas toujours bien propre. Monsieur SIMON signale que d’ici 15 jours, l’établissement reçoit un nouveau matĂ©riel Ă  tester. Si celui-ci convient, le coĂ»t pour l’achat de cette machine sera de 1 800 €.KinĂ©sithĂ©rapeutes et amĂ©nagement de la salle prĂ©vue Ă  cet effetMadame RAOULT trouve la salle trop grande et trĂšs peu utilisĂ©e par les kinĂ©s. Monsieur SIMON indique qu’en effet, il faut rediscuter de l’objectif de cette salle actuellement 5 lits de stockĂ©s Ă  l’intĂ©rieur ainsi que du bureau de l’intendante. Le Docteur BLAISE propose de voir avec les kinĂ©s pour savoir dans un premier temps si cette salle est adaptĂ©e et pourquoi est-elle si peu utilisĂ©e ? Monsieur MASSE indique que l’on pourrait voir pour mutualiser un poste de kinĂ©sithĂ©rapeute. Monsieur SIMON ajoute que si on choisit de mutualiser ce poste, du coup on supprime le libre choix du des chambresMadame GAUTRAUD indique que certains rĂ©sidents demandent si le mĂ©nage des chambres peut ĂȘtre fait en respectant le moment de la sieste. Certains trouvent Ă©galement que les poubelles de chambre ne sont pas vidĂ©es rĂ©guliĂšrement. DerniĂšrement toutes les cuvettes » ont Ă©tĂ© changĂ©es, mais les derniĂšres sont plus grandes. Certains rĂ©sidents prĂ©fĂ©raient les anciennes qui Ă©taient plus petites, est-il possible de remettre les anciennes aux rĂ©sidents qui en font la demande. Monsieur SIMON rĂ©pond qu’il n’y a aucun moment du petit-dĂ©jeuner, beaucoup de rĂ©sidents trouvent que le lait Ă  goĂ»t d’eau. Monsieur SIMON signale que le dosage va ĂȘtre revu. Il rappelle qu’une commission de restauration aura lieu pour les menus du 25 dĂ©cembre 2016 et 1er janvier GAUTRAUD demande si pour le prochain vote Ă©lectoral il serait possible que le bureau de vote qui se trouve Ă  l’école de Soulac-sur-Mer soit transfĂ©rĂ© Ă  l’EHPAD, de façon Ă  faciliter le vote pour les rĂ©sidents ? Monsieur SIMON trouve l’idĂ©e bonne, et se charge d’en faire la demande Ă  Monsieur MIQUAU prĂ©sente les animations qui auront lieu au cours du dernier trimestre semaine du goĂ»t, cinĂ©ma
. Chaque mois est organisĂ© un groupe de parole sur le thĂšme comment rester citoyen en Ă©tant en EHPAD ? ». En juin prochain, un colloque aura lieu avec les rĂ©sidents qui ont participĂ©s Ă  ces Ă©changes dans la limite des places de vĂ©hicule disponible pour le transport, et Ă  l’issu certaines idĂ©es seront retenues pour ĂȘtre mise en place. Le planning prĂ©visionnel des animations sera joint au prĂ©sent compte du jour Ă©tant Ă©puisĂ©, la sĂ©ance est levĂ©e Ă  13h00. Madame Denise GAUTRAUD PrĂ©sidente du conseil de vie sociale EHPAD St Jacques de COMPOSTELLE71 / 73 route des Lacs - 33780 SOULAC SUR MER 05 56 73 50 50 - 7 05 56 41 45 64e-mail contact DE VIE SOCIALERELEVE DE CONCLUSIONS DU 19 AVRIL 2016_______________________Le dix neuf avril deux mille seize Ă  dix heures, le Conseil de la Vie Sociale de l’EHPAD Saint jacques de Compostelle de SOULAC SUR MER 33780 s’est rĂ©uni, au lieu habituel des sĂ©ances sous la PrĂ©sidence de Monsieur ROUHAUD Robert, puis de Madame GAUTRAUD PRESENTS Madame Denise GAUTRAUD, PrĂ©sidente, reprĂ©sentante des personnes accueillies ou prises en soins,Monsieur Robert ROUHAUD, reprĂ©sentant des personnes accueillies ou prises en soins,Madame MarieLouise JAM, reprĂ©sentante des personnes accueillies ou prises en soins,Madame Francine SANGUINET, ViceprĂ©sidente, reprĂ©sentante des familles ou des reprĂ©sentants lĂ©gaux,Madame Monique BAHOUGNE, reprĂ©sentante des familles ou des reprĂ©sentants lĂ©gaux,Monsieur GĂ©rard MASSE, reprĂ©sentant du personnelMadame BĂ©atrice BERTAUD, cadre de santĂ©Docteur Jean-Marie BLAISE, mĂ©decin coordonnateurMadame Camille MIQUAU, animatriceETAIENT EXCUSES Membre avec voix dĂ©libĂ©rative Monsieur Claude MARTIN, membre dĂ©signĂ© par le Conseil d’Administration en sa qualitĂ© de reprĂ©sentant de la commune de SOULAC S/MER,Madame Bernadette RAOULT, reprĂ©sentante des personnes accueillies ou prises en soins,Membre avec voix consultative Monsieur StĂ©phane PICHON, directeurASSISTAIENT A LA SEANCE Avec voix consultative Monsieur Olivier SIMON, directeur adjoint A titre consultatif et sans voix consultative SecrĂ©taire de sĂ©ance non dĂ©signĂ©, secrĂ©tariat assurĂ© par un membre de l’administration dĂ©signĂ© par le directeur Mademoiselle Laurine PLACIDO, adjoint administratif hospitalier,___________________ORDRE DU JOUR1 – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 19 JANVIER 20162 – COMPTE ADMINISTRATIF 20153 – NOUVEAU REGLEMENT INTERIEUR DU CONSEIL DE LA VIE SOCIALE4 – INFORMATION SUR LE PASSAGE A LA HD5 – PROJET VACANCES6 – PRESTATIONS REPAS7 – ENTRETIEN DES CHAMBRES8 – VOL DANS LES CHAMBRES9 – PROBLEME APPEL MALADE10 – ORGANISATION DU TRAVAIL DES EQUIPES__________________Monsieur le directeur adjoint fait part des excuses de Messieurs PICHON et MARTIN, et Madame RAOULT qui n’ont pu assistĂ©s Ă  la sĂ©ance et remercie Madame JAM d’ĂȘtre prĂ©sente en tant que supplĂ©ante de Madame RAOULT. – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 9 JANVIER 2016Le compte rendu de la sĂ©ance du 19 janvier 2016 est adoptĂ© Ă  l’unanimitĂ© par les membres du Conseil de la Vie SIMON rappelle que lors de la derniĂšre sĂ©ance, Monsieur PICHON avait demandĂ© Ă  Monsieur ROUHAUD de quitter la salle du Conseil de Vie Sociale, suite Ă  son comportement outrancier au regard de Mme R. Messieurs PICHON et SIMON ont reçu le 19 janvier mĂȘme Monsieur ROUHAUD, en lui demandant de prĂ©senter ses excuses auprĂšs de Mme R, sous peine d’ĂȘtre destituĂ© de ses fonctions de prĂ©sident. Monsieur ROUHAUD confirme lors de la sĂ©ance qui ne prĂ©sentera pas ses excuses. Monsieur SIMON dessaisi donc Monsieur ROUHAUD de son rĂŽle de est procĂ©dĂ© Ă  la nomination d’un nouveau prĂ©sident. Il s’agit de Madame GAUTRAUD qui est nommĂ©e Ă  l’unanimitĂ© prĂ©sidente. Monsieur SIMON l’encourage Ă  inciter les rĂ©sidents Ă  participer Ă  la vie sociale de l’EHPAD. – COMPTE ADMINISTRATIF 015Monsieur SIMON rappelle les deux Ă©chĂ©ances importantes du budget avril, oĂč l’on prĂ©sente le bilan de l’annĂ©e Ă©coulĂ©e et octobre oĂč l’on adopte le budget Ă  venir. Le budget est prĂ©sentĂ© au Conseil de la Vie Sociale, au ComitĂ© Technique d’Etablissement et adoptĂ© en Conseil d’Administration. Le compte de gestion est prĂ©sentĂ© par la TrĂ©soriĂšre lors du Conseil d’Administration, celui-ci doit ĂȘtre identique au compte administratif de l’EHPAD. Sur 2015, il y a eu 31 admissions pour 29 sorties dĂ©cĂšs, retour au domicile, changement de structure. L’établissement accueille beaucoup de situation de rapprochement familial enfants ou petits-enfants sur le mĂ©doc. MalgrĂ© l’habilitation totale Ă  l’aide sociale, le prix reste abordable car il y a seulement un tiers des rĂ©sidents qui bĂ©nĂ©ficient de l’aide sociale. De plus en plus de rĂ©sident bĂ©nĂ©ficie de mesure de protection, ce qui est un avantage pour l’établissement, car nous avons un rĂ©fĂ©rent lĂ©gal pour Ă©changer, charge Ă  lui de transmettre l’information au reste de la famille. Depuis le 1er janvier 2016, la demande de mise sous protection juridique a Ă©tĂ© simplifiĂ©e, elle peut ĂȘtre demandĂ©e par le mĂ©decin coordonnateur de l’établissement. L’activitĂ© de l’établissement est stable en ce qui concerne l’hĂ©bergement permanent et temporaire avec respectivement un taux de 98% et 73%, et toujours en net replie pour l’accueil de jour taux de 14%. Concernant l’accueil de jour, il y a une forte mĂ©connaissance de cette accueil sur le secteur, et beaucoup d’offre entre Soulac et Vendays, soit 12 au total et plus rien jusqu’à la limite de Blanquefort. L’ARS envisage de supprimer les deux places d’accueil de jour pour les remplacer par un accueil temporaire supplĂ©mentaire, ce qui n’aurait pas d’impact au niveau BAHOUGNE demande s’il n’y a pas la possibilitĂ© de faire Ă©galement une place d’accueil permanent ? Monsieur SIMON signale qu’une autre place en hĂ©bergement permanent n’est pas envisageable de part les contraintes GAUTRAUD demande s’il y a beaucoup de dĂ©lai pour ĂȘtre admis Ă  l’EHPAD ? Monsieur SIMON rĂ©pond qu’à ce jour c’est relativement rapide, environ 3 mois. Au niveau des effectifs, tout ce qui est autorisĂ© Ă  ĂȘtre dĂ©pensĂ© est SANGUINET demande quand est-ce que les accidents de travail vont ĂȘtre rĂ©gularisĂ©s ? Pour la personne du service lingerie, Monsieur SIMON signale qu’elle a rĂ©guliĂšrement des expertises et jusqu’à prĂ©sent Ă  Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e inapte Ă  la reprise. Pour la personne du service de nuit, le dossier est en cours de rĂ©gularisation pour une retraite pour les recettes d’exploitations on constate un excĂ©dent de 3 000 €. Madame SANGUINET demande combien de temps sont valable les excĂ©dents ? Monsieur SIMON indique que les excĂ©dents sont valables Ă  vie et doivent ĂȘtre rĂ©affectĂ©s tous les 2 ans aprĂšs leur constat. – NOUVEAU REGLEMENT INTERIEUR DU CONSEIL DE LA VIE SOCIALEMonsieur SIMON explique qu’il existe un rĂšglement du Conseil de la Vie Sociale propre Ă  l’établissement mais que celui-ci n’est pas trĂšs formalisĂ©. AprĂšs Ă©change avec d’autres EHPAD, il prĂ©sente et propose un nouveau rĂšglement qui est adoptĂ© Ă  l’unanimitĂ©. Le rĂšglement sera joint au prĂ©sent compte rendu et sera applicable au 1er mai 2016. – INFORMATION SUR LE PASSAGE A LA HDMonsieur MASE explique que suite Ă  une dĂ©cision des autoritĂ©s nationales, la frĂ©quence de rĂ©ception des tĂ©lĂ©viseurs passe de SD Ă  HD. Cela oblige l’établissement Ă  rĂ©aliser des travaux de mise aux normes. Le coĂ»t est d’environ 20 000 € HT. Les travaux dĂ©buteront le 20 avril 2016. Un Ă©tat des lieux de tous les tĂ©lĂ©viseurs sera fait. A l’issue, soit le tĂ©lĂ©viseur sera compatible et il pourra fonctionner correctement soit il faudra faire l’achat d’un dĂ©modulateur, qui sera Ă  la charge de la famille, soit il faudra changer le tĂ©lĂ©viseur. Le rĂ©glage des tĂ©lĂ©viseurs et l’installation des dĂ©modulateurs sera assurĂ© par le service technique. Monsieur SIMON rappelle que l’établissement doit fournir l’accĂšs Ă  la tĂ©lĂ©vision mais n’est pas dans l’obligation de fournir le matĂ©riel. Madame BAHOUGNE demande si l’accĂšs Ă  CANAL+ est possible ? Monsieur MASSE rĂ©pond que l’établissement n’est pas Ă©quipĂ© pour, mais pourquoi pas fournir un accĂšs sur l’un des tĂ©lĂ©viseurs de l’établissement. – PROJET VACANCESL’établissement adhĂšre Ă  l’AGIRA Association GĂ©rontologique pour l'Innovation et la Recherche d'Animation en Gironde. Cette annĂ©e l’établissement organise un sĂ©jour vacances au Souffle Vert Ă  Cussac dans le dĂ©partement de la CorrĂšze du 29 aoĂ»t au 2 septembre 2016. Douze personnes pourront participer au voyage dont 3 accompagnants. Le coĂ»t est d’environ 3 000€ pour l’hĂ©bergement et les repas assurĂ© par l’établissement. Le transport sera pris en charge par l’EHPAD ; seules les sorties payantes seront assumĂ©es par les rĂ©sidents musĂ©e 
. La liste des participants sera Ă©tablit par le mĂ©decin coordonnateur, la cadre de santĂ© et la direction. La possibilitĂ© d’une navette en cours de sĂ©jour va ĂȘtre Ă©tudiĂ©e de façon Ă  ce que le maximum de rĂ©sidents puisse participer. Ce qui fera un sĂ©jour de 2 jours et demi par rĂ©sident. Le budget de l’animation ne sera pas impactĂ© par ce voyage car c’est un budget supplĂ©mentaire qui a Ă©tĂ© SANGUINET signale qu’en gĂ©nĂ©ral les rĂ©sidents sont satisfaits de l’animation, seulement une minoritĂ© trouve que c’est toujours les mĂȘmes rĂ©sidents qui participent aux SIMON pense qu’il faudrait dĂ©centraliser l’animation, pourquoi ne pas installer une borne musicale prĂ©s de l’accueil. Il ajoute Ă©galement qu’il est sur le point de recruter un agent qui servirait de chauffeur de taxi » pour que les rĂ©sidents puissent d’avantage aller Ă  l’extĂ©rieur. – PRESTATIONS REPASMadame SANGUINET rapporte le ressenti des rĂ©sidents par rapport au petit-dĂ©jeuner et repas, oĂč dans l’ensemble il y a des retours petit-dĂ©jeuner est de meilleure qualitĂ©, mais le cafĂ© n’est parfois pas assez chaud pour les rĂ©sidents qui sont servis en fin de pichet. Mme BERTAUD signale qu’elle a demandĂ© aux agents de mettre la quantitĂ© de cafĂ© pour 15 chambres et qu’ensuite ils repartent remplir les pichets pour que le cafĂ© soit moins le repas du midi, les rĂ©sidents trouvent le nouveau pain meilleur, meilleure prĂ©sentation des plats. Ce qui a Ă©tĂ© relevĂ© en point nĂ©gatif est la distribution des repas qui pose problĂšme, les cris de certains rĂ©sidents plus dĂ©pendant, les fruits qui sont servis trop froid et pour le repas du soir en chambre le manque de sel et poivre sur les plateaux. Monsieur SIMON indique que l’un des cuisiniers doit faire office de chef de salle pour gĂ©rer l’ordre du service des repas. En fin de repas, il pourrait Ă©ventuellement aller Ă  la rencontre des rĂ©sidents pour savoir si le repas leur Ă  plu ou si il y a des rĂ©sidents qui mangent en texture hachĂ© trouvent que l’aspect n’est pas trĂšs appĂ©tissant et que le plat n’a pas de le goĂ»ter, ils rĂ©clament plus de fruit. Monsieur SIMON signale que le goĂ»ter va ĂȘtre modifiĂ© de façon Ă  ce que ce soit plus variĂ© gĂąteau, compote, laitage, fruit en changeant chaque jour. Madame MIQUAU demande si Ă  la place du pain pour certains rĂ©sidents il est possible d’avoir du pain de mie ? Mme BERTAUD est d’accord et prĂ©cise que c’est dĂ©jĂ  mis en place pour certains rĂ©sidents. Monsieur SIMON rappelle que suivant les modifications apportĂ©es il y a un impact sur le budget. Par exemple, il est maintenant proposĂ© tous les matins du jus de fruit multivitaminĂ©s, ce qui reprĂ©sente un coĂ»t de 3 000 € sur l’ soir, certains souhaiteraient avoir une tisane. Mme BERTAUD signale que les veilleuses servent dĂ©jĂ  des infusions le soir aux rĂ©sidents qui en font la demande et rappellera aux veilleuses de proposer plus souvent Ă  d’autres rĂ©sidents qui n’osent peut-ĂȘtre pas situation de M. D est Ă©voquĂ©e car celui-ci a deux textures diffĂ©rentes entre le repas du midi et du soir. Madame BERTAUD explique que c’est le seul rĂ©sident dans ce cas lĂ  pour lequel il y a bien une prescription de la part de son orthophoniste. M. D mange en hachĂ© le midi car il se trouve au restaurant et, si il y a un problĂšme le personnel est prĂ©sent immĂ©diatement pour pouvoir intervenir. En revanche, le soir il mange en chambre en texture mixĂ© pour Ă©viter tous risque de fausse SIMON annonce que l’établissement a commandĂ© du nouveau mobilier pour les deux restaurants ainsi que celui du personnel. Il sera livrĂ© courant juillet 2016. – ENTRETIEN DES CHAMBRESMadame SANGUINET signale que le nettoyage des sanitaires laisse Ă  dĂ©sirer et que les poubelles ne sont pas vidĂ©es rĂ©guliĂšrement. Mme BERTAUD signale que prochainement il y aura une traçabilitĂ© au niveau du mĂ©nage un support a Ă©tĂ© commandĂ© pour tester. Mme BERTAUD rappelle que le lavabo, les toilettes et l’adaptable doivent ĂȘtre lavĂ©s par les aides-soignants. Madame SANGUINET demande si les pichets sont changĂ©s tous les jours dans les chambres ? Madame BERTAUD rĂ©pond que normalement oui et que 50 pichets supplĂ©mentaire ont Ă©tĂ© achetĂ©s de façon Ă  ce qu’il y ai un roulement le temps du nettoyage. – VOL DANS LES CHAMBRESMadame SANGUINET fait remonter certaine information concernant les vols commis dans les chambres. Les rĂ©sidents qui ont la clĂ© de leur chambre se plaignent, car lorsqu’ils quittent leur chambre ils ferment Ă  clĂ©, et parfois Ă  leur retour la chambre est de nouveau ouverte. Il est donc demandĂ© aux agents que lorsqu’il rentre dans une chambre qui Ă©tait fermĂ©e, de bien prendre soin de refermer derriĂšre eux. Mme SANGUINET signale que pour certains rĂ©sidents mĂȘme en fermant leur porte Ă  clĂ©, il constate que des objets de valeur disparaissent. Monsieur SIMON signale que des caissettes fermant Ă  clĂ©s on Ă©tĂ© installĂ©s dans toute les chambres mise Ă  part celles de l’unitĂ© protĂ©gĂ©e. Il constate Ă©galement que depuis le dĂ©part de certains professionnels il n’y a quasiment plus de vol. Aussi, lorsqu’un rĂ©sident est hospitalisĂ©, il est procĂ©dĂ© Ă  un inventaire des biens et valeurs du rĂ©sident. Dans le cas oĂč il y aurait une rĂ©clamation, nous serions en mesure de dire si le rĂ©sident est parti avec ses valeurs ou pas. – PROBLEME APPEL MALADECertains rĂ©sidents trouvent le temps d’attente trop long. Une Ă©tude sur le dĂ©lai de rĂ©ponse des professionnels aux appels sera envisagĂ©e si le phĂ©nomĂšne se rĂ©pĂšte. – ORGANISATION DU TRAVAIL DES EQUIPESMadame SANGUINET signale que certains rĂ©sidents trouvent qu’il y a trop de roulement au niveau du personnel, ce qui créé des pertes de repĂšres. Madame BERTAUD explique qu’entre les congĂ©s, les formations et l’absentĂ©isme il est compliquĂ© de faire moins de roulements de personnel. Monsieur SIMON ajoute qu’au niveau du personnel contractuel nous avons toujours les mĂȘmes agents. Mme BERTAUD signale que rĂ©cemment il y a eu la mise en place de rĂ©fĂ©rent, qui font le lien avec les familles ou le tuteur quand il y a des besoins pour le trousseau etc.
 Madame SANGUINET trouve que les produits de toilette sont rangĂ©s trop haut. Elle signale Ă©galement qu’un mercredi elle avait portĂ© du dentifrice pour sa mĂšre et que le mardi suivant il y avait toujours l’opercule sur le tube. Madame BERTAUD indique qu’avec le nouveau logiciel de soins, chaque soin sera signĂ© par le professionnel. Madame BAHOUGNE signale que plusieurs rĂ©sidents se sont plaints car Ă  plusieurs reprises ils ont vu certaines infirmiĂšres toucher le chien de Mme A. et administrer ensuite des mĂ©dicaments aux rĂ©sidents sans s’ĂȘtre dĂ©sinfectĂ©es les mains au du jour Ă©tant Ă©puisĂ©, la sĂ©ance est levĂ©e Ă  12h40. Madame Denise GAUTRAUD PrĂ©sidente du conseil de vie sociale EHPAD St Jacques de COMPOSTELLE71 / 73 route des Lacs - 33780 SOULAC SUR MER 05 56 73 50 50 - 7 05 56 41 45 64e-mail contact DE VIE SOCIALERELEVE DE CONCLUSIONS DU 21 JUIN 2016_______________________Le vingt et un juin deux mille seize Ă  dix heures, le Conseil de la Vie Sociale de l’EHPAD Saint jacques de Compostelle de SOULAC SUR MER 33780 s’est rĂ©uni, au lieu habituel des sĂ©ances sous la Vice-prĂ©sidence de Madame Eliane PRESENTS Monsieur Robert ROUHAUD, reprĂ©sentant des personnes accueillies ou prises en soins,Madame Bernadette RAOULT, reprĂ©sentante des personnes accueillies ou prises en soins,Madame Eliane JACOB, ViceprĂ©sidente, reprĂ©sentante des familles ou des reprĂ©sentants lĂ©gaux,Madame Monique BAHOUGNE, reprĂ©sentante des familles ou des reprĂ©sentants lĂ©gaux,Monsieur GĂ©rard MASSE, reprĂ©sentant du personnelMadame Sandra REYREAUD, reprĂ©sentante du personnelETAIENT EXCUSES Membre avec voix dĂ©libĂ©rative Monsieur Claude MARTIN, membre dĂ©signĂ© par le Conseil d’Administration en sa qualitĂ© de reprĂ©sentant de la commune de SOULAC S/MER,Madame Denise GAUTRAUD, PrĂ©sidente, reprĂ©sentante des personnes accueillies ou prises en soinsMembre avec voix consultative Madame BĂ©atrice BERTAUD, cadre de santĂ©- Dr Jean-Marie BLAISE, mĂ©decin coordonnateur- Mme Camille MIQUAU, animatriceASSISTAIENT A LA SEANCE Avec voix consultative Monsieur StĂ©phane PICHON, directeurMonsieur Olivier SIMON, directeur adjoint A titre consultatif et sans voix consultative SecrĂ©taire de sĂ©ance non dĂ©signĂ©, secrĂ©tariat assurĂ© par un membre de l’administration dĂ©signĂ© par le directeur Mademoiselle Laurine PLACIDO, adjoint administratif hospitalier,___________________ORDRE DU JOUR1 – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 19 AVRIL 20162 – PLAN CANICULE 20163 – DESIGNATION D’UN REPRESENTANT AU CONSEIL D’ADMINISTRATION4 – INFORMATION SUR LES COMMUNICATIONS TRANSMISES AUX INFIRMIERES5 – INFORMATION SUR LES HEURES DE FERMETURES DES PORTAILS6 – INFORMATION SUR LE DEVENIR DE L’ASSOCIATION D’ANIMATION7 – PROGRAMME ESTIVAL DE L’ANIMATION8 – DIVERS__________________Monsieur le directeur adjoint fait part des excuses du Dr BLAISE, et Mmes BERTAUD, GAUTRAUD et MIQUAU qui n’ont pu assistĂ©s Ă  la sĂ©ance. Il fait part Ă©galement de la dĂ©mission du CVS de Mme SANGUINET, qui sera remplacĂ©e par Mme JACOB en tant que vice prĂ©sidente. – APPROBATION DU COMPTE RENDU DE SEANCE DU 9 AVRIL 2016Le compte rendu de la sĂ©ance du 19 avril 2016 est adoptĂ© Ă  l’unanimitĂ© par les membres du Conseil de la Vie ROUHAUD fait part de son mĂ©contentement du fait qu’il est Ă©tĂ© destituĂ© de ses fonctions de prĂ©sident. Mme BAHOUGNE indique que l’établissement est une collectivitĂ© et que l’on peut comprendre qu’il est difficile de s’entendre avec tout le monde, mais que dans tous les cas il doit y avoir un respect Ă  la demande de M. SIMON, M. ROUHAUD confirme qu’il souhaite toujours faire partie de cette instance. – PLAN CANICULE 016Monsieur SIMON signale que le plan canicule a Ă©tĂ© rĂ©visĂ© et mis Ă  jour. Nos stocks ont Ă©tĂ© revus brumisateur, eau 
. Les familles et/ou reprĂ©sentants lĂ©gaux peuvent amener des ventilateurs aux rĂ©sidents en ayant au prĂ©alable prĂ©venu le service technique afin qu’il vĂ©rifie s’il n’y a pas de risque Ă©lectrique avec le matĂ©riel apportĂ©. Des affiches ont Ă©tĂ© placĂ©es dans les ascenseurs, indiquant ce qu’il est conseillĂ© de faire en cas de canicule ou de fortes chaleurs. Elles seront Ă©galement remis Ă  chaque rĂ©sident et familles et/ou reprĂ©sentants lĂ©gaux. Pour les agents, une fiche indiquant les bonnes conduites Ă  tenir sera distribuĂ©e avec le bulletin de salaire de juin. M. MASSE prĂ©cise que sur les 5 annĂ©es Ă  venir, il sera Ă©ventuellement envisagĂ© de rafraichir des piĂšces supplĂ©mentaires. M. PICHON explique que l’on parle de canicule quand il y a eu 3 jours et 3 nuits consĂ©cutives avec des tempĂ©ratures au-delĂ  des moyennes de saisons, sinon il s’agit de fortes chaleurs. S’il y a une canicule, une Madame Canicule » sera alors dĂ©signĂ©e pour effectuer des passages rĂ©guliers dans toutes les chambres. M. SIMON rappelle que tous les couloirs de la façade sud ont Ă©tĂ© Ă©quipĂ©s de rideaux occultants. Le service technique a la charge de gĂ©rer l’ouverture et la fermeture des rideaux en fonction de la mĂ©tĂ©o. M. MASSE prĂ©cise que malgrĂ© les rideaux, certains secteurs sont plus chauds que d’autres et que la prioritĂ© des travaux sera sur ces secteurs lĂ . – DESIGNATION D’UN REPRESENTANT AU CONSEIL D’ADMINISTRATIONDu fait de la dĂ©mission de Mme SANGUINET, Mme BAHOUGNE est dĂ©signĂ©e Ă  l’unanimitĂ© pour remplacer Mme SANGUINET en tant que reprĂ©sentante du Conseil de la Vie Sociale au Conseil d’Administration de l’établissement. – INFORMATION SUR LES COMMUNICATIONS TRANSMISES AUX INFIRMIERESLes infirmiĂšres sont prĂ©sentes de 6h45 Ă  20h. M. SIMON explique qu’au regard de l’organisation du travail, il a dĂ©cidĂ© de dĂ©caler le transfert des appels des familles Ă  l’attention des IDE Ă  partir de 15h. Ce changement a fait l’objet d’une note d’information et, est en application depuis mi mai 2016. Il n’y a pas eu de retour nĂ©gatif de la part des familles. En revanche, les infirmiĂšres apprĂ©cient beaucoup ce changement, qui leur permet de ne pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©es et plus concentrĂ©es pendant les soins. De plus, Mme REYREAUD fait remarquer que juste avant il y a eu les transmissions entre les Ă©quipes de matin et de soir. Mme BAHOUGNE ajoute que la vision de la santĂ© de santĂ© du rĂ©sident est donc faite sur la nuit passĂ©e, le repas du midi et une partie de l’aprĂšs-midi. Monsieur SIMON signale que si il y a des remarques de la part des familles, ne pas hĂ©sitez Ă  faire remonter l’information. Monsieur SIMON ajoute que lors de la rĂ©vision des documents institutionnels, le rĂšglement de fonctionnement et contrat de sĂ©jour devront ĂȘtre modifiĂ©s afin que ce changement soit notifiĂ©. En attendant la modification des documents, la note d’information sera remise en mĂȘme temps que le contrat de sĂ©jour. – INFORMATION SUR LES HEURES DE FERMETURES DES PORTAILSMonsieur MASSE explique que rĂ©cemment une rĂ©sidente a quittĂ© l’établissement sans avoir prĂ©venu pendant plusieurs jours. Une cellule de crise a due ĂȘtre mise en place. Jusqu’à prĂ©sent, les portails se fermĂ©s automatiquement de 21h45 Ă  6h30. Monsieur SIMON prĂ©cise que pour la sĂ©curitĂ© des rĂ©sidents tout en assurant le respect de leur libertĂ© d’aller et venir, Ă  compter du 27 juin 2016, l’ouverture du portail de l’accĂšs principal ne pourra se faire que par un membre du personnel de l’établissement Ă  partir de 20h00 le soir et jusqu’à 6h30 le matin. Le personnel sera joignable soit en utilisant le tĂ©lĂ©phone situĂ© Ă  l’accueil de l’établissement soit en composant le numĂ©ro du standard Madame BAHOUGNE demande s’il y a beaucoup de rĂ©sident qui fugue ? Monsieur SIMON rĂ©pond que c’est peu frĂ©quent. Il rappelle qu’aujourd’hui il existe des moyens pour localiser un rĂ©sident comme le bracelet anti-fugue. Depuis un mois, l’établissement a sollicitĂ© quelques fournisseurs, pour essayer d’obtenir un moyen de gĂ©o localisation pour les rĂ©sidents susceptible de fuguer. – INFORMATION SUR LE DEVENIR DE L’ASSOCIATION D’ANIMATIONM. SIMON explique qu’il existe beaucoup de confusion entre les missions de l’association et l’animation, la prise en charge de certaines activitĂ©s
 Lors de la derniĂšre assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, il n’y avait pas de rĂ©sident, ni de personnel qui ont souhaitĂ©s se prĂ©senter pour reprendre l’association d’animation. M. SIMON laisse jusqu’à la fin de l’annĂ©e pour voir si des personnes seraient Ă©ventuellement intĂ©ressĂ©es pour reprendre l’association, sinon elle n’aura plus lieu d’ĂȘtre. Si des familles sont intĂ©ressĂ©es pour en faire partie et souhaitent plus de renseignements, elles sont invitĂ©es Ă  prendre contact avec Mme SEURIN, secrĂ©taire adjointe. L’association sert pour deux types de financement les prestations extĂ©rieurs et l’achat de matĂ©riel pour l’animation. Le budget de l’animation a d’ores et dĂ©jĂ  Ă©tĂ© revu, pour que l’animatrice n’ait plus besoin de solliciter l’ BAHOUGNE indique ne pas connaĂźtre la composition du bureau de l’association. Monsieur PICHON signale qu’avant l’association avait un lien avec l’établissement car ce dernier lui versait une subvention. Or, depuis deux ans ce n’est plus le ROUHAUD remercie M. PINTAT, pour le versement de la subvention qui est octroyĂ© par la mairie de BAHOUGNE trouve dommage que le temps de l’animatrice passĂ© Ă  l’association n’est pas mis au bĂ©nĂ©fice des rĂ©sidents qui sont plus SIMON pense que si l’association doit s’arrĂȘter, le plus difficile sera par rapport Ă  la boutique, car c’est un service apprĂ©ciĂ© par les rĂ©sidents et que celui-ci ne peut ĂȘtre gĂ©rĂ© que par une PICHON indique qu’il faudrait trouver du temps de bĂ©nĂ©vole pour pouvoir ouvrir la boutique et que ce ne soit plus l’animatrice qui s’en charge afin d’éviter toute BAHOUGNE demande si des personnes des Senioriales ne pourraient pas s’en charger ? M. SIMON explique qu’ils sont lĂ  lors des festivitĂ©s, mais qu’ils ont créés rĂ©cemment leur association et n’auront pas la possibilitĂ© de consacrer du temps pour la SIMON ajoute que Mme MIQUAU a mis en place un partenariat avec le cinĂ©ma de Lesparre et Soulac, ce qui est une bonne chose. Cependant, il reste le prix de la place de cinĂ©ma qui est Ă  la charge du rĂ©sident, ce qui peut ĂȘtre un frein pour certains qui ont peu de ressources. C’est lĂ  ou l’association pourrait avoir un but caritatif, en prenant en charge le coĂ»t des sorties pour les rĂ©sidents qui ont peu de ressources et pas de familles. – PROGRAMME ESTIVAL DE L’ANIMATIONMalgrĂ© la pĂ©riode estivale, il y a de nombreux jours oĂč des animations sont proposĂ©es. Bien entendu, celles-ci seront maintenues en fonction de la mĂ©tĂ©o. Sur la partie vie sociale, il faut penser Ă  repositionner et intĂ©grer de nouveau les personnels sur l’animation. L’animatrice ne devrait pas faire d’animation mais seulement coordonner les activitĂ©s. M. SIMON remercie Mme MIQUAU pour son implication. Quant Ă  Mme COUVREUX, elle arrive sur sa 5Ăšme et derniĂšre annĂ©e de contrat CUI. Mme BAHOUGNE trouve aberrent que l’on puisse recruter de nouveau quelqu’un mais que ça ne peut pas ĂȘtre la mĂȘme personne, alors que celle-ci a acquise des compĂ©tences
. M. SIMON signale que dans la limite du tableau des effectifs, il essaye de garder les personnes compĂ©tentes dont leur contrat CUI arrive Ă  Ă©chĂ©ance. Le repas champĂȘtre a Ă©tĂ© une rĂ©ussite mise Ă  part certaines chansons qui Ă©taient peu entrainantes. L’animatrice doit ĂȘtre plus sensible au rĂ©pertoire des chansons. Le personnel a Ă©tĂ© trĂšs impliquĂ©, environ 220 personnes prĂ©sentes et beaucoup de nouvelles familles. Les cuisiniers ont pu venir dĂ©jeuner avec les rĂ©sidents. Les reprĂ©sentants des familles fĂ©licitent les cuisiniers pour le repas. M. SIMON ajoute qu’il reste tout de mĂȘme des efforts Ă  faire sur le dressage des assiettes, la variation des produits et la prĂ©sentation des textures modifiĂ©es. Le programme des animations du 3Ăšme trimestre sera joint au prĂ©sent compte rendu. – DIVERSM. ROUHAUD signale que M. B crie souvent la nuit, ce qui est difficile Ă  supporter pour pouvoir s’endormir. M. SIMON indique que le mĂ©decin traitant de ce rĂ©sident a Ă©tĂ© sollicitĂ© de façon Ă  adapter son traitement au mieux et un suivi psychologique est actuellement en des chambresLors du dernier Conseil de la Vie Sociale, il avait Ă©tĂ© signalĂ© qu’un support test » avait Ă©tĂ© commandĂ© pour le suivi de l’entretien des chambres. M. MASSE explique que ce support a Ă©tĂ© expĂ©rimentĂ© sur une chambre tĂ©moin. Cela permet de voir le jour oĂč le changement de draps a Ă©tĂ© fait ainsi que le mĂ©nage, et le nom de l’agent qui a rĂ©alisĂ© cette tĂąche. Le support coute 23 € piĂšce. Celui-ci serait installĂ© dans toutes les chambres ainsi que tous les lieux communs. L’idĂ©e n’est pas de surveiller le travail des agents, mais face aux questionnements d’une famille de pouvoir apporter une rĂ©ponse justifiĂ©e. M. SIMON prĂ©cise que certaines chambres ont Ă©tĂ© identifiĂ©es comme devant ĂȘtre faite tout les jours. M. ROUHAUD est satisfait du mĂ©nage comparĂ© Ă  civiqueLe Service Civique est un engagement volontaire au service de l'intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral. Il peut ĂȘtre effectuĂ© auprĂšs d’associations, de collectivitĂ©s territoriales mairies, dĂ©partements ou rĂ©gions ou d’établissements publics musĂ©es, collĂšges
 dans 9 grands domaines dont le mĂ©dico-social. Les dĂ©marches administratives sont complexes pour pouvoir obtenir un volontaire. L’EHPAD adhĂšre Ă  la FHF FĂ©dĂ©ration HospitaliĂšre de France, donc cela nous permet d’éviter toutes les dĂ©marches administratives. Nous avons donc signalĂ© Ă  la FHF que nous avons deux projets celui du taxi/bus », et un en commun avec l’établissement de vertheuil, qui serait d’accompagner les rĂ©sidents aux nouvelles technologies de communication, et Ă©ventuellement la crĂ©ation d’un site internet. Le dossier a Ă©tĂ© dĂ©posĂ© dĂ©but juin, la commission aura lieu Ă  la fin du mois, avec un retour pour le mois d’octobre 2016. La contribution que l’établissement devrait verser est de 110 € par mois par volontaire. Nous devrons Ă©galement rĂ©pondre Ă  des obligations car un cahier des charges a Ă©tĂ© fixĂ©. A l’avenir, le 3Ăšme projet serait la crĂ©ation d’une ferme thĂ©rapeutique, avec si possible un volontaire bĂ©nĂ©ficiant d’une formation animaliĂšre. Etant sensible au gaspillage alimentaire, les Ă©pluchures de lĂ©gumes etc. pourraient servir Ă  nourrir les animaux plutĂŽt que d’ĂȘtre jetĂ©s Ă  la 22 juin l’établissement reçoit le mobilier du restaurant. Celui-ci sera dotĂ© de table ronde, plus conviviale et un repositionnement des anciennes tables sera fait sur l’ s’est associĂ© avec d’autres EHPAD du groupement de coopĂ©ration des ehpads publics girondins afin de passer un marchĂ© dans le but d’avoir des produits de meilleurs qualitĂ© au meilleur prix. M. ROUHAUD constate une nette amĂ©lioration au niveau des MASSE trouve qu’il y a plus de communication au niveau des Ă©quipes. Mme BAHOUGNE rejoint l’avis de M. MASSE, constate que les Ă©quipes sont plus soudĂ©es, Ă  l’écoute
 Lorsque des soins supplĂ©mentaires sont faits les familles sont prĂ©venues, il y a plus de dialogue. M. SIMON prĂ©cise que le changement des horaires de travail a Ă©tĂ© bĂ©nĂ©fique, car Ă  certains moments clĂ© comme le repas, les agents sont plus nombreux. Il ajoute Ă©galement que les Ă©quipes sont constructives et adhĂšrent aux changements. L’arrivĂ© de la nouvelle cadre de santĂ© a permis de revoir les organisations 
 Le personnel est Ă  l’écoute des familles, tous les agents s’impliquent ce qui amĂ©liore la qualitĂ© du du jour Ă©tant Ă©puisĂ©, la sĂ©ance est levĂ©e Ă  12h10. Madame Eliane JACOB Vice PrĂ©sidente du conseil de vie sociale ArriverĂ  une meilleure reconnaissance du rĂŽle d’aidant, une meilleure prise en compte de leur fonction essentielle. DĂ©sormais, l’alliance pourra faire entendre sa voix Ă  l’Onu, puisqu’elle fait possĂšde aujourd’hui un statut consultatif auprĂšs de l’Ecosoc, le Conseil Ă©conomique et social des Nations Unies.
Chaque tranche d’ñge comporte son lot de questionnements et d’épreuves Ă  surmonter. Lorsque l’on entre dans la vieillesse, la perte d’autonomie ou de vie sociale peut entraĂźner une dĂ©cision forte celle de partir en maison de retraite. Cependant, ce n’est pas la personne ĂągĂ©e concernĂ©e qui doit s’occuper de toutes les dĂ©marches seule. Les proches se doivent de l’accompagner du mieux qu’ils peuvent, avant et pendant l’hĂ©bergement dĂ©finitif en maison de retraite. L’accompagnement avant admission Avant l’admission en maison de retraite de votre proche, il faut l’aider Ă  trouver, justement, quelle maison de retraite pourra l’accueillir de la meilleure façon qui soit. Pour dĂ©goter l’établissement le plus adĂ©quat, il est important de se poser plusieurs questions. Tout d’abord, il est recommandĂ© de faire une Ă©tude comparative des diffĂ©rents Ă©tablissements les plus adaptĂ©s en fonction des besoins de la personne ĂągĂ©e concernĂ©e. Par exemple, a-t-elle besoin de soins particuliers et donc d’un PASA au sein de l’établissement d’accueil ? Souhaite-elle rester dans sa ville actuelle ou prĂ©fĂšre-t-elle se rapprocher de vous ? Cela vous permettra d’établir des critĂšres de recherche pertinents, par exemple une maison de retraite Ă  Montpellier avec un pĂŽle spĂ©cialisĂ© Alzheimer. De plus, vous pourrez aider votre proche en Ă©tudiant son budget type des dĂ©penses mensuelles, pour vĂ©rifier qu’il soit bien en mesure de les payer sur le long terme. Dans ce budget rentre les charges de la maison de retraite, les loisirs coiffeur, théùtre
 ainsi que les ressources perçues par la personne ĂągĂ©e retraite, aide financiĂšres telles que l’ APA, l’Allocation Logement, l’Aide Sociale ou encore les Aides Fiscales. AprĂšs avoir prĂ©sĂ©lectionnĂ© diffĂ©rents Ă©tablissements, vous pouvez programmer des visites avec le senior concernĂ© afin de l’accompagner au mieux. S’il est encore autonome, il est trĂšs important qu’il puisse choisir sa maison de retraite. Les visites lui permettront de s’habituer Ă  la perspective de quitter son domicile et lui apporteront de la sĂ©rĂ©nitĂ© dans ses choix. Lors de la visite, vous devez prĂ©parer quelques questions essentielles pour votre proche et les poser au personnel, comme par exemple Puis-je consulter le programme des activitĂ©s d’animation de l’établissement ? L’établissement possĂšde-t-il un journal interne ? Puis-je le consulter ? Quels sont les horaires de visite ? A-t-on le choix du mĂ©decin traitant ? Que se passe-t-il si l’état de dĂ©pendance de la personne s’aggrave? Une fois plusieurs Ă©tablissements sĂ©lectionnĂ©s, vous devrez aider votre proche Ă  remplir un dossier d’admission pour chacun, comprenant un volet administratif et un volet mĂ©dical. Il est conseillĂ© de faire remplir le volet mĂ©dical par un professionnel qui connaĂźt bien le senior concernĂ©, comme son mĂ©decin traitant. Enfin, vous pouvez demander conseil Ă  votre mĂ©decin ou Ă  une assistante sociale du CLIC, qui seront de bons conseils sur le choix d’une maison de retraite car ils pourront vous donner de prĂ©cieux renseignements sur les EHPAD de votre dĂ©partement. Vous pouvez Ă©galement consulter des guides papiers et en ligne ou tout simplement activer la solution bouche Ă  oreille » et demander Ă  vos proches leurs expĂ©riences personnelles. L’accompagnement aprĂšs admission Une fois l’établissement trouvĂ© et la place de votre proche rĂ©servĂ©e, il est primordial de continuer Ă  soutenir la personne ĂągĂ©e concernĂ©e dĂšs son entrĂ©e en maison de retraite. L’accompagnement en EHPAD vient en soutien au travail du personnel de l’établissement. Si le senior concernĂ© prĂ©sente des troubles du langage par exemple, mais que vous avez appris Ă  dĂ©chiffrer certains codes de son comportement, il est important que vous transmettiez ces codes au personnel, afin que la prise en charge de votre proche se passe au mieux. Vous pouvez Ă©galement organiser des rĂ©unions avec le mĂ©decin coordinateur de l’établissement dans le but Ă©ventuellement d’opĂ©rer des ajustements dans la prise en charge de votre proche ou lui faire prendre connaissance d’un dysfonctionnement dans cette prise en charge. Si vous souhaitez faire des suggestions sur le fonctionnement de l’établissement, comme proposer des activitĂ©s par exemple, vous devez vous rapprocher du prĂ©sident du Conseil de la Vie Sociale CVS de l’EHPAD concernĂ©. Le CVS se rĂ©unit trois fois par an et comprend des reprĂ©sentants Ă©lus des familles, des rĂ©sidents et des salariĂ©s autour de la direction. Le rĂŽle du prĂ©sident du CVS est de faire entendre la voix des rĂ©sidents et de leurs proches, c’est pourquoi il est adĂ©quat de se rapprocher de lui pour toute remarque sur les actions de l’établissement. Pour pouvoir facilement faire la navette entre le personnel et votre proche, nous vous conseillons de demander l’organigramme de son EHPAD pour rapidement connaĂźtre le nom et la fonction de vos principaux interlocuteurs.
LeCESE, cet inconnu. Le Conseil Économique, Social et Environnemental (le CESE ), est la troisiĂšme assemblĂ©e de la RĂ©publique, mais sa voix reste peu audible et son coĂ»t est dĂ©criĂ©. Son budget total est de 46,1 M€. Pourtant le CESE – comme chaque CESER en rĂ©gion – est la voix de la sociĂ©tĂ© civile par excellence.
Rien n'oblige juridiquement les EHPAD Ă  accompagner les personnes ĂągĂ©es dĂ©pendantes si elles dĂ©sirent voter. © PASCAL PAVANI / AFP CopiĂ©11h08, le 20 avril 2017, modifiĂ© Ă  16h22, le 21 avril 2017 Le 23 avril et le 7 mai, les seniors seront, comme les autres citoyens, appelĂ©s Ă  voter. Mais pour les personnes dĂ©pendantes qui rĂ©sident dans des Ă©tablissements spĂ©cialisĂ©s, il n'est pas toujours facile de le votent les personnes ĂągĂ©es ? PlutĂŽt Ă  droite, rĂ©pondront les plus au courant de la sociologie Ă©lectorale. C'est vrai voir encadrĂ©, mais la question n'est pas uniquement lĂ . Comment votent-elles en pratique ? Se dĂ©placer jusqu'aux urnes peut-ĂȘtre un vĂ©ritable casse-tĂȘte pour certaines. Et la question se pose avec d'autant plus d'acuitĂ© pour les seniors qui, du fait de leur Ă©tat de santĂ©, rĂ©sident dans des Ă©tablissements d'hĂ©bergement pour personnes ĂągĂ©es dĂ©pendantes EHPAD. Ils sont environ selon les chiffres les plus rĂ©cents de la Direction de la recherche, des Ă©tudes, de l'Ă©valuation et des statistiques DREES. Et tous ne voteront pas les 23 avril et 7 mai prochain, loin de rien n'est prĂ©vu. Car juridiquement, rien n'est prĂ©vu pour organiser leur vote. "Les EHPAD n'ont aucune obligation lĂ©gale de faire quoi que ce soit", rappelle Fanny Coudray, directrice de la rĂ©sidence de la Poterie de Chartres-de-Bretagne, dans l'Ille-et-Vilaine. Il existe bien une Charte des droits et libertĂ©s de la personne ĂągĂ©e en situation de dĂ©pendance, qui stipule que "l'exercice de ses droits civiques doit ĂȘtre facilitĂ©, notamment le droit de vote en fonction de sa capacitĂ© juridique". Mais cette Charte n'a aucun caractĂšre aides Ă  la procuration. Pour autant, "l'accompagnement des rĂ©sidents pour voter est quelque chose que nous prenons en compte", assure Fanny Coudray, qui est Ă©galement membre du bureau du bureau de la FĂ©dĂ©ration nationale des associations de directeurs d'Ă©tablissements et services pour personnes ĂągĂ©es FNADEPA. Dans son EHPAD, une animatrice rĂ©alise, plusieurs matins par semaine, une revue de presse pour "favoriser le dĂ©bat" et tenir les rĂ©sidents au courant de l'actualitĂ© politique. À l'approche du scrutin, "on a accompagnĂ© les dĂ©marches de procuration", raconte Fanny Coudray. Un tour des rĂ©sidents a Ă©tĂ© fait pour leur demander s'ils souhaitaient voter et, le cas Ă©chĂ©ant, s'ils voulaient faire une procuration. "Ensuite, on a contactĂ© chaque famille, aidĂ© les rĂ©sidents Ă  rassembler les documents nĂ©cessaires et on s'est mis en relation avec les services de gendarmerie." Qui sont venus dans l'Ă©tablissement pour Ă©viter des dĂ©placements trop lourds Ă  familles mises Ă  contribution. Si la rĂ©sidence de la Poterie est exemplaire, ce n'est pas le cas de tous les EHPAD. "L'application de la Charte est laissĂ©e Ă  la discrĂ©tion de chacun", note JoĂ«lle Le Gall, prĂ©sidente honoraire de la FĂ©dĂ©ration nationale des associations et amis des personnes ĂągĂ©es et de leurs familles FNAPAEF. "Les Ă©tablissements essaient gĂ©nĂ©ralement de faire au mieux mais pour certains, c'est loin d'ĂȘtre une prioritĂ©." En cause le manque de moyens. "On fait souvent porter la responsabilitĂ© aux familles", conclut JoĂ«lle Le Gall. Ce qui peut Ă©videmment poser problĂšme lorsqu'elles sont absentes ou Ă©loignĂ©es." Les Ă©tablissements essaient gĂ©nĂ©ralement de faire au mieux mais pour certains, le vote des rĂ©sidents est loin d'ĂȘtre une prioritĂ©. "Accompagnement au bureau de vote. Fanny Coudray, de son cĂŽtĂ©, reconnaĂźt volontiers qu'"en fonction des secteurs gĂ©ographiques", les mesures mises en place peuvent ĂȘtre diffĂ©rentes d'un EHPAD Ă  l'autre. Mais assume totalement de mettre les proches Ă  contribution. "On insiste sur la place que doit tenir la famille en gĂ©nĂ©ral dĂšs l'entrĂ©e de la personne dans la rĂ©sidence", explique-t-elle. Au moment des Ă©lections, c'est donc Ă  elle, si aucune procuration n'a Ă©tĂ© faite, de venir chercher son parent rĂ©sident pour l'emmener dans son bureau de vote. "Il y a des organisations de transport dans certains EHPAD, mais cela reste vraiment marginal." Les personnes accueillies dans son EHPAD qui sont inscrites sur les listes Ă©lectorales dans la commune ont de la chance le bureau de vote, Ă  la Mairie, est accessible Ă  pied. "Un professionnel peut les accompagner, mais beaucoup de familles s'en chargent aussi", souligne Fanny Coudray."L'enjeu Ă©lectoral n'est pas le mĂȘme pour tous les candidats". Du cĂŽtĂ© des partis politiques, rien n'est vraiment prĂ©vu pour inciter les personnes ĂągĂ©es rĂ©sidant en EHPAD Ă  voter. Mettre Ă  disposition des moyens de transport pour les mener jusqu'aux bureaux de vote est logiquement interdit, mais les Ă©tats-majors ne prĂ©voient pas non plus d'actions de communication spĂ©cifiques. Leurs tracts et professions de foi arrivent dans les boĂźtes aux lettres de chacun. Cela s'arrĂȘte lĂ . "L'enjeu Ă©lectoral n'est pas le mĂȘme pour tous les candidats", rappelle-t-on chez BenoĂźt Hamon. "Le vote des seniors est moins prioritaire pour nous que pour la droite. Si on pouvait dĂ©jĂ  arriver Ă  faire voter les jeunes
"Sous tutelle. Si, dans l'ensemble, Fanny Coudray assure que l'exercice des droits civiques des personnes ĂągĂ©es dĂ©pendantes pose rarement problĂšme et qu'elle n'a eu d'Ă©cho de plaintes ni des familles, ni des rĂ©sidents, les choses se corsent sur la question des personnes trĂšs malades ou lourdement handicapĂ©es. Pour elles, la capacitĂ© Ă  choisir un candidat peut ĂȘtre mise en doute. Lorsqu'elles sont sous tutelle, la question ne se pose quasiment pas. "GĂ©nĂ©ralement, elles n'ont plus le droit de vote. Des dĂ©marches peuvent ĂȘtre faites auprĂšs du juge", explique Fanny Coudray. Dans les faits, cela n'arrive "quasiment jamais".Épineuse question des malades d'Alzheimer... En revanche, nombre de personnes ĂągĂ©es atteintes de troubles cognitifs ne sont pas sous tutelle. Que faire, par exemple, pour les rĂ©sidents souffrant d'Alzheimer qui ne sont pas sous tutelle, comme c'est le cas de 70% d'entre eux ? Les Ă©tudes sur le sujet sont rares, mais la fondation MĂ©dĂ©ric Alzheimer en a rĂ©alisĂ© une auprĂšs de Ă©tablissements en 2010. À l'Ă©poque, seules 54% des structures interrogĂ©es dĂ©claraient avoir mis en place des mesures "facilitant l'exercice du droit de vote" pour les patients atteints de cette maladie neurodĂ©gĂ©nĂ©rative. Pour les 43% des Ă©tablissements qui n'ont rien prĂ©vu dans ces cas de figure, la raison la plus invoquĂ©e est "l'absence de compĂ©tence de l'EHPAD en la matiĂšre".RĂ©sultat en l'absence de cadre juridique clair, c'est la famille qui place le curseur. Et reste juge de la capacitĂ©, ou non, du malade de se rendre aux urnes. "GĂ©nĂ©ralement, elle n'insiste pas pour que son parent vote", estime Fanny Coudray. "Si la personne ne peut absolument pas s'exprimer, qu'elle est trop dĂ©sorientĂ©e, elle n'a de toute façon pas d'intĂ©rĂȘt pour l'actualitĂ© politique."
et des handicapĂ©s mentaux. Le problĂšme se pose aussi dans l'autre sens, pour les personnes sous tutelle qui se voient dĂ©possĂ©dĂ©es de leur droit de vote. C'est le cas notamment des "personnes handicapĂ©es vieillissantes" que Fanny Coudray accueille, Ă  partir de 45 ans, dans un "foyer de vie" Ă  cĂŽtĂ© de l'EHPAD. "On a lĂ  des gens qui s'intĂ©ressent Ă  l'actualitĂ©, avec lesquels on organise des ateliers de discussion, mais qui ne peuvent pas voter alors qu'elles en expriment le dĂ©sir." Plusieurs associations, comme l'Unapei, ont dĂ©jĂ  soulevĂ© ce problĂšme, appelant les pouvoirs publics Ă  lĂ©gifĂ©rer sur la question. Fanny Coudray estime quant Ă  elle qu'on ne pourra faire l'Ă©conomie d'engager "une rĂ©flexion dans les annĂ©es Ă  venir".Les seniors penchent Ă  droiteTraditionnellement, les personnes ĂągĂ©es sont parmi celles qui se mobilisent le plus. Selon la derniĂšre enquĂȘte Ipsos pour le Cevipof, 75% des plus de 65 ans sont certains de voter dimanche, contre 58% des moins de 35 ans. En 2012, 87% d'entre eux avaient fait le vote va majoritairement aux candidats Ă  droite de l'Ă©chiquier politique. En 2012, 41% des plus de 65 ans avaient choisi Nicolas Sarkozy dĂšs le premier tour, quand 30% avaient prĂ©fĂ©rĂ© François Hollande. En revanche, contrairement aux idĂ©es reçues, ils ne votent pas plus pour le Front national que la moyenne de la population. Selon les sondages, Marine Le Pen ne recueille les suffrages que d'environ 13% des seniors contre 24% des moins de 35 ans.

LeConseil de la vie sociale en accueil de jour peut donc ĂȘtre prĂ©cieux pour participer Ă  la vie de l’établissement, des activitĂ©s proposĂ©es aux rĂ©sidents aux actions de

Analyse du comportement de plainte des victimes Ă  partir de l’enquĂȘte CVSSe rendre au commissariat de police ou Ă  la gendarmerie pour faire un signalement Ă  la suite d’une atteinte matĂ©rielle, corporelle et/ou psychique est loin d’ĂȘtre une dĂ©marche systĂ©matique. D’aprĂšs l’enquĂȘte de victimation Cadre de vie et sĂ©curitĂ© », cette dĂ©marche est en effet fortement conditionnĂ©e par la nature et la gravitĂ© des faits subis, Ă  l’exception notable des violences sexuelles ou des violences subies au sein du mĂ©nage qui sont trĂšs faiblement reportĂ©es moins d’une victime sur six se rend en commissariat ou en gendarmerie. Pour les atteintes aux biens, le dĂ©pĂŽt de plainte est un prĂ©alable obligatoire pour enclencher le recours auprĂšs de l’assurance, ce qui explique notamment que plus de 85% des victimes se dĂ©placent pour les cambriolages ou les vols de voitures. Une fois au commissariat ou Ă  la gendarmerie, pour toutes les atteintes Ă  l’exception des actes de vandalisme contre le logement, les violences sexuelles et les violences subies au sein du mĂ©nage, plus de sept victimes sur dix dĂ©posent formellement plainte. Les autres se reportent majoritairement vers une dĂ©claration en main courante et plus rarement abandonnent leur dĂ©marche. Les victimes de violences sexuelles et plus encore les victimes de violences subies au sein du mĂ©nage renoncent plus frĂ©quemment Ă  dĂ©poser plainte une fois sur place respectivement 40% et 52%. Les victimes de violences au sein du mĂ©nage qui optent pour un dĂ©pĂŽt sur main courante plutĂŽt que pour un dĂ©pĂŽt de plainte dĂ©clarent huit fois sur dix vouloir essayer de faire changer les choses sans porter plainte ». Pour les victimations autres que les violences sexuelles et les violences au sein du mĂ©nage, environ 7% des victimes qui se sont rendues au commissariat ou en gendarmerie dĂ©clarent avoir Ă©tĂ© orientĂ©es vers un dĂ©pĂŽt sur main courante plutĂŽt qu’une plainte par les forces de sĂ©curitĂ©. Les victimes qui ont fait le choix de ne pas se dĂ©placer indiquent le plus frĂ©quemment que c’est parce qu’elles jugent cette dĂ©marche inutile ou bien parce que les faits n’étaient pas assez graves. La plainte est l’acte par lequel une personne qui s’estime victime d’une infraction en informe la justice. Le dĂ©pĂŽt de plainte peut se faire dans un commissariat de police, une brigade de gendarmerie ou directement auprĂšs du procureur. Cette Ă©tude dĂ©crit le comportement de plainte des victimes auprĂšs de la police et de la gendarmerie. L’enquĂȘte de victimation Cadre de vie et sĂ©curitĂ© »1 permet d’étudier finement cette dĂ©marche. Pour chaque victimation suivie dans l’enquĂȘte, les victimes ont la possibilitĂ© d’indiquer si elles se sont dĂ©placĂ©es en police ou en gendarmerie, si elles ont dĂ©posĂ© plainte, fait consigner les faits sans dĂ©poser plainte dĂ©claration de type main courante2, ou renoncĂ© sur place Ă  faire une dĂ©claration. Elles peuvent en outre prĂ©ciser les raisons pour lesquelles elles ont choisi de ne pas se dĂ©placer ou d’opter pour tel ou tel recours, elles sont enfin Ă©galement interrogĂ©es sur leur satisfaction quant Ă  leur dĂ©marche effectuĂ©e en commissariat ou en gendarmerie et sur son utilitĂ©. Les questions posĂ©es sont les mĂȘmes pour toutes les victimations cambriolage, vol avec violences etc. sauf pour les violences sexuelles et les violences subies au sein du mĂ©nage »3 pour lesquelles le questionnement est plus appropriĂ© au contexte il n’est par exemple pas demandĂ© Ă  la victime la raison pour laquelle elle a dĂ©posĂ© plainte. Pour analyser plus finement le recours aux forces de sĂ©curitĂ©, les taux de dĂ©placement et les taux de plainte ont Ă©galement Ă©tĂ© estimĂ©s pour des cas plus prĂ©cis en croisant la victimation subie cambriolage, vol personnel, etc. avec des Ă©lĂ©ments permettant d’objectiver la gravitĂ© des faits subis montant du prĂ©judice subi, prĂ©sence d’une arme, octroi d’une ITT etc..Pour rĂ©aliser ce travail, les Ă©chantillons de rĂ©pondants des enquĂȘtes Cadre de Vie et SĂ©curitĂ© » 2007 Ă  2016 ont Ă©tĂ© rassemblĂ©s. Les rĂ©sultats prĂ©sentĂ©s dans ce document sont donc des moyennes observĂ©es sur cette pĂ©riode sauf pour les escroqueries bancaires pĂ©riode 2010-2016 et pour les vols Ă  la roulotte et les vols d’accessoires sur la voiture pĂ©riode 2009-2016 qui n’étaient pas traitĂ©s dans les premiĂšres Ă©ditions de l’enquĂȘte. 1 Pour plus d’information, cf. et le rapport annuel 2 Une personne peut faire une dĂ©claration sur un registre de main courante lorsqu’elle souhaite faire consigner certains faits par la police sans dĂ©poser plainte. Il s’agit d’un moyen pour dater et garder trace officielle d’évĂšnements d’une certaine gravitĂ© mais qui ne sont pas Ă  eux seuls caractĂ©ristiques de la commission d’une infraction dĂ©part du conjoint du domicile, bruits de voisinage, etc.. Contrairement Ă  une plainte, la victime ne souhaite pas poursuivre en justice l’auteur des faits. Mais si la police estime que ces faits constituent une infraction, ils pourront dĂ©clencher eux-mĂȘmes une action judiciaire, que la victime ait ou non voulu porter plainte. De plus, son enregistrement pourra constituer un dĂ©but de preuve dans une procĂ©dure ultĂ©rieure le cas Ă©chĂ©ant. En gendarmerie, il n’existe pas Ă  proprement parler de main courante », mais les gendarmes sont tenus de remplir un procĂšs-verbal de renseignement judiciaire relatant des Ă©vĂšnements qui ne sont pas l’objet de plainte ou d’enquĂȘte d’initiative par la gendarmerie, il est rĂ©digĂ© Ă  l’intention du magistrat territorialement compĂ©tent qui juge de l’opportunitĂ© d’engager des Les violences subies au sein du mĂ©nage » dĂ©signent les violences commises par une personne rĂ©sidant avec la victime au moment de l’ un signalement auprĂšs des forces de sĂ©curitĂ© un rĂ©flexe trĂšs fortement conditionnĂ© par la nature et la gravitĂ© des faits subis Se rendre au commissariat ou Ă  la gendarmerie Ă  la suite d’un vol ou d’une agression est loin d’ĂȘtre systĂ©matique la moitiĂ© ou moins des victimes se dĂ©place pour 10 des 14 victimations Ă©tudiĂ©es figure 1, Ă  savoir les atteintes personnelles vols personnels, violences, les actes de vandalisme contre le logement ou la voiture et les vols d’accessoire de voiture. Pour les atteintes aux biens, le dĂ©pĂŽt de plainte est un prĂ©alable obligatoire pour enclencher le recours auprĂšs de l’assurance, ce qui explique notamment le taux de dĂ©placement Ă©levĂ© pour les cambriolages ou les vols de voitures. Quand on analyse plus finement les cas, on voit que l’écrasante majoritĂ© plus de 90% des victimes d’atteintes aux biens ou aux personnes avec des prĂ©judices lourds ou ayant donnĂ© lieu Ă  une incapacitĂ© totale de travailler ITT4 font le dĂ©placement cambriolages rĂ©ussis avec prĂ©judice supĂ©rieur Ă  1 500 euros, vols de voiture, violences physiques avec ou sans vol ayant entraĂźnĂ© une ITT Ă  l’exception notable des violences sexuelles ou des violences subies au sein du mĂ©nage. Le taux de dĂ©placement est en effet particuliĂšrement faible pour les violences sexuelles, qu’elles soient commises par une personne vivant ou non avec la victime au moment de l’enquĂȘte 13% des victimes de violences sexuelles hors mĂ©nage » et 17% des victimes de violences sexuelles au sein du mĂ©nage » se dĂ©placent pour signaler les faits. De mĂȘme, pour les violences physiques subies au sein du mĂ©nage, seules 15% des victimes se dĂ©placent en police ou en gendarmerie pour signaler les faits. La proportion de victimes de violences sexuelles hors mĂ©nage qui se dĂ©placent au commissariat ou Ă  la gendarmerie est nettement plus Ă©levĂ©e pour celles qui ont reçu une ITT qu’en moyenne pour cette victimation 63% contre 12%. L’octroi d’une ITT est sans aucun doute un marqueur de la gravitĂ© des faits subis, mais c’est aussi une information corrĂ©lĂ©e au taux de dĂ©placement la visite chez le mĂ©decin est souvent effectuĂ©e aprĂšs le dĂ©pĂŽt de plainte, Ă  la demande de la victime ou sur rĂ©quisition judiciaire. L’enquĂȘte ne permet toutefois pas de reconstituer la chronologie des recours. NĂ©anmoins, 37% des victimes de violences sexuelles hors mĂ©nage ayant entraĂźnĂ© une ITT ne se dĂ©placent pas au commissariat ou en gendarmerie contre 8% seulement » des victimes de violences physiques non sexuelles hors mĂ©nage ayant entraĂźnĂ© une victimes de vols personnels ou de violences hors mĂ©nage se dĂ©placent globalement dans un cas sur deux ou moins 50% pour les vols ou tentatives de vols violents, 45% pour les vols ou tentatives de vol simples et 39% pour les violences physiques hors vol. MĂȘme lors de l’usage d’une arme pendant les faits arme Ă  feu, arme blanche ou par destination, qui constitue pourtant une circonstance aggravante au regard de la loi et une expĂ©rience bien souvent traumatisante pour les victimes, Ă  peine plus de la moitiĂ© des victimes se dĂ©placent 56% pour les vols violents avec arme, 51% pour les violences physiques hors vol avec arme.4 L’ITT est une notion pĂ©nale qui sert Ă  qualifier pĂ©nalement les violences volontaires en fonction de la durĂ©e pendant laquelle une victime Ă©prouve une gĂȘne notable dans les actes de la vie courante manger, dormir, se laver, s’habiller, faire ses courses, se dĂ©placer, se rendre au travail. L’évaluation de la durĂ©e de l’ITT est un acte mĂ©dical. La durĂ©e de l’ITT peut ĂȘtre dĂ©terminĂ©e pour n’importe quel individu, peu importe que celui-ci travaille ou non, elle est en effet sans rapport avec celle de l’arrĂȘt de travail. La durĂ©e de l’ITT est parfois un Ă©lĂ©ment constitutif de l’infraction. La qualification des faits et les peines encourues par l’auteur de l’infraction peuvent dĂ©pendre de l’estimation de l’ITT. MĂȘme lorsqu’elle n’est pas un Ă©lĂ©ment constitutif de l’infraction, la fixation de l’ITT est un Ă©lĂ©ment dĂ©terminant qui permet au magistrat d’apprĂ©cier la gravitĂ© des faits. * personnes ĂągĂ©es de 18 Ă  75 ans. Champ France mĂ©tropolitaine, mĂ©nages ordinaires et personnes de 14 ans ou plus, incident le plus rĂ©cent dans les 24 mois prĂ©cĂ©dant l’enquĂȘte. Source enquĂȘtes Cadre de vie et sĂ©curitĂ© 2007-2016, en moyenne, parmi les victimes de cambriolages rĂ©ussis, 85% se sont dĂ©placĂ©es en commissariat ou en gendarmerie pour faire un signalement 78% ont dĂ©posĂ© plainte et 7% ont dĂ©posĂ© une main courante ou renoncĂ© sur place Ă  faire une fois au commissariat ou Ă  la gendarmerie, les victimes de violences au sein du mĂ©nage renoncent Ă  dĂ©poser plainte dans plus d’un cas sur deuxUne fois au commissariat de police ou Ă  la gendarmerie, les victimes peuvent dĂ©poser formellement plainte, faire une dĂ©claration de type main courante ou bien renoncer Ă  faire un signalement. On constate qu’il existe une corrĂ©lation positive entre le taux de dĂ©placement et la propension Ă  porter plainte une fois sur place. En d’autres termes, plus le taux de dĂ©placement est Ă©levĂ©, plus la part de victimes qui dĂ©clarent en main courante ou abandonnent parmi les victimes qui se sont dĂ©placĂ©es est faible. De sorte que pour les victimations oĂč un grand nombre de victimes se dĂ©placent, le taux de plainte est souvent trĂšs proche du taux de dĂ©placement comme pour les vols de voiture par exemple, en revanche pour les violences sexuelles et les violences au sein du mĂ©nage et pour les atteintes de moindre gravitĂ© comme le vol d’accessoires de voiture, oĂč le recours aux forces de sĂ©curitĂ© est faible, le taux de plainte est bien moins Ă©levĂ© que le taux de dĂ©placement. Autrement dit, alors qu’elles se sont dĂ©placĂ©es, de nombreuses victimes renoncent Ă  dĂ©poser plainte sur place figure 2. Pour les actes de vandalisme contre le logement, les violences sexuelles, et les violences au sein du mĂ©nage, les victimes qui ont fait le dĂ©placement dĂ©posent plainte dans moins de deux cas sur trois. Globalement, les taux de plainte part de victimes ayant dĂ©posĂ© plainte estimĂ©s pour les diffĂ©rents cas victimations croisĂ©es avec la gravitĂ© des faits oscillent entre 4% et 92% figure 1. À l’exception des vols de voiture, des cambriolages rĂ©ussis et des violences physiques ayant entraĂźnĂ© une ITT, moins de deux victimes sur trois dĂ©posent plainte. Ces chiffres rappellent que seule une partie, souvent minoritaire, des victimations se traduisent par le dĂ©pĂŽt d’une plainte et que le suivi statistique qui ne s’appuie que sur les plaintes est donc trĂšs violences sexuelles et violences subies au sein du mĂ©nage, environ 7% des victimes qui se sont rendues au commissariat ou en gendarmerie dĂ©clarent avoir Ă©tĂ© orientĂ©es vers un dĂ©pĂŽt de main courante par les forces de sĂ©curitĂ© L’abandon pur et simple est rare, la plupart des victimes qui se sont dĂ©placĂ©es mais n’ont pas portĂ© plainte se reportent sur une dĂ©claration en main courante. Ce report concerne selon les victimations entre 4% et 30% des victimes qui se sont dĂ©placĂ©es au commissariat ou Ă  la gendarmerie contre 1% Ă  11% pour l’abandon figure 2. Pour les cambriolages, les vols de voiture et les vols violents, la proportion de victimes qui se dont dĂ©placĂ©es et qui ont dĂ©posĂ© une main courante ne dĂ©passe pas 10%. Pour les vols Ă  la roulotte, les vols d’accessoires de voiture, les tentatives de vols de voiture, les actes de vandalisme contre la voiture, les escroqueries bancaires et les vols simples, cette proportion est comprise entre 14% et 18%. Pour les tentatives de cambriolage, les actes de vandalisme contre le logement, les violences physiques et les violences sexuelles hors mĂ©nage, le report vers la main courante concerne de 21 Ă  28% des victimes qui se sont dĂ©placĂ©es. Pour les violences au sein du mĂ©nage, le report vers la main courante atteint 30%. Depuis 2014, un protocole-cadre adoptĂ© par le ministĂšre de l’intĂ©rieur stipule, qu’en matiĂšre de violences conjugales, la consignation des dĂ©clarations de la victime sur main courante ou procĂšs-verbal d’information judiciaire pvrj doit demeurer un procĂ©dĂ© exceptionnel, subordonnĂ© au refus express de la victime de dĂ©poser plainte et dans la mesure oĂč aucun fait grave n’est rĂ©vĂ©lĂ©. Au prĂ©alable, les services de police et unitĂ©s de gendarmerie doivent s’assurer que la victime a pleinement conscience de la diffĂ©rence entre une main courante ou un pvrj et une plainte. Enfin, la victime est Ă©galement informĂ©e que son refus de dĂ©poser plainte ne lie pas les services de police et de gendarmerie qui pourront dĂ©cider d’ouvrir une enquĂȘte s’ils disposent d’indices suffisants et d’informer le procureur de la RĂ©publique qui pourra toujours engager des poursuites. L’enquĂȘte ne permet pas de mesurer l’impact de ce protocole sur le comportement de plainte des victimes de violences conjugales. Les victimes sont interrogĂ©es sur ce report est-il de leur propre initiative ou bien fait-il suite Ă  des conseils donnĂ©s par les forces de sĂ©curitĂ© ? Celles-ci sont en effet amenĂ©es Ă  conseiller ce report vers la main courante lorsque l’atteinte subie ne constitue pas une infraction pĂ©nale ou bien n’est pas suffisamment caractĂ©risĂ©e et ne peut alors pas faire l’objet d’une plainte. Globalement, le plus souvent le report vers une main courante rĂ©sulte d’une initiative de la victime. Toutefois, hors violences sexuelles et violences au sein du mĂ©nage, environ 7% des victimes qui se sont dĂ©placĂ©es en commissariat ou en gendarmerie dĂ©clarent avoir sur place dĂ©posĂ© une main courante plutĂŽt qu’une plainte sur les conseils des forces de sĂ©curitĂ©. Cette proportion est en moyenne plus faible pour les victimes de vols de voiture, de cambriolages ou de vols personnels avec ou sans violence. Elle se situe autour de 7% pour les vols d’accessoires de voiture, les vols Ă  la roulotte, les tentatives de vols de voiture et pour les violences physiques. C’est pour les tentatives de cambriolage et les actes de vandalisme contre le logement que cette proportion est la plus Ă©levĂ©e entre 10% et 13%.S’agissant des victimes de violences au sein du mĂ©nage5, de nombreuses victimes semblent choisir une main courante plutĂŽt qu’une plainte pour Ă©viter des poursuites Ă  l’auteur des violences. En effet, une proportion trĂšs Ă©levĂ©e de victimes de violences subies au sein du mĂ©nage qui se sont dĂ©placĂ©es en commissariat de police ou en gendarmerie et qui ont choisi de dĂ©poser une main courante dĂ©clarent que c’était pour lancer un avertissement Ă  l’auteur des violences » 82%, pour essayer de faire changer les choses sans porter plainte » 80% ou encore pour ne pas faire une dĂ©claration qui aurait eu de trop graves consĂ©quences » 79%.5 Il n’est pas possible de fournir un chiffre comparable de mains courantes orientĂ©es par les forces de sĂ©curitĂ© pour les violences sexuelles et les violences au sein du mĂ©nage. D’abord parce que les effectifs de rĂ©pondants ne le permettent pas mais aussi parce que la question n’est pas posĂ©e de la mĂȘme façon, que les modalitĂ©s de rĂ©ponses sont plus nombreuses et diffĂ©rentes de celles proposĂ©es pour les autres victimations et enfin parce que les victimes peuvent cocher plusieurs un signalement auprĂšs des forces de sĂ©curitĂ©, une dĂ©marche jugĂ©e souvent inutile par les victimes qui ne se sont pas dĂ©placĂ©es InterrogĂ©es sur les raisons qui les ont conduites Ă  ne pas se dĂ©placer pour signaler les faits, les victimes dĂ©clarent trĂšs frĂ©quemment soit qu’elles n’en voyaient pas l’utilitĂ©, que cela n’aurait servi Ă  rien » de 25% pour les actes de vandalisme Ă  44% pour les vols violents parmi les victimes qui ne se sont pas dĂ©placĂ©es, soit que ce n’était pas assez grave, cela n’en valait pas la peine » de 18% pour les escroqueries bancaires Ă  54% pour les vols d’accessoire sur la voiture parmi les victimes qui ne se sont pas dĂ©placĂ©es, figure 3. Prises ensemble, ces modalitĂ©s sont citĂ©es par une proportion de victimes variant de 61% pour les cambriolages Ă  87% pour les vols d’accessoire de voiture. Les autres modalitĂ©s de rĂ©ponse proposĂ©es vous n’avez pas eu le temps », vous n’y avez pas pensĂ© sur le moment », par peur des reprĂ©sailles », vous ne vouliez pas avoir affaire Ă  la police ou la justice » sont rarement reportĂ©es. La proportion de victimes cochant la modalitĂ© autres » est relativement Ă©levĂ©e, supĂ©rieure Ă  10% sauf pour les vols d’accessoires de voiture et les actes de vandalisme. L’enquĂȘte ne permet pas de prĂ©ciser ce que recouvre cette catĂ©gorie autres ».Pour les vols personnels violents, au total c’est 1 victime sur 4 qui renonce Ă  se dĂ©placer parce qu’elle trouve la dĂ©marche inutile 1 sur 5 quand l’auteur a utilisĂ© une arme. Pour les victimes de violences sexuelles ou de violences subies au sein du mĂ©nage, la question sur les raisons du non dĂ©placement au commissariat ou en gendarmerie propose des modalitĂ©s de rĂ©ponse diffĂ©rentes plus appropriĂ©es au contexte. Ainsi les victimes peuvent rĂ©pondre pour Ă©viter que cela se sache », parce que vous prĂ©fĂ©rez trouver une autre solution », par peur des reprĂ©sailles », parce que cela n’aurait servi Ă  rien », parce que ce n’était pas grave », pour Ă©viter des Ă©preuves supplĂ©mentaires ». En outre, les victimes ont la possibilitĂ© de cocher autant de modalitĂ©s qu’elles le souhaitent. On observe que de nombreuses modalitĂ©s sont cochĂ©es et les frĂ©quences de chacune d’elles sont plutĂŽt Ă©levĂ©es figure 3bis. NĂ©anmoins deux modalitĂ©s se distinguent. Comme pour les autres types de victimation, l’inutilitĂ© de la dĂ©marche est reportĂ©e par 68% des victimes de violences sexuelles hors mĂ©nage et 62 % des victimes de violences au sein du mĂ©nage notamment 75% des victimes de violences physiques et sexuelles au sein du mĂ©nage. Enfin 75% des victimes de violences au sein du mĂ©nage ne se sont pas dĂ©placĂ©es parce qu’elles prĂ©fĂšrent trouver une autre solution ». L’ Interstats Analyse N° 16 poursuit et complĂšte cette Ă©tude par une description des motifs de dĂ©pĂŽt de plainte et par une analyse du regard que portent les victimes sur leur dĂ©marche auprĂšs des forces de aller plus loin, l’ Ă©tude de Carrasco, Chaussebourg et Creusat explore les dĂ©terminants du dĂ©pĂŽt de plainte pour les atteintes personnelles hors violences sensibles.
LeCVS est un lieu qui permet d'ĂȘtre entendu, Ă  bulletin secret et Ă  la majoritĂ© absolue des votants par et parmi les reprĂ©sentants des usagers au cours du 1er CVS. En cas d'Ă©galitĂ© des voix, c'est le plus ĂągĂ© qui est Ă©lu. Quels est le rĂŽle des personnes qui siĂšgent au conseil de la vie sociale ? ComposĂ© de reprĂ©sentants des rĂ©sidents, des familles et du personnel de l
DerniĂšre mise Ă  jour des donnĂ©es de ce texte 26 octobre 2004NOR SANA0323646DAccĂ©der Ă  la version initialeChronoLĂ©giVersion Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duMasquer les articles et les sections abrogĂ©s Le Premier ministre, Sur le rapport du ministre des affaires sociales, du travail et de la solidaritĂ© et du ministre de la santĂ©, de la famille et des personnes handicapĂ©es, Vu le code de l'action sociale et des familles, notamment l'article L. 311-6 ; AprĂšs avis du Conseil d'Etat section sociale, Article 1 abrogĂ© Les diffĂ©rentes formes de participation prĂ©vues Ă  l'article L. 311-6 du code de l'action sociale et des familles sont instituĂ©es dans les conditions suivantes Le conseil de la vie sociale est obligatoire lorsque l'Ă©tablissement ou le service assure un hĂ©bergement ou un accueil de jour continu ou une activitĂ© d'aide par le travail au sens du premier alinĂ©a de l'article L. 344-2. Il n'est pas obligatoire lorsque l'Ă©tablissement ou service accueille majoritairement des mineurs de moins de onze ans, des personnes relevant du dernier alinĂ©a de l'article 6 et du III de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles. Lorsque le conseil de la vie sociale n'est pas mis en place, il est instituĂ© un groupe d'expression ou toute autre forme de participation. Lorsque la personne publique ou privĂ©e gĂšre plusieurs Ă©tablissements ou services sociaux ou mĂ©dico-sociaux, il peut ĂȘtre instituĂ© pour une mĂȘme catĂ©gorie d'Ă©tablissements ou services, au sens de l'article L. 312-1 du mĂȘme code, une instance commune de I Conseil de la vie sociale abrogĂ©Paragraphe 1 Institution. abrogĂ© Article 2 abrogĂ© La dĂ©cision institutive du conseil de la vie sociale fixe le nombre et la rĂ©partition des membres titulaires et supplĂ©ants de ce 2 Composition. abrogĂ© Article 3 abrogĂ© I. - Le conseil de la vie sociale comprend au moins - deux reprĂ©sentants des personnes accueillies ou prises en charge, soit un reprĂ©sentant des titulaires de l'exercice de l'autoritĂ© parentale Ă  l'Ă©gard des mineurs, soit un reprĂ©sentant des reprĂ©sentants lĂ©gaux des personnes accueillies dans les Ă©tablissements recevant des personnes majeures ; - un reprĂ©sentant du personnel ; - un reprĂ©sentant de l'organisme gestionnaire. II. - Toutefois - dans les Ă©tablissements mentionnĂ©s au 8° du I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles, seule est assurĂ©e la reprĂ©sentation des usagers ; - dans les autres Ă©tablissements recevant des personnes majeures, l'organisme gestionnaire peut prĂ©voir des modalitĂ©s complĂ©mentaires d'association des membres des familles des personnes accueillies au fonctionnement de l'Ă©tablissement. Article 4 abrogĂ© L'absence de dĂ©signation de titulaires et supplĂ©ants ne fait pas obstacle Ă  la mise en place du conseil de la vie sociale sous rĂ©serve que le nombre de reprĂ©sentants des personnes accueillies et de leurs familles ou de leurs reprĂ©sentants lĂ©gaux soit supĂ©rieur Ă  la moitiĂ© du nombre total des membres du conseil dĂ©signĂ©s. Article 5 abrogĂ© Lorsqu'en raison du jeune Ăąge des bĂ©nĂ©ficiaires la reprĂ©sentation du collĂšge des personnes accueillies ne peut ĂȘtre assurĂ©e, seul le collĂšge des familles ou reprĂ©sentants lĂ©gaux est constituĂ©. Article 6 abrogĂ© Le prĂ©sident du conseil de la vie sociale est Ă©lu au scrutin secret et Ă  la majoritĂ© des votants par et parmi les membres reprĂ©sentant les personnes accueillies. En cas de partage Ă©gal des voix, le candidat le plus ĂągĂ© est dĂ©clarĂ© Ă©lu. Le prĂ©sident supplĂ©ant est Ă©lu selon les mĂȘmes modalitĂ©s parmi les membres reprĂ©sentant soit les personnes accueillies, soit les titulaires de l'exercice de l'autoritĂ© parentale ou les reprĂ©sentants lĂ©gaux. Le directeur ou son reprĂ©sentant siĂšge avec voix consultative. Toutefois, dans les Ă©tablissements ou services prenant en charge habituellement les mineurs faisant l'objet de mesures Ă©ducatives ordonnĂ©es par l'autoritĂ© judiciaire en application des dispositions lĂ©gislatives relatives Ă  l'enfance dĂ©linquante ou Ă  l'assistance Ă©ducative, le directeur ou son reprĂ©sentant siĂšge en tant que prĂ©sident avec voix dĂ©libĂ©rative. Article 7 abrogĂ© Le conseil de la vie sociale peut appeler toute personne Ă  participer Ă  ses rĂ©unions Ă  titre consultatif en fonction de l'ordre du 3 ModalitĂ©s de dĂ©signation. abrogĂ© Article 8 abrogĂ© Les membres du conseil de la vie sociale sont Ă©lus pour une durĂ©e d'un an au moins et de trois ans au plus. Article 9 abrogĂ© Sous rĂ©serve des dispositions de l'article 28, les reprĂ©sentants des personnes accueillies et les reprĂ©sentants des titulaires de l'exercice de l'autoritĂ© parentale ou des reprĂ©sentants lĂ©gaux sont Ă©lus par vote Ă  bulletin secret Ă  la majoritĂ© des votants respectivement par l'ensemble des personnes accueillies ou prises en charge et par l'ensemble des personnes titulaires de l'exercice de l'autoritĂ© parentale Ă  l'Ă©gard des mineurs ou des reprĂ©sentants lĂ©gaux des personnes majeures. Des supplĂ©ants sont Ă©lus dans les mĂȘmes conditions. Sont Ă©lus le ou les candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix. A Ă©galitĂ© de voix, il est procĂ©dĂ© par tirage au sort entre les intĂ©ressĂ©s. Article 10 abrogĂ© Sont Ă©ligibles - pour reprĂ©senter les personnes accueillies, toute personne ĂągĂ©e de plus de onze ans ; - pour reprĂ©senter les personnes titulaires de l'exercice de l'autoritĂ© parentale ou les reprĂ©sentants lĂ©gaux, toute personne disposant de l'autoritĂ© parentale, tout reprĂ©sentant lĂ©gal d'un majeur, tout parent d'un bĂ©nĂ©ficiaire jusqu'au quatriĂšme degrĂ©. Article 11 abrogĂ© Les personnels des Ă©tablissements et services de droit privĂ© soit salariĂ©s, soit salariĂ©s mis Ă  la disposition de ceux-ci sont reprĂ©sentĂ©s au conseil de la vie sociale 1° Dans ceux occupant moins de onze salariĂ©s, par des reprĂ©sentants Ă©lus par l'ensemble des personnels ci-dessus dĂ©finis ; 2° Dans ceux occupant onze salariĂ©s ou plus, par des reprĂ©sentants Ă©lus, parmi l'ensemble des personnels, par les membres du comitĂ© d'entreprise ou, Ă  dĂ©faut, par les dĂ©lĂ©guĂ©s du personnel ou, s'il n'existe pas d'institution reprĂ©sentative du personnel, par les personnels eux-mĂȘmes. Ces reprĂ©sentants sont Ă©lus au scrutin secret selon les modalitĂ©s fixĂ©es par le rĂšglement intĂ©rieur. Article 12 abrogĂ© Dans les Ă©tablissements et services publics, les reprĂ©sentants des personnels sont dĂ©signĂ©s parmi les agents y exerçant par les organisations syndicales les plus reprĂ©sentatives. Dans les Ă©tablissements ou services dont les personnels sont soumis aux dispositions de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives Ă  la fonction publique de l'Etat, les siĂšges leur sont attribuĂ©s dans les conditions fixĂ©es pour leur reprĂ©sentation au comitĂ© technique paritaire. Dans les Ă©tablissements ou services dont le personnel est soumis aux dispositions de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives Ă  la fonction publique territoriale, les siĂšges sont attribuĂ©s aux organisations syndicales proportionnellement au nombre de voix qu'elles ont obtenu aux Ă©lections organisĂ©es pour la dĂ©signation des reprĂ©sentants du personnel au comitĂ© technique paritaire compĂ©tent pour les agents du service social ou mĂ©dico-social. Dans les Ă©tablissements ou services dont le personnel est soumis aux dispositions de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives Ă  la fonction publique hospitaliĂšre, les siĂšges sont attribuĂ©s dans les conditions fixĂ©es pour leur reprĂ©sentation aux commissions administratives paritaires compĂ©tentes sans qu'il y ait lieu de procĂ©der Ă  de nouvelles Ă©lections. S'il n'existe pas d'organisation syndicale au sein de l'Ă©tablissement ou du service, les reprĂ©sentants du personnel sont Ă©lus par et parmi l'ensemble des agents nommĂ©s dans des emplois permanents Ă  temps complet. Les candidats doivent avoir une anciennetĂ© au moins Ă©gale Ă  six mois au sein de l'Ă©tablissement ou service ou dans la profession s'il s'agit d'une crĂ©ation. Le scrutin est secret et majoritaire Ă  un tour. En cas d'Ă©gal partage des voix, le candidat ayant la plus grande anciennetĂ© dans l'Ă©tablissement ou service ou dans la profession est proclamĂ© Ă©lu. Article 13 abrogĂ© Les supplĂ©ants des personnels sont dĂ©signĂ©s dans les mĂȘmes conditions que les 4 CompĂ©tence. abrogĂ© Article 14 abrogĂ© Le conseil de la vie sociale donne son avis et peut faire des propositions sur toute question intĂ©ressant le fonctionnement de l'Ă©tablissement ou du service, notamment sur l'organisation intĂ©rieure et la vie quotidienne, les activitĂ©s, l'animation socioculturelle et les services thĂ©rapeutiques, les projets de travaux et d'Ă©quipements, la nature et le prix des services rendus, l'affectation des locaux collectifs, l'entretien des locaux, les relogements prĂ©vus en cas de travaux ou de fermeture, l'animation de la vie institutionnelle et les mesures prises pour favoriser les relations entre ces participants ainsi que les modifications substantielles touchant aux conditions de prises en charge. Article 15 abrogĂ© Le conseil de la vie sociale se rĂ©unit au moins trois fois par an sur convocation du prĂ©sident ou, dans les Ă©tablissements mentionnĂ©s au dernier alinĂ©a de l'article 6, du directeur, qui fixent l'ordre du jour des sĂ©ances. Celui-ci doit ĂȘtre communiquĂ© au moins huit jours avant la tenue du conseil et ĂȘtre accompagnĂ© des informations nĂ©cessaires. En outre, sauf dans les Ă©tablissements mentionnĂ©s au dernier alinĂ©a de l'article 6, le conseil est rĂ©uni de plein droit Ă  la demande, selon le cas, des deux tiers de ses membres ou de la personne gestionnaire. Article 16 abrogĂ© Le conseil dĂ©libĂšre sur les questions figurant Ă  l'ordre du jour, Ă  la majoritĂ© des membres prĂ©sents. Les avis ne sont valablement Ă©mis que si le nombre des reprĂ©sentants des personnes accueillies et des titulaires de l'exercice de l'autoritĂ© parentale ou des reprĂ©sentants lĂ©gaux prĂ©sents est supĂ©rieur Ă  la moitiĂ© des membres. Dans le cas contraire, l'examen de la question est inscrit Ă  une sĂ©ance ultĂ©rieure. Si lors de cette sĂ©ance, ce nombre n'est pas atteint, la dĂ©libĂ©ration est prise Ă  la majoritĂ© des membres prĂ©sents. Article 17 abrogĂ© Le conseil de la vie sociale Ă©tablit son rĂšglement intĂ©rieur dĂšs sa premiĂšre rĂ©union. Article 18 abrogĂ© Le relevĂ© de conclusions de chaque sĂ©ance est Ă©tabli par le secrĂ©taire de sĂ©ance, dĂ©signĂ© par et parmi les personnes accueillies ou prises en charge, assistĂ© en tant que de besoin par l'administration de l'Ă©tablissement, service ou lieu de vie et d'accueil. Il est signĂ© par le prĂ©sident. Avant la tenue de la sĂ©ance suivante, il est prĂ©sentĂ© pour adoption en vue de la transmission Ă  l'instance compĂ©tente de l'organisme II Autres formes de participation abrogĂ©Paragraphe 1 Modes de participation. abrogĂ© Article 19 abrogĂ© La participation prĂ©vue Ă  l'article L. 311-5 du code de l'action sociale et des familles peut Ă©galement s'exercer - par l'institution de groupes d'expression instituĂ©s au niveau de l'ensemble de l'Ă©tablissement, du service ou du lieu de vie et d'accueil, ou d'un service ou d'un ensemble de services de ceux-ci ; - par l'organisation de consultations de l'ensemble des personnes accueillies ou prises en charge sur toutes questions concernant l'organisation ou le fonctionnement de l'Ă©tablissement, du service ou du lieu de vie ou d'accueil ; - par la mise en oeuvre d'enquĂȘtes de satisfaction. Ces enquĂȘtes sont obligatoires pour les services prenant en charge Ă  domicile des personnes dont la situation ne permet pas de recourir aux autres formes de participation prĂ©vues par le prĂ©sent 2 Composition et fonctionnement. abrogĂ© Article 20 abrogĂ© L'acte institutif des instances de participation autres que le conseil de la vie sociale prĂ©cise la composition et les modalitĂ©s de fonctionnement de ces instances qui comportent obligatoirement des reprĂ©sentants des usagers et de leurs familles ou reprĂ©sentants lĂ©gaux en nombre supĂ©rieur Ă  la moitiĂ©. Article 21 abrogĂ© Le rĂšglement de fonctionnement adapte les modalitĂ©s de consultation mises en oeuvre compte tenu des formes de participations instituĂ©es. Toutefois - l'ordre du jour des sĂ©ances accompagnĂ© des explications nĂ©cessaires Ă  sa comprĂ©hension est obligatoirement notifiĂ© aux membres des instances sept jours au plus tard avant leur tenue ; - l'enquĂȘte de satisfaction adressĂ©e aux personnes accueillies ou prises en charge concerne obligatoirement les sujets Ă©noncĂ©s Ă  l'article 14 ci-dessus. Article 22 abrogĂ© Les modalitĂ©s d'Ă©tablissement et de dĂ©libĂ©ration des comptes rendus de sĂ©ance des instances de participation autres que le conseil de la vie sociale sont prĂ©vues par le rĂšglement de fonctionnement compte tenu des caractĂ©ristiques particuliĂšres des modes de participation 3 DĂ©signation. abrogĂ© Article 23 abrogĂ© Sous rĂ©serve des dispositions de l'article 28, les modalitĂ©s d'Ă©lection ou de dĂ©signation aux instances de participation autres que le conseil de la vie sociale des reprĂ©sentants des personnes accueillies ou prises en charge, de ceux des titulaires de l'exercice de l'autoritĂ© parentale ou des reprĂ©sentants lĂ©gaux, de ceux des membres du personnel et de ceux de l'organisme gestionnaire sont prĂ©cisĂ©es par le rĂšglement de fonctionnement de l'Ă©tablissement, du service ou du lieu de vie et d' III Dispositions communes aux conseils de la vie sociale et aux autres formes de participation. abrogĂ© Article 24 abrogĂ© Les instances de participation prĂ©vues Ă  l'article 1er sont obligatoirement consultĂ©es sur l'Ă©laboration et la modification du rĂšglement de fonctionnement et du projet d'Ă©tablissement ou de service prĂ©vus aux articles L. 311-7 et L. 311-8 du mĂȘme code. L'enquĂȘte de satisfaction citĂ©e Ă  l'article 19 questionne les personnes accueillies sur ces mĂȘmes rĂšglement et projet d'Ă©tablissement ou de service. Article 25 abrogĂ© L'acte institutif du conseil de la vie sociale ou des autres instances de participation mises en place dans l'Ă©tablissement, le service ou le lieu de vie ou d'accueil est adoptĂ© par l'instance compĂ©tente de l'organisme gestionnaire ou Ă©tabli par la personne physique gestionnaire du lieu de vie et d'accueil. Article 26 abrogĂ© Les informations concernant les personnes, Ă©changĂ©es lors des dĂ©bats, restent confidentielles. Article 27 abrogĂ© Les instances de participation doivent ĂȘtre tenues informĂ©es lors des sĂ©ances ou enquĂȘtes ultĂ©rieures des suites rĂ©servĂ©es aux avis et propositions qu'elles ont Ă©mis. Article 28 abrogĂ© Dans les Ă©tablissements et services prenant en charge habituellement des mineurs faisant l'objet de mesures Ă©ducatives ordonnĂ©es par l'autoritĂ© judiciaire en application des dispositions relatives Ă  l'enfance dĂ©linquante ou Ă  l'assistance Ă©ducative, le directeur peut convier la totalitĂ© des personnes accueillies ou prises en charge au fonctionnement des instances. Dans ce cas, il n'est pas procĂ©dĂ© aux Ă©lections ou aux autres dĂ©signations prĂ©vues par le prĂ©sent dĂ©cret ou le rĂšglement de fonctionnement. Article 29 abrogĂ© Le temps de prĂ©sence des personnes handicapĂ©es accueillies en centre d'aide par le travail dans les instances de participation est considĂ©rĂ© comme temps de travail. Article 30 abrogĂ© Le temps de prĂ©sence des personnes reprĂ©sentant les personnels est considĂ©rĂ© comme temps de travail. Article 31 abrogĂ© Les reprĂ©sentants des personnes accueillies peuvent en tant que de besoin se faire assister d'une tierce personne afin de permettre la comprĂ©hension de leurs IV Dispositions transitoires. Article 32 Les instances de participation prĂ©vues par le prĂ©sent dĂ©cret sont installĂ©es dans un dĂ©lai de six mois Ă  compter de sa publication. Le mandat des membres des instances existantes pour l'application du dĂ©cret n° 91-1415 du 31 dĂ©cembre 1991 relatif aux conseils d'Ă©tablissement des institutions sociales et mĂ©dico-sociales mentionnĂ©es Ă  l'article 3 de la loi n° 75-535 du 30 juin 1975 cesse de plein droit dĂšs cette installation. Le dĂ©cret du 31 dĂ©cembre 1991 susmentionnĂ© reste applicable au fonctionnement de chacune des instances existantes Ă  la date d'entrĂ©e en vigueur du prĂ©sent dĂ©cret jusqu'Ă  l'installation de l'instance qui lui est substituĂ©e en application du premier alinĂ©a du prĂ©sent article. Le ministre de l'intĂ©rieur, de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et des libertĂ©s locales, le ministre des affaires sociales, du travail et de la solidaritĂ©, le garde des sceaux, ministre de la justice, le ministre de la santĂ©, de la famille et des personnes handicapĂ©es, le ministre dĂ©lĂ©guĂ© aux libertĂ©s locales, le ministre dĂ©lĂ©guĂ© Ă  la famille, la secrĂ©taire d'Etat Ă  la lutte contre la prĂ©caritĂ© et l'exclusion, la secrĂ©taire d'Etat aux personnes handicapĂ©es et le secrĂ©taire d'Etat aux personnes ĂągĂ©es sont chargĂ©s, chacun en ce qui le concerne, de l'exĂ©cution du prĂ©sent dĂ©cret, qui sera publiĂ© au Journal officiel de la RĂ©publique Raffarin Par le Premier ministre Le ministre de la santĂ©, de la famille et des personnes handicapĂ©es, Jean-François Mattei Le ministre de l'intĂ©rieur, de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et des libertĂ©s locales, Nicolas Sarkozy Le ministre des affaires sociales, du travail et de la solidaritĂ©, François Fillon Le garde des sceaux, ministre de la justice, Dominique Perben Le ministre dĂ©lĂ©guĂ© aux libertĂ©s locales, Patrick Devedjian Le ministre dĂ©lĂ©guĂ© Ă  la famille, Christian Jacob La secrĂ©taire d'Etat Ă  la lutte contre la prĂ©caritĂ© et l'exclusion, Dominique Versini La secrĂ©taire d'Etat aux personnes handicapĂ©es, Marie-ThĂ©rĂšse Boisseau Le secrĂ©taire d'Etat aux personnes ĂągĂ©es, Hubert Falco
Celuici doit obligatoirement faire connaitre aux membres du conseil de la vie sociale les suites, favorables ou défavorables, qu'il entend réserver aux avis et aux propositions formulés. Est élu le candidat ayant obtenu le plus grand nombre de voix et, en cas d'égalité, un tirage au sort est effectué. Le président est élu parmi les
Voir Ă©galement faire des courses faire des Ă©conomies faire des efforts faire du bien faire du bruit faire du mal faire du shopping faire du sport faire du stop faire du vĂ©lo faire face faire face Ă  faire faillite faire faire faire l'affaire faire l'amour faire l'objet de faire la connaissance faire la cuisine faire la diffĂ©rence faire la fĂȘte Recherches rĂ©centes Voir tout faire entendre sa voix [links] ⓘ Un ou plusieurs fils de discussions du forum correspondent exactement au terme que vous recherchez en espagnol Conjugaison [FR] Conjugator [EN] en contexte images WR Apps Android & iPhone Word of the day WordReference WR Reverse 1 WordReference English-French Dictionary © 2022Principales traductionsFrançaisAnglais faire entendre sa voix loc v exprimer son avishave yourself heard, get yourself heard v expr Un oubli important ? Signalez une erreur ou suggĂ©rez une amĂ©lioration. 'faire entendre sa voix' Ă©galement trouvĂ© dans ces entrĂ©es Anglais make your voice heard Forums WR - discussions dont le titre comprend les mots "faire entendre sa voix" Faire entendre sa voix faire entendre sa voix Ă  soi-mĂȘme - forum Français SeulementVisitez le forum WordReference Posez la question dans les forums. Voir la traduction automatique de Google Translate de 'faire entendre sa voix'.Dans d'autres langues Espagnol Portugais Italien Allemand nĂ©erlandais SuĂ©dois Polonais Roumain TchĂšque Grec Turc Chinois Japonais CorĂ©en Arabe Liens ⚙PrĂ©fĂ©rences AbrĂ©viations Symboles phonĂ©tiques Subjonctif français Soutenez WR Charte de confidentialitĂ© Conditions d'utilisation Forums Suggestions PublicitĂ©s PublicitĂ©s Signalez une publicitĂ© qui vous semble abusive. Devenez parrain de WordReference pour voir le site sans publicitĂ©s. iU1oZk.
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/867
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/388
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/893
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/264
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/22
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/806
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/135
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/653
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/450
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/488
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/164
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/248
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/102
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/778
  • qyjl9bp8ea.pages.dev/270
  • cvs en ehpad faire entendre sa voix